La Securities and Exchange Commission (SEC) des Etats-Unis, qui se remet d’une récente demande de Ripple (XRP) d’informations sur les transactions en Bitcoin (BTC), en Ethereum (ETH) et en Ripple (XRP) effectuées par le personnel du régulateur financier, continue son attaque. Elle demande au géant de la cryptomonnaie des enregistrements audio et vidéo des réunions des employés de XRP.
La SEC a affirmé que les représentants de Ripple leur avaient caché l’existence de sources d’information pouvant contenir des preuves potentiellement pertinentes pour le procès. Le régulateur financier a également déclaré qu’il avait demandé ce type d’informations au géant des cryptomonnaies en janvier de cette année, mais qu’il n’avait rien reçu.
L’existence de ce dossier n’a été révélé que récemment, au cours de l’interrogatoire de l’ancien employé de XPR par la SEC. Selon lui, le géant de la cryptomonnaie garde des enregistrements audio et vidéo de toutes les réunions des employés.
Après avoir appris l’existence du dossier contenant potentiellement des éléments pertinents pour le procès, le régulateur financier a demandé au défendeur de le confirmer. La SEC a également demandé à Ripple de lui remettre les enregistrements audio et vidéo susmentionnés.
XRP a reconnu l’existence de ces enregistrements “de routine” et a publié une contre-déclaration. Elle a stipulé à la Securities and Exchange Commission que le régulateur financier ne demanderait plus à l’organisation crypto de divulguer des informations internes de la société.
Selon le portail Coingape, la SEC a rejeté un tel accord et a invoqué la règle fédérale de procédure civile 26(b)(1), qui autorise la collecte de données pertinentes pour la demande ou la défense de l’une ou l’autre partie de tel procès.
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Thomas Poirier
Je suis sûr que la blockchain et les cryptomonnaies représentent le futur, et je veux faire passer cette idée à tout le monde car plus il y aura de monde à croire aux cryptomonnaies, plus vite le futur arrivera.