Sous les cieux assombris du budget, le Medef propose une réforme tranchante : retirer aux retraités leur précieux abattement fiscal. Une idée où l’économie dialogue avec l’injustice.
Sous les cieux assombris du budget, le Medef propose une réforme tranchante : retirer aux retraités leur précieux abattement fiscal. Une idée où l’économie dialogue avec l’injustice.
À quelques jours de l'investiture de Donald Trump, l'administration américaine sortante renforce ses sanctions contre le pétrole russe, propulsant le cours du Brent au-dessus des 80 dollars. Cette nouvelle offensive vise directement deux géants russes du secteur et une flotte de près de 200 navires.
La Réserve fédérale américaine (FED) pourrait ralentir son cycle des baisses de taux d’intérêt en 2025, d’après les récentes déclarations de ses responsables. Une annonce qui a semé la panique sur Wall Street, où les indices boursiers ont lourdement chuté vendredi, secoués par des données économiques robustes ! Renforçant ainsi l’idée que la FED pourrait freiner ses assouplissements monétaires plus tôt que prévu.
Quelques déclarations suffisent à faire vaciller les marchés, et Donald Trump l’a une nouvelle fois démontré. Un article du Washington Post a laissé entendre que son équipe explorait une approche plus nuancée en matière de politique tarifaire. Cette seule hypothèse a suffi à propulser les indices boursiers vers le haut, avec les investisseurs qui parient sur un assouplissement des tensions commerciales. Pourtant, l’ancien président n’a pas tardé à réagir. Dans un message publié sur les réseaux sociaux, il a fermement démenti ces informations, et dénonce une énième tentative de manipulation médiatique. Ce revirement brutal a déclenché une onde de choc sur les places financières.
Le vendredi 3 janvier 2025, Wall Street a connu une journée de hausse marquée par un retour de l'appétit pour le risque parmi les investisseurs. Après une période de volatilité et d'incertitude, les principaux indices boursiers ont enregistré des gains significatifs, reflétant une confiance renouvelée dans l'économie américaine.
En 2025, la Chine continue de démontrer sa résilience face aux pressions économiques internationales, notamment celles exercées par la future administration Trump. Malgré les tentatives du nouveau président américain pour freiner l'ascension économique de la Chine, cette dernière persiste dans son ouverture, marquant ainsi une victoire significative dans la guerre entre les deux superpuissances.
En 2025, les Américains prévoient une hausse des marchés boursiers et une intensification des conflits internationaux. Cette dualité pourrait influencer les marchés financiers et crypto, rendant l'année en cours à la fois prometteuse et incertaine pour les États-Unis.
La secrétaire au Trésor des États-Unis, Janet Yellen, a récemment averti que le plafond de la dette américaine pourrait être atteint dès la mi-janvier 2025. Selon ses déclarations, le Trésor s'attend à atteindre cette nouvelle limite entre le 14 et le 23 janvier, moment où des mesures extraordinaires devront être prises pour éviter un défaut de paiement.
Le commerce mondial traverse une période marquée par des tensions croissantes, où diplomatie et économie s’entremêlent dans des rivalités stratégiques. En effet, l’ouverture par la Chine d’une enquête antidumping sur les importations de cognac européen renseigne sur un nouveau front dans le conflit commercial avec l’Union européenne. Cette démarche, perçue comme une réponse directe aux accusations européennes contre les subventions chinoises aux véhicules électriques, reflète une escalade des représailles économiques entre deux puissances majeures. Un tel dossier va au-delà d’un simple différend commercial. Il pose des questions fondamentales sur l’équilibre des échanges internationaux et le rôle des institutions comme l’Organisation mondiale du commerce pour arbitrer ces différends dans un contexte de rivalités de plus en plus complexes.
Récemment, les États-Unis ont annoncé de nouvelles sanctions visant à restreindre l'exportation de technologies de semi-conducteurs vers la Chine. Ces mesures visent à entraver la capacité de la Chine à acquérir et produire des technologies avancées nécessaires à sa modernisation militaire. La Chine réagit violemment !
Alors que les défis économiques et climatiques redéfinissent les priorités politiques, le Sénat français imprime sa marque sur le budget de l’État pour 2025. Entre des mesures pour relancer un marché immobilier atone et les ajustements fiscaux en faveur de l’environnement, ces décisions cristallisent des tensions politiques et économiques.
La fiscalité immobilière, déjà complexe, fait à nouveau parler d’elle. Cette fois, ce sont les propriétaires qui se retrouvent au cœur d’une polémique fiscale d’ampleur. Une erreur technique dans l’émission des avis d’imposition a conduit de nombreux propriétaires à être taxés à tort sur des logements déclarés vacants. Cette situation inattendue, qui touche un nombre encore indéterminé de contribuables, renseigne davantage sur les défis liés à la gestion des données et au respect des obligations déclaratives.
L’annonce du retour du protectionnisme de Donald Trump constitue un changement notable dans les relations économiques transatlantiques, car il menace de raviver les tensions commerciales entre les États-Unis et l'Europe. Face à une politique qui pourrait à nouveau ébranler les échanges internationaux, la France se montre prête à défendre vigoureusement ses intérêts. En jeu, les secteurs stratégiques de l’industrie et de l’agriculture, alors que l’Union européenne envisage de nouvelles mesures pour protéger son économie. Ainsi, entre détermination française et concertation européenne, le débat autour du protectionnisme américain ne cesse de s'intensifier, avec des implications majeures pour les acteurs économiques des deux côtés de l'Atlantique.
Les propriétaires immobiliers en France voient leur horizon administratif s'assombrir avec la mise à jour de la déclaration des biens immobiliers. Alors que cette démarche, devenue obligatoire en 2023, avait déjà semé la confusion, un amendement vient d’être voté, ce qui promet de rendre la procédure encore plus complexe. Cette actualité prend une importance accrue alors que des centaines de milliers de foyers ont nouvellement fait face à des erreurs administratives, avec un ébranlement de leur confiance dans le dispositif. Ainsi, cette nouvelle exigence interpelle davantage sur la gestion des informations personnelles et la simplification administrative dans le domaine fiscal.
Les relations entre les deux premières puissances économiques mondiales, les États-Unis et la Chine sont une fois de plus au cœur de tensions commerciales. À peine élu, Donald Trump renforce ses intentions de poursuivre une politique protectionniste sans concession, et cherche à imposer des droits de douane records sur les importations chinoises. Une démarche qui rappelle son premier mandat, où de lourdes sanctions douanières avaient créé un précédent dans la guerre commerciale sino-américaine. Mais cette fois, dans un contexte post-pandémique où l'économie mondiale est encore fragile, les répercussions pourraient s'avérer plus conséquentes. Tandis que Pékin prône le dialogue, le monde se prépare à une nouvelle phase de confrontation commerciale aux effets potentiellement globaux.
Le déficit budgétaire de la France, qui atteint désormais 173,78 milliards d’euros, est devenu un sujet capital, car il illustre les défis croissants auxquels le pays est confronté pour maintenir ses engagements financiers. Alors que la pandémie de la Covid-19 et les mesures de soutien ont pris fin, les efforts pour redresser les finances publiques semblent avoir rencontré des obstacles majeurs. Cet écart budgétaire dépasse les prévisions, et impose des révisions ambitieuses, mais controversées. Dans ce contexte, le gouvernement s’efforce de convaincre tant les institutions européennes que les acteurs politiques internes de la viabilité de son plan d’austérité pour éviter une dégradation durable des finances de l’État.
Le projet de loi de finances pour 2025 a suscité un vif débat, et révèle les tensions autour de la fiscalité appliquée aux plus hauts revenus en France. Au cœur de la polémique, un amendement qui vise à exempter certaines catégories de revenus de la nouvelle « contribution différentielle sur les hauts revenus » (CDHR), introduite pour limiter les pratiques de défiscalisation chez les contribuables les plus fortunés. Cet amendement, destiné à maintenir une fiscalité attractive pour les investisseurs dans l’innovation, a été rejeté par l’Assemblée nationale, ce qui constitue une défaite pour le gouvernement et une victoire pour l’opposition qui milite pour un élargissement de cette contribution.
En 2023, la suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales avait allégé le fardeau de nombreux foyers, mais cette mesure a également creusé un trou financier de près de 20 milliards d’euros dans les caisses des collectivités. Aujourd’hui, face à des déficits budgétaires importants et une hausse de la taxe foncière qui ne suffit plus, le gouvernement envisage une « contribution territoriale universelle » (CTU). Soutenue par certaines figures politiques, cette mesure viserait à rééquilibrer les ressources locales par la contribution des propriétaires, mais aussi les locataires.
Ce mardi 29 octobre 2024, Bruxelles a approuvé une augmentation drastique des taxes douanières sur les véhicules électriques importés de Chine. Une telle mesure fait suite à une enquête approfondie sur les subventions massives accordées par Pékin à ses constructeurs nationaux. Pour l’Europe, c’est une question de survie industrielle. Alors que certains applaudissent une démarche nécessaire pour protéger un marché automobile en difficulté, d'autres craignent des répercussions économiques globales.
Alors que le débat sur les recettes budgétaires fait rage et que les tensions s'accumulent, un nouvel impôt de 40 milliards d'euros pourrait faire vaciller encore davantage l'économie de la France, déjà fragile. Lors d'une intervention ce dimanche 27 octobre, Pierre Lellouche, ancien ministre, a tiré la sonnette d’alarme : « l'économie française va subir un choc qui va l'arrêter au pire moment ». Cette déclaration, lourde de conséquences, s’inscrit dans un contexte où la relance économique est plus que jamais nécessaire, mais où les marges de manœuvre se réduisent de jour en jour.
Dans un contexte mondial déjà tendu, la Russie vient de frapper fort avec une annonce qui ne manquera pas de faire réagir. Ce vendredi, la Banque centrale russe a relevé son taux directeur à 21 %, un niveau historique qui n’avait plus été atteint depuis 2003. Derrière cette décision drastique se cache une tentative de contrer une inflation importante, alimentée par des dépenses militaires sans précédent et une économie en pleine mutation à cause des sanctions internationales. Pour Moscou, l'heure est à la lutte contre la spirale inflationniste, tandis que les entreprises et le marché russe redoutent les répercussions de cette politique monétaire.
Le marché immobilier français est sur le point de subir un bouleversement majeur. Avec le projet de loi de finances pour 2025, en pleine discussion, les propriétaires se trouvent au centre de réformes fiscales capitales qui pourraient remodeler la façon dont les biens immobiliers sont imposés. Les abattements fiscaux traditionnels pour les plus-values, les exonérations sur les résidences principales et d'autres avantages fiscaux qui ont favorisé les investisseurs ces dernières décennies sont sur la sellette. Ces changements, qui interviennent dans un contexte économique tendu et un marché immobilier morose, posent la question : comment les propriétaires vont-ils s’adapter à ces nouvelles mesures ?
La BCE réduit ses taux d'intérêt à 3,25 % pour stimuler l'économie ! Qu’est-ce que cela signifie exactement pour vous ?
La France traverse une crise budgétaire sans précédent. Le déficit risque de déraper de plus de 6% en 2024. La France risque désormais la faillite, ce qui emporterait toute la zone euro dans le gouffre.
Débat houleux à la FED ! L’inflation et les baisses de taux divisent les experts de la finance qui ne se comprennent plus.
Ce mercredi 9 octobre 2024, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, a lancé un appel sans détour : « Il est temps que tout le monde fasse des efforts. » Dans un contexte où les finances publiques dérapent, avec un déficit qui s'est creusé de 100 milliards d'euros depuis janvier, cette déclaration ne laisse aucune place à l’ambiguïté. Chaque acteur économique, des citoyens aux entreprises en passant par les collectivités locales, doit accepter des sacrifices pour éviter un effondrement budgétaire.
La France est confrontée à une impasse financière sans précédent, avec une dette publique évaluée à 110,6 % du PIB et un déficit bien au-delà des critères européens. En effet, le temps des demi-mesures semble révolu, et l’Institut Montaigne, un influent think-tank parisien, tire la sonnette d'alarme avec un rapport audacieux intitulé « Finances publiques : la fin des illusions ». Ce document propose des réformes audacieuses en vue d’économiser près de 150 milliards d’euros d’ici 2050.
Le monde est en pleine recomposition géopolitique. Tandis que les tensions entre grandes puissances façonnent les relations internationales, les alliances économiques évoluent à une vitesse inédite. Au cœur de ce nouvel ordre mondial, le BRICS, bloc des grandes économies émergentes, s'affirme comme un acteur clé capable de remodeler les équilibres globaux. Ce groupe, autrefois réservé à cinq membres, s’est récemment ouvert à de nouveaux candidats, ajoutant à ses rangs des géants comme l’Iran ou l’Arabie saoudite. C’est dans ce contexte que la Turquie, sous l'impulsion de son président Recep Tayyip Erdoğan, cherche à rejoindre cette alliance influente. Une décision stratégique qui intervient alors que les perspectives d'adhésion à l'Union européenne s'éloignent, poussant Ankara à diversifier ses partenariats économiques et géopolitiques. Pourtant, cette candidature ne fait pas l'unanimité : le BRICS, encore en phase de consolidation après son dernier élargissement, pourrait temporiser avant de prendre de nouvelles décisions. Et ce, malgré l'intérêt grandissant d'une vingtaine de nations pour rejoindre le groupe.
Les tensions commerciales entre l'Union européenne et la Chine prennent une nouvelle tournure. Alors que les relations économiques entre ces deux puissances sont déjà fragiles, une nouvelle enquête chinoise qui cible les produits laitiers européens menace d'envenimer la situation. Par cette accusation selon laquelle les exportations européennes faussent la concurrence avec des subventions jugées inéquitables, Pékin ouvre un nouveau front dans cette guerre commerciale latente. En réaction, l'Union européenne a saisi l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC).
En France, la taxe foncière 2024 affiche une hausse de 3,9 % minimum dans certaines communes. Les détails dans cet article !