Le régime syrien de Bachar al-Assad est sur le point de s'effondrer après 13 années de guerre civile, et ça change absolument tout !
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Face à l’intensification des tensions économiques mondiales, le rôle central du dollar dans les échanges internationaux est de plus en plus remis en question. Au cœur de ce bouleversement, les nations du bloc des BRICS cherchent à s’affranchir de cette dépendance grâce à l’exploration des solutions alternatives. Selon l’économiste Jim Rickards, ces pays disposent déjà d’une monnaie commune non officielle : l’or. Cette approche, discrète, mais stratégique, leur permet de contourner les pressions financières exercées par les États-Unis, notamment à travers les sanctions économiques. Alors que les États-Unis intensifient l’usage du dollar comme arme géopolitique, les BRICS opposent une résistance qui pourrait redéfinir les règles des échanges commerciaux à l’échelle mondiale. Cette stratégie déclenche des interrogations sur l’équilibre futur du système monétaire international.
Dans une nouvelle escalade verbale, Donald Trump, président élu des États-Unis, a secoué les marchés mondiaux. En effet, ce dernier a menacé d’imposer des droits de douane de 100 % aux nations de l’alliance des BRICS. Cette déclaration s’insère dans un contexte économique tendu, où le dollar, pilier du commerce international, est de plus en plus contesté par des puissances émergentes. Un tel défi au statu quo monétaire pourrait bien remodeler l’équilibre géopolitique mondial, mais aussi entraîner des turbulences économiques d’ampleur.
Les dynamiques économiques mondiales évoluent, et l’hégémonie du dollar américain semble vaciller. Deux membres influents de l’alliance des BRICS, la Russie et l’Iran, viennent d’annoncer un changement majeur : l’abandon total du dollar pour leurs échanges commerciaux. Alors que cette décision reflète une volonté de souveraineté économique face aux pressions extérieures, elle pourrait également ouvrir la voie à un bouleversement profond des équilibres financiers internationaux.
Dans un monde en mutation où les alliances redéfinissent les équilibres globaux, l’attitude de l’Arabie Saoudite vis-à-vis des BRICS intrigue. Invité à rejoindre ce groupe stratégique qui réunit des puissances émergentes, le royaume opte pour une stratégie d’attente. Ce choix n’est pas anodin. Il reflète des enjeux profonds qui associent géopolitique, économie et rivalités régionales, à l’heure où les BRICS cherchent à s’étendre et à accroître leur influence.
Alors que le monde observe avec attention les efforts des BRICS pour remodeler l’ordre économique mondial, une nouvelle tendance semble mettre à mal leurs ambitions. Les banques étrangères, loin de s’aligner sur l’agenda de dé-dollarisation de l’alliance, renforcent au contraire leurs réserves en dollars américains. Cette évolution, dans un contexte où les devises locales des BRICS s’effondrent, interpelle davantage sur l’avenir de la multipolarité économique et la résilience du système financier mondial.
Dans un monde multipolaire en pleine recomposition, les stratégies des grandes puissances façonnent les équilibres économiques et politiques. L’analyste Boris Mezhuyev, lors d’un débat à Moscou, a dévoilé un axe potentiel de la future politique étrangère de Donald Trump : s’attaquer directement aux BRICS. Ce repositionnement stratégique pourrait profondément redéfinir les alliances mondiales et affecter des secteurs clés, dont la finance et les cryptos.
Bernstein recommande le Bitcoin comme actif clé pour l’Inde. Dans cet article, découvrez ses arguments chocs !
Alors que le monde redéfinit ses alliances économiques et politiques, la Turquie s’insère au cœur des dynamiques mondiales. En quête d’une influence accrue sur la scène internationale, Ankara se rapproche désormais des BRICS, ce bloc de nations émergentes qui s’impose comme un contrepoids stratégique face aux puissances occidentales traditionnelles. Le récent sommet de Kazan a été marqué par l’annonce de l’attribution d’un statut de « partenaire » à la Turquie. Cette décision, porteuse d’espoirs pour Ankara, ouvre des perspectives de coopération, mais interpelle sur les implications géopolitiques et économiques de ce rapprochement.
L'élection présidentielle américaine de 2024 s'est soldée par une victoire éclatante de Donald Trump, qui remporte cette fois-ci le vote populaire et améliore son score de 2020. Les républicains reprennent le contrôle du Sénat et la Chambre des représentants !
À l'heure où le dollar règne en maître sur le commerce mondial, l'alliance des BRICS semblait pourtant bien décidée à ébranler cet ordre établi. Depuis plusieurs mois, ce bloc économique explorait la possibilité de s’affranchir du dollar et même de créer une monnaie commune pour faciliter leurs échanges. Cependant, le projet de devise unique est désormais abandonné, une décision qui constitue un recul notable pour les BRICS dans leur quête de souveraineté monétaire et dans leur volonté de défier la domination américaine.
Les BRICS viennent d’achever leur sommet à Kazan, dans un contexte géopolitique explosif. Entre guerre en Ukraine, conflit au Moyen-Orient et élections américaines, les BRICS s’imposent de plus en plus comme une alternative à l’Amérique !
Les BRICS vont-ils embrasser le bitcoin ? C'est en tout cas la thèse du responsable de la recherche sur les actifs numériques au sein de la société d'investissement VanEck.
Poutine revient sur la scène internationale en accueillant 36 dirigeants au sommet des BRICS à Kazan. La monnaie impériale est toujours au menu.
La scène géopolitique mondiale est en pleine mutation, et les BRICS, ce groupe de puissances émergentes se trouve au cœur de cette réorganisation. Alors que les tensions économiques et politiques avec l'Occident s'intensifient, plus de trente nations ont exprimé leur volonté de rejoindre cette alliance lors du sommet annuel qui se tient actuellement à Kazan du 22 au 24 octobre 2024. Face à l’hégémonie occidentale, les BRICS cherchent à redessiner l'équilibre des forces et à se libérer de la domination du dollar dans les échanges internationaux.
Israël est aujourd'hui gouverné par des fanatiques millénaristes d'extrême-droite. Bref, des fascistes.
À l’occasion du BRICS Business Forum, les nations de cette alliance émergente ont dévoilé leur tout nouveau système de paiement transfrontalier : BRICS Pay. Cette initiative constitue une volonté assumée de réduire la dépendance au dollar américain, une devise encore prédominante dans les transactions mondiales. Alors que les BRICS cherchent à s’émanciper de l’influence financière des États-Unis, la création d’un système de paiement autonome pourrait bien redéfinir les règles du commerce international.
En 2023, 78 % des exportations de pétrole brut russe ont été dirigées vers deux géants asiatiques : l’Inde et la Chine. Une redistribution radicale qui contraste fortement avec la situation de 2021, où ces deux nations n’absorbaient que 32 % des flux énergétiques russes. Face aux sanctions occidentales qui visent à étrangler son secteur énergétique, la Russie réinvente ses circuits commerciaux avec ses partenaires des BRICS. Ce réalignement stratégique sur l'axe asiatique reflète un changement majeur dans la dynamique mondiale de l'énergie, ce qui amène le bloc BRICS à accélérer ses efforts pour se détacher du système financier dominé par l'Occident.
Le sommet des BRICS présidé par la Russie approche à grands pas. Voici tout ce qu'il faut savoir avant cet événement géopolitique majeur.
Le prochain sommet des BRICS, qui se tiendra à Kazan en Russie du 22 au 24 octobre, apparaît comme une étape clé dans la recomposition internationale en cours. En accueillant à la même table plusieurs puissances en plein essor et des partenaires stratégiques, ce sommet ambitionne de renforcer l'influence du bloc sur les questions économiques, politiques et diplomatiques globales. La présence d’Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, au cœur de ces discussions est un signe fort de reconnaissance de l’importance grandissante des BRICS. Plus qu’un simple déplacement diplomatique, sa participation traduit une volonté d’ouverture et d’intégration de ce groupe dans la gouvernance mondiale.
Le monde est en pleine recomposition géopolitique. Tandis que les tensions entre grandes puissances façonnent les relations internationales, les alliances économiques évoluent à une vitesse inédite. Au cœur de ce nouvel ordre mondial, le BRICS, bloc des grandes économies émergentes, s'affirme comme un acteur clé capable de remodeler les équilibres globaux. Ce groupe, autrefois réservé à cinq membres, s’est récemment ouvert à de nouveaux candidats, ajoutant à ses rangs des géants comme l’Iran ou l’Arabie saoudite. C’est dans ce contexte que la Turquie, sous l'impulsion de son président Recep Tayyip Erdoğan, cherche à rejoindre cette alliance influente. Une décision stratégique qui intervient alors que les perspectives d'adhésion à l'Union européenne s'éloignent, poussant Ankara à diversifier ses partenariats économiques et géopolitiques. Pourtant, cette candidature ne fait pas l'unanimité : le BRICS, encore en phase de consolidation après son dernier élargissement, pourrait temporiser avant de prendre de nouvelles décisions. Et ce, malgré l'intérêt grandissant d'une vingtaine de nations pour rejoindre le groupe.
En pleine période de volatilité économique mondiale, l'Arabie Saoudite a pris une décision qui pourrait bien redéfinir les équilibres énergétiques et géopolitiques. Alors que le prix du baril de pétrole atteignait les 100 dollars, Riyad a choisi d'augmenter considérablement sa production de pétrole, une manœuvre qui vise à faire baisser les prix du brut sur les marchés internationaux.
Dans un monde de plus en plus polarisé, les alliances géopolitiques jouent un rôle capital dans la redéfinition des équilibres de pouvoir. La Corée du Nord, traditionnellement isolée sur la scène internationale, semble intensifier ses efforts pour s'aligner avec des blocs économiques comme les BRICS, dans un contexte de liens croissants avec la Russie. Cette stratégie pourrait avoir des implications majeures, non seulement pour la diplomatie de Pyongyang, mais également pour la géopolitique mondiale. L'absence remarquée de la Corée du Nord à l'Assemblée générale des Nations Unies au profit d'un événement BRICS à Saint-Pétersbourg en est un signe avant-coureur.
La domination du dollar en tant que monnaie de référence dans les échanges internationaux est aujourd'hui plus que jamais remise en question. Alors que les tensions géopolitiques et les sanctions économiques américaines se multiplient, plusieurs puissances émergentes s’organisent pour réduire leur dépendance au billet vert. C’est dans ce contexte que Sergueï LAVROV, ministre des Affaires étrangères de la Russie, et Donald TRUMP, ancien président des États-Unis, se rejoignent dans leurs critiques des politiques actuelles. Selon eux, l’usage systématique du dollar comme outil de sanction fragilise non seulement l’économie américaine, mais aussi la position du dollar sur la scène internationale.
Malgré des sanctions économiques croissantes, la Russie continue de trouver des moyens créatifs pour contourner les interdictions occidentales. D’après le rapport de CERA, la Fédération russe a vendu près de 2 milliards de dollars de pétrole à des pays occidentaux via des intermédiaires. Ce chiffre montre l’ingéniosité avec laquelle le Kremlin maintient son économie à flot malgré les restrictions.
Dans un contexte économique global de plus en plus tendu, la Chine vient d’émettre un conseil stratégique lourd de sens pour ses industriels de l’automobile électrique, la Chine, leader incontesté de la fabrication de voitures électriques, vient de prendre une décision stratégique majeure. Pékin a conseillé à ses industriels de renoncer à toute velléité d'investissement en Inde et en Turquie, deux marchés prometteurs et en plein essor.
Le système financier mondial connaît actuellement de nombreuses mutations. Alors que les sanctions économiques se multiplient, notamment de la part des États-Unis et de l'Union européenne, de nombreuses économies émergentes cherchent des alternatives pour s'émanciper de la domination du dollar et de l’euro. En réponse, les pays des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) ont entamé la création d'une plateforme de paiement alternative. Cette initiative, confirmée par le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï LAVROV, permettrait de faciliter le commerce et les investissements sans passer par les monnaies occidentales.
Le paysage monétaire mondial est en pleine mutation. Tandis que l’influence du dollar américain vacille sous le poids des tensions géopolitiques et des politiques économiques agressives, les BRICS s’apprêtent à redéfinir les règles du jeu. Ils travaillent à lancer une nouvelle monnaie de réserve, un projet audacieux qui pourrait ébranler la suprématie du billet vert et redistribuer les cartes de la finance internationale. Face à l'impact des sanctions économiques, des guerres commerciales et d’une dépendance jugée excessive au dollar, ces puissances émergentes se regroupent pour affirmer leur souveraineté économique. Mais cette nouvelle monnaie, envisagée comme une alternative directe au système financier dominé par les États-Unis, soulève autant d’espoirs que de doutes.
Le candidat républicain à la présidence américaine menace les BRICS de lourdes sanctions économiques si elles se détournent du dollar. Le bitcoin en solution de rechange…
Alors que la Chine révèle de plus en plus son visage totalitaire, Donald Trump et Kamala Harris suscitent de sérieuses inquiétudes quant à leur capacité à défendre les intérêts occidentaux face à Pékin. Seraient-ils sur le point de capituler face à Xi Jinping, et à abandonner Taïwan ?