Les BRICS vont-ils embrasser le bitcoin ? C'est en tout cas la thèse du responsable de la recherche sur les actifs numériques au sein de la société d'investissement VanEck.
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Poutine revient sur la scène internationale en accueillant 36 dirigeants au sommet des BRICS à Kazan. La monnaie impériale est toujours au menu.
La scène géopolitique mondiale est en pleine mutation, et les BRICS, ce groupe de puissances émergentes se trouve au cœur de cette réorganisation. Alors que les tensions économiques et politiques avec l'Occident s'intensifient, plus de trente nations ont exprimé leur volonté de rejoindre cette alliance lors du sommet annuel qui se tient actuellement à Kazan du 22 au 24 octobre 2024. Face à l’hégémonie occidentale, les BRICS cherchent à redessiner l'équilibre des forces et à se libérer de la domination du dollar dans les échanges internationaux.
Israël est aujourd'hui gouverné par des fanatiques millénaristes d'extrême-droite. Bref, des fascistes.
À l’occasion du BRICS Business Forum, les nations de cette alliance émergente ont dévoilé leur tout nouveau système de paiement transfrontalier : BRICS Pay. Cette initiative constitue une volonté assumée de réduire la dépendance au dollar américain, une devise encore prédominante dans les transactions mondiales. Alors que les BRICS cherchent à s’émanciper de l’influence financière des États-Unis, la création d’un système de paiement autonome pourrait bien redéfinir les règles du commerce international.
En 2023, 78 % des exportations de pétrole brut russe ont été dirigées vers deux géants asiatiques : l’Inde et la Chine. Une redistribution radicale qui contraste fortement avec la situation de 2021, où ces deux nations n’absorbaient que 32 % des flux énergétiques russes. Face aux sanctions occidentales qui visent à étrangler son secteur énergétique, la Russie réinvente ses circuits commerciaux avec ses partenaires des BRICS. Ce réalignement stratégique sur l'axe asiatique reflète un changement majeur dans la dynamique mondiale de l'énergie, ce qui amène le bloc BRICS à accélérer ses efforts pour se détacher du système financier dominé par l'Occident.
Le sommet des BRICS présidé par la Russie approche à grands pas. Voici tout ce qu'il faut savoir avant cet événement géopolitique majeur.
Le prochain sommet des BRICS, qui se tiendra à Kazan en Russie du 22 au 24 octobre, apparaît comme une étape clé dans la recomposition internationale en cours. En accueillant à la même table plusieurs puissances en plein essor et des partenaires stratégiques, ce sommet ambitionne de renforcer l'influence du bloc sur les questions économiques, politiques et diplomatiques globales. La présence d’Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, au cœur de ces discussions est un signe fort de reconnaissance de l’importance grandissante des BRICS. Plus qu’un simple déplacement diplomatique, sa participation traduit une volonté d’ouverture et d’intégration de ce groupe dans la gouvernance mondiale.
Le monde est en pleine recomposition géopolitique. Tandis que les tensions entre grandes puissances façonnent les relations internationales, les alliances économiques évoluent à une vitesse inédite. Au cœur de ce nouvel ordre mondial, le BRICS, bloc des grandes économies émergentes, s'affirme comme un acteur clé capable de remodeler les équilibres globaux. Ce groupe, autrefois réservé à cinq membres, s’est récemment ouvert à de nouveaux candidats, ajoutant à ses rangs des géants comme l’Iran ou l’Arabie saoudite. C’est dans ce contexte que la Turquie, sous l'impulsion de son président Recep Tayyip Erdoğan, cherche à rejoindre cette alliance influente. Une décision stratégique qui intervient alors que les perspectives d'adhésion à l'Union européenne s'éloignent, poussant Ankara à diversifier ses partenariats économiques et géopolitiques. Pourtant, cette candidature ne fait pas l'unanimité : le BRICS, encore en phase de consolidation après son dernier élargissement, pourrait temporiser avant de prendre de nouvelles décisions. Et ce, malgré l'intérêt grandissant d'une vingtaine de nations pour rejoindre le groupe.
En pleine période de volatilité économique mondiale, l'Arabie Saoudite a pris une décision qui pourrait bien redéfinir les équilibres énergétiques et géopolitiques. Alors que le prix du baril de pétrole atteignait les 100 dollars, Riyad a choisi d'augmenter considérablement sa production de pétrole, une manœuvre qui vise à faire baisser les prix du brut sur les marchés internationaux.
Dans un monde de plus en plus polarisé, les alliances géopolitiques jouent un rôle capital dans la redéfinition des équilibres de pouvoir. La Corée du Nord, traditionnellement isolée sur la scène internationale, semble intensifier ses efforts pour s'aligner avec des blocs économiques comme les BRICS, dans un contexte de liens croissants avec la Russie. Cette stratégie pourrait avoir des implications majeures, non seulement pour la diplomatie de Pyongyang, mais également pour la géopolitique mondiale. L'absence remarquée de la Corée du Nord à l'Assemblée générale des Nations Unies au profit d'un événement BRICS à Saint-Pétersbourg en est un signe avant-coureur.
La domination du dollar en tant que monnaie de référence dans les échanges internationaux est aujourd'hui plus que jamais remise en question. Alors que les tensions géopolitiques et les sanctions économiques américaines se multiplient, plusieurs puissances émergentes s’organisent pour réduire leur dépendance au billet vert. C’est dans ce contexte que Sergueï LAVROV, ministre des Affaires étrangères de la Russie, et Donald TRUMP, ancien président des États-Unis, se rejoignent dans leurs critiques des politiques actuelles. Selon eux, l’usage systématique du dollar comme outil de sanction fragilise non seulement l’économie américaine, mais aussi la position du dollar sur la scène internationale.
Malgré des sanctions économiques croissantes, la Russie continue de trouver des moyens créatifs pour contourner les interdictions occidentales. D’après le rapport de CERA, la Fédération russe a vendu près de 2 milliards de dollars de pétrole à des pays occidentaux via des intermédiaires. Ce chiffre montre l’ingéniosité avec laquelle le Kremlin maintient son économie à flot malgré les restrictions.
Dans un contexte économique global de plus en plus tendu, la Chine vient d’émettre un conseil stratégique lourd de sens pour ses industriels de l’automobile électrique, la Chine, leader incontesté de la fabrication de voitures électriques, vient de prendre une décision stratégique majeure. Pékin a conseillé à ses industriels de renoncer à toute velléité d'investissement en Inde et en Turquie, deux marchés prometteurs et en plein essor.
Le système financier mondial connaît actuellement de nombreuses mutations. Alors que les sanctions économiques se multiplient, notamment de la part des États-Unis et de l'Union européenne, de nombreuses économies émergentes cherchent des alternatives pour s'émanciper de la domination du dollar et de l’euro. En réponse, les pays des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) ont entamé la création d'une plateforme de paiement alternative. Cette initiative, confirmée par le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï LAVROV, permettrait de faciliter le commerce et les investissements sans passer par les monnaies occidentales.
Le paysage monétaire mondial est en pleine mutation. Tandis que l’influence du dollar américain vacille sous le poids des tensions géopolitiques et des politiques économiques agressives, les BRICS s’apprêtent à redéfinir les règles du jeu. Ils travaillent à lancer une nouvelle monnaie de réserve, un projet audacieux qui pourrait ébranler la suprématie du billet vert et redistribuer les cartes de la finance internationale. Face à l'impact des sanctions économiques, des guerres commerciales et d’une dépendance jugée excessive au dollar, ces puissances émergentes se regroupent pour affirmer leur souveraineté économique. Mais cette nouvelle monnaie, envisagée comme une alternative directe au système financier dominé par les États-Unis, soulève autant d’espoirs que de doutes.
Le candidat républicain à la présidence américaine menace les BRICS de lourdes sanctions économiques si elles se détournent du dollar. Le bitcoin en solution de rechange…
Alors que la Chine révèle de plus en plus son visage totalitaire, Donald Trump et Kamala Harris suscitent de sérieuses inquiétudes quant à leur capacité à défendre les intérêts occidentaux face à Pékin. Seraient-ils sur le point de capituler face à Xi Jinping, et à abandonner Taïwan ?
La Turquie, un membre clé de l'OTAN, vient d’ébranler l'ordre géopolitique mondial avec une demande surprenante d'adhésion au bloc des BRICS, une alliance économique et politique dominée par la Russie et la Chine. Cette initiative est une étape décisive dans la stratégie diplomatique d'Ankara, traditionnellement ancrée dans des alliances occidentales solides. Le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, semble déterminé à redéfinir la position de son pays sur l'échiquier international, en cherchant à établir des partenariats au-delà de ses alliances historiques avec l'Occident. Ce développement intervient à un moment où les tensions géopolitiques sont élevées, remettant en question l'équilibre des forces entre l'Est et l'Ouest.
Les BRICS, composés du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine et de l'Afrique du Sud, ont consolidé leur présence sur la scène internationale en établissant divers partenariats mondiaux. Ces alliances couvrent de nombreux domaines, allant de l'économie et la technologie à la sécurité, l'énergie, et le développement durable. Ces partenariats sont indispensables pour atteindre leurs objectifs stratégiques et accroître leur influence globale. Avec l'élargissement récent du groupe à cinq nouveaux membres (l'Iran, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis) les BRICS, désormais appelés BRICS+, cherchent à renforcer encore davantage leur réseau mondial. Cet article examine en profondeur les différents partenariats des BRICS et BRICS+. Il met en lumière leurs motivations, leurs mécanismes et leur impact sur l'ordre mondial.
Le développement des infrastructures est un pilier central de la croissance économique et du progrès social. Dans les pays BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), ainsi que les nouveaux membres intégrés en 2024 (Iran, Égypte, Éthiopie, Arabie Saoudite, Émirats Arabes Unis), les investissements dans les infrastructures jouent un rôle vital dans le renforcement des capacités économiques et dans l'amélioration de la qualité de vie. Cet article explore en détail comment chaque membre des BRICS, ancien et nouveau, développe ses infrastructures, les défis qu'ils rencontrent et les stratégies qu'ils adoptent pour transformer leur potentiel en résultats concrets.
Les pays du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), auxquels se sont joints l'Iran, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Arabie Saoudite, et les Émirats Arabes Unis en 2024, sont devenus des acteurs clés de l'innovation technologique mondiale. Avec un PIB combiné d'environ 16,6 billions de dollars, les BRICS disposent des ressources et des capacités pour investir massivement dans la recherche et le développement (R&D). Ces pays se positionnent à l'avant-garde des technologies de pointe telles que l'intelligence artificielle (IA), la blockchain, la 5G, les énergies renouvelables, et bien plus encore. Cet article explore les principales innovations technologiques issues des BRICS. Nous y examinons les contributions de chaque pays, leurs stratégies de développement et les implications futures pour l'économie mondiale.
Les BRICS forment un groupe de dix pays émergents qui jouent un rôle de plus en plus influent sur la scène internationale. Ces pays cherchent à remodeler les institutions internationales telles que l'ONU, le Fonds Monétaire International (FMI), et la Banque mondiale pour mieux refléter les réalités économiques et politiques actuelles. L'élargissement récent du groupe des BRICS, avec l'intégration de cinq nouveaux membres en janvier 2024, renforce encore leur capacité à influencer les réformes nécessaires pour un ordre mondial plus équitable et inclusif, loin de la domination historique des pays occidentaux. On fait le point dans cet élément !
Les BRICS, initialement composés du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine, et de l'Afrique du Sud, forment un groupe de grandes économies émergentes qui a récemment élargi ses rangs pour inclure cinq nouveaux membres : l'Arabie saoudite, l'Égypte, les Émirats arabes unis, l'Éthiopie et l'Iran. Ce groupe, connu sous le nom de BRICS+, aspire à jouer un rôle déterminant dans le remodelage de l'ordre mondial en promouvant des réformes dans les institutions internationales et en renforçant la coopération économique et politique entre ses membres. L'objectif est de créer un monde multipolaire, où les économies émergentes ont une voix plus forte et plus influente. Explorons en détail les objectifs stratégiques des BRICS.
Les BRICS désignent un groupe de cinq pays émergents : le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud. Initialement constitué de quatre pays (Brésil, Russie, Inde et Chine), le groupe a été élargi pour inclure l'Afrique du Sud en 2011. Ces pays, bien que géographiquement et culturellement diversifiés, se sont unis pour collaborer sur des questions économiques, politiques et de développement. Leur objectif principal est de promouvoir un système international plus équitable, en reflétant le poids croissant des économies émergentes dans le paysage mondial. À ce jour, les BRICS représentent une part substantielle de la population mondiale et une portion significative du produit intérieur brut (PIB) global.
Les BRICS, initialement composés du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine et de l'Afrique du Sud, ont récemment accueilli cinq nouveaux membres : l'Arabie saoudite, l'Iran, les Émirats arabes unis, l'Égypte et l'Éthiopie, formant désormais un groupe de dix pays. Ensemble, ces nations du "Sud global" cherchent à renforcer leur coopération politique pour influencer la scène internationale. Bien que divers dans leurs contextes politiques et économiques, les BRICS partagent des objectifs communs qui motivent leur collaboration. Explorons ensemble les mécanismes par lesquels ces pays coopèrent politiquement, en analysant les initiatives conjointes, les dialogues et les défis rencontrés.
Les BRICS, désormais élargis à dix pays, incarnent une mosaïque de dynamiques bilatérales riches et complexes. Le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine, l'Afrique du Sud, l'Iran, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis apportent chacun leurs propres perspectives géopolitiques, économiques et culturelles, pour ainsi façonner des relations uniques au sein du groupe. Chaque alliance bilatérale au sein des BRICS est marquée par des défis distincts, mais aussi par des opportunités significatives, offrant une base solide pour renforcer la coopération et redéfinir l'ordre mondial. On fait le tour de la question dans cet article.
Les BRICS, acronyme désignant le groupe des pays formé par le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud, est devenu un acteur majeur sur la scène économique mondiale. Ces nations se distinguent par leur croissance rapide, leur potentiel économique et leur influence politique croissante. En 2024, l'intégration de nouveaux membres a renforcé le poids des BRICS, élargissant leur portée géopolitique et économique. Cet article explore en profondeur chacun des pays membres des BRICS, leurs caractéristiques distinctives, et l'impact de leur coopération au sein du groupe.
Les BRICS, un groupe de pays émergents comprenant le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud, ont progressivement affirmé leur importance sur la scène internationale. En janvier 2024, le groupe s'est élargi pour inclure l'Iran, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis, portant le nombre total de membres à dix. Ce bloc représente désormais une part croissante de la population mondiale, du PIB global et du commerce international. Cet article examine en profondeur comment les BRICS influencent les relations internationales, leurs stratégies pour contrer l'hégémonie occidentale et leur rôle dans la promotion d'un ordre mondial multipolaire.
Les BRICS, regroupant désormais dix pays depuis 2024, mènent des projets de développement ambitieux. Ces initiatives couvrent divers domaines, notamment l'infrastructure, la finance, la santé, la technologie et l'environnement, avec pour objectif de renforcer leur autonomie économique et politique sur la scène internationale. Ce développement vise également à proposer des alternatives aux institutions dominées par l'Occident, comme la Banque mondiale et le FMI. Quels sont les principaux projets de développement des BRICS ? On fait le point dans ce contenu !