Tandis que les équilibres mondiaux se redessinent, le sommet des BRICS à Rio a esquissé les contours d’une influence multipolaire plus affirmée. Derrière l’absence remarquée de Xi Jinping et Vladimir Poutine, les discussions ont débouché sur des propositions concrètes : réforme des institutions internationales, coopération climatique renforcée, encadrement de l’intelligence artificielle. Moins spectaculaire, mais plus stratégique, cette édition renseigne sur les ambitions du Sud global, tout en révélant les tensions latentes qui fragilisent la cohérence d’un bloc en quête de crédibilité.
À force de tutoyer les sommets, le bitcoin a fini par les franchir. Cette semaine, la doyenne des cryptomonnaies n’a pas seulement battu son propre record : elle a fait grimper dans son sillage une ribambelle de valeurs boursières, des géants de l’échange comme Coinbase aux mineurs les plus agressifs. Une envolée spectaculaire qui en dit long sur l’état d’esprit des marchés : la crypto n’est plus à la marge, elle s’impose au cœur du jeu. Et lorsqu’elle s’enflamme, c’est toute une économie parallèle et maintenant institutionnelle qui s’embrase. Décryptage d’une semaine qui fera date dans les annales de la finance numérique.
Pendant que le bitcoin continue de dominer les gros titres et d’aimanter les capitaux, un vieux rival se réveille avec une rare intensité : XRP. Ce jeton de Ripple, longtemps coincé dans un corridor d’indifférence, vient de claquer la porte du statu quo technique. Et cette fois, c’est contre le bitcoin que l’offensive se dessine.
Tether décroche ses affiches de blockchains désertées pour mieux coller sur les stars crypto : pendant que certains pleurent Omni, d’autres trinquent déjà sur Ethereum et Tron.
En seulement un an et demi depuis le lancement des premiers ETF Bitcoin au comptant aux États-Unis, les investisseurs institutionnels ont investi plus de 50 milliards de dollars dans la crypto-monnaie à travers des produits financiers réglementés. Le message est clair : le Bitcoin devient mainstream et cela se produit rapidement.
Avant son offre initiale de jetons (ICO), Pump.fun a réalisé son tout premier achat en acquérant un traceur de portefeuille basé sur Solana, Kolscan. Selon l'entreprise, cette dernière version propose un classement agrégé des leaders d'opinion clés (KOL) en fonction de leurs performances commerciales, permettant aux utilisateurs d'observer de près et d'analyser les stratégies des meilleurs investisseurs du réseau Solana.
Avec la communauté crypto institutionnelle de plus en plus axée sur l'efficacité des tokens, des rapports indiquent que le taux de combustion de Shiba Inu a augmenté de plus de 10 700 % ces derniers jours. Cela prépare le terrain pour un événement de combustion d'une journée encore plus important.
L'ETF iShares Ethereum de BlackRock a entraîné une forte augmentation des entrées de fonds ETH cette semaine, signalant une demande institutionnelle croissante.
Tandis que les marchés traditionnels peinent à s’animer, le bitcoin s’offre un nouveau sommet historique. Dopée par une vague d’optimisme réglementaire à Washington, la cryptosphère s’emballe. Cette poussée ne relève ni d’un simple rebond technique ni d’un afflux de capitaux isolé. Elle coïncide avec un tournant politique majeur : la Chambre des représentants s’apprête à examiner un ensemble de lois susceptibles de redessiner les contours du secteur crypto aux États-Unis. Le marché anticipe, les prix s’envolent.
La cession discrète de 10 000 ETH par la Fondation Ethereum à SharpLink Gaming, à un prix inférieur au marché, intrigue. Ce deal privé, conclu avant un bond du cours au-dessus des 3 000 $, interpelle sur la gestion stratégique des réserves d’Ethereum. Dans un contexte de flux records vers les ETF Ether, cette opération marque peut-être un basculement : l’ether n’est plus un actif spéculatif, il devient un levier financier intégré aux trésoreries d’entreprises influentes.
Pendant que Wall Street compte ses points, le bitcoin rafle la mise, ridiculise le S&P 500, et file à toute allure dans les coffres d’un BlackRock médusé. Qui l’eût cru ?
La crypto est à la croisée des chemins. Sous les néons froids du Capitole, le sort d’un monde numérique se joue à coup d’encre et de calculs. À partir du 14 juillet, Washington entame sa « Crypto Week » : une séquence parlementaire décisive où trois projets de loi majeurs seront débattus. Trois textes, trois directions possibles pour l’avenir des actifs numériques aux États-Unis.
Trump claque la porte du G7 et ressort ses armes tarifaires. Le Canada trinque, l’économie tangue, et le cuivre flambe. Que mijote vraiment le chef étoilé du protectionnisme ?
Quand les ETF s’emplissent comme des poches percées et que le bitcoin crève le plafond, les marchés traditionnels s'interrogent : les cryptos seraient-elles devenues fréquentables chez les costards-cravates ?
L’annonce par Donald Trump de droits de douane de 10 % sur les pays des BRICS relance un débat stratégique : les États-Unis risquent-ils, en voulant défendre leur leadership, d’accélérer la dédollarisation ? Derrière cette offensive commerciale se dessine une fracture plus profonde, où des puissances émergentes cherchent à rompre avec la domination du billet vert. Alors que les tensions géoéconomiques s’intensifient, la question s’impose : Washington ne serait-il pas en train de précipiter la remise en cause de l’ordre monétaire qu’il s’efforce de préserver ?
Le fondateur de Tron annonce un achat de 100 millions de dollars en memecoins TRUMP. Ce n’est pas un pari hasardeux. C’est une manœuvre politique et un message clair envoyé à l’écosystème crypto.
Les marchés crypto se préparent à une journée décisive avec l'expiration simultanée de plus de 5 milliards de dollars d'options Bitcoin et Ethereum. Cette échéance massive intervient alors que le Bitcoin franchit de nouveaux sommets historiques au-delà de 118 000 dollars. Mais que révèlent ces données sur l'état d'esprit des investisseurs et quels mouvements anticiper ?
Le bitcoin a franchi la barre des 118 000 dollars ce vendredi matin, deux jours seulement après avoir établi un record historique au-dessus de 112 000 dollars.
Ethereum est remonté à 3 000 $, porté par une augmentation des achats institutionnels et une activité accrue sur le marché des futures, signalant un regain de momentum haussier.
Ce n’est plus une simple envolée, c’est une explosion contrôlée : le bitcoin vient d’atteindre les 118 000 dollars, propulsé par un appétit institutionnel rarement vu dans l’histoire de la crypto. Pendant ce temps, Ethereum dépasse les 3 000 dollars, comme un second souffle dans cette ascension vertigineuse. Mais jusqu'où cette folie peut-elle aller ?
Le géant américain Coinbase vient de nouer un partenariat avec Perplexity AI, le moteur de recherche alimenté par l'intelligence artificielle. Cette collaboration promet de transformer l'accès aux données de marché crypto en temps réel. Une avancée qui pourrait bien redéfinir les usages du trading à l’ère des robots IA.
Le CEO de Bitwise est extrêmement bullish. Il vise les 200 000 dollars pour un bitcoin avant la fin de l’année et le million avant la fin de la décennie.
Le bitcoin n’en finit plus de défier les pronostics. Alors que certains l’annonçaient à bout de souffle après ses derniers sommets, le marché montre des signes clairs d’un regain d’énergie. Ce n’est plus une simple spéculation enfiévrée : les données on-chain tracent un tableau bien plus nuancé, mais terriblement optimiste. Cap sur les 130 000 $, annoncent les indicateurs. Le point d'inflexion approche, et les signaux sont clairs : le bitcoin est loin d’avoir dit son dernier mot.
Tandis que le dollar joue les funambules et que Trump brandit ses tarifs, Washington sort une crypto-béquille : les stablecoins, remède techno ou mirage numérique d’un empire vacillant ?
Tandis que le bitcoin établit un nouveau record, un segment inattendu de l’univers crypto s’impose à nouveau : les memecoins. Jadis considérés comme de simples curiosités spéculatives, ils attirent désormais des volumes d’échange massifs et une attention médiatique inédite. L’ironie numérique devient le moteur du marché, éclipsant parfois les projets dits sérieux.