Cela fait déjà un petit moment que The Sandbox est sorti du bac à sable de sa prime jeunesse. Et pourtant, alors même que les choses sérieuses ne font encore que commencer, le projet déclenche déjà les passions d’une communauté de plus en plus large. On rappellera que The Sandbox est un jeu forgé sur la blockchain Ethereum, basé sur des parcelles de terrains virtuels (« land » en anglais), qui peuvent être achetées, puis sur lesquelles les joueurs peuvent construire les bâtiments de leur choix. Au total, le jeu propose à la vente 166 464 de ces terrains virtuels aux entrepreneurs numériques. Le jeu avait déjà procédé à une première vente en décembre 2019, qui avait vu les investisseurs s’arracher 3 000 lopins de terre en quatre heures seulement.
Aujourd’hui, retrouvez avec Alex Chkirate, notre inoxydable podcaster une interview en 2 parties de Sébastien Borget, fondateur de The SandBox.
The SandBox, chronique d’un succès annoncé
The Sandbox, on en parlait déjà il y a quelques mois, et déjà on avait été impressionné par le succès spectaculaire du projet basé-Ethereum, construit sur l’achat, l’échange et l’aménagement de parcelles de terres dans un environnement virtuel (LAND).
La première prévente de TSB a eu lieu en décembre 2019. En quatre heures seulement, plus de 3 000 parcelles de LAND ont été vendues. La seconde opération de ce type qui a eu lieu ce 16 février a vu la vente de 6 192 parcelles de LAND et rapporté à la société 800 ETH, soit environ 206 000 USD. La prochaine vente ouvre le 30 juin, et nul doute qu’elle rencontrera de nouveau un grand succès.
Afin de mieux découvrir le projet, découvrez une interview en deux parties de Sébastien Borget, fondateur de The Sandbox, dont les propos sont recueillis par Alex Chkirate dans le cadre de l’émission Block Interview.
Enchanté, moi c’est Hellmouth ! Rédacteur en chef de TheCoinTribune, le média crypto que vous me faites l’honneur d’arpenter en ce moment même (bravo, vous avez du goût).
Crypto-enthousiaste de la deuxième heure, rien n’a plus d’importance à mes yeux que d’accompagner l’adoption globale et la démocratisation des trésors que nous propose la blockchain.
Je rédige des articles entre deux cocktails à Tahiti, mon île d’adoption, et ne rechigne pas, si l’occasion se présente, à me repaître d’un scam bien dodu ou d’une pyramide de Ponzi un peu trop entreprenante.
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