PARIS - le 4 mars 2025 — Coinhouse, plateforme cryptos française et enregistrée en tant que PSAN depuis mars 2020, annonce la nomination de Claire Calméjane en qualité d'administratrice indépendante.
PARIS - le 4 mars 2025 — Coinhouse, plateforme cryptos française et enregistrée en tant que PSAN depuis mars 2020, annonce la nomination de Claire Calméjane en qualité d'administratrice indépendante.
Investir dans les cryptos peut sembler complexe avec la multitude d’actifs disponibles et la volatilité du marché. Comment diversifier son portefeuille sans passer des heures à analyser chaque projet ? Les indices crypto offrent une solution simple et automatisée pour s’exposer aux meilleures opportunités du secteur. Bitpanda propose une gamme d’indices crypto qui permettent d’investir stratégiquement tout en réduisant les risques. Grâce à une gestion automatique et un rééquilibrage mensuel, ces indices facilitent l’investissement, que l’on soit débutant ou expert. Dans cet article, découvrez leur fonctionnement, leurs avantages et une comparaison par rapport aux autres solutions d’investissement crypto.
Détenir des cryptos sans les faire fructifier revient à laisser de l’argent dormir sur un compte sans intérêt. Pourquoi ne pas les faire travailler pour vous ? Grâce au staking, il est possible de générer des revenus passifs tout en contribuant à la sécurité des blockchains basées sur le Proof of Stake. Bitpanda simplifie ce processus en offrant une solution intuitive et accessible, sans période de blocage ni complexité technique. Cet article explore le fonctionnement du staking sur Bitpanda, les cryptos disponibles et les rendements proposés. Découvrez aussi un guide détaillé pour commencer à staker en toute simplicité.
Est-ce vraiment possible d’investir régulièrement sans stress tout en profitant des opportunités du marché ? Avec les plans d’épargne Bitpanda, cette approche devient accessible à tous. Plutôt que d’essayer de prévoir les fluctuations du marché, cette solution permet d’acheter automatiquement des cryptos, actions, ETF et métaux précieux à intervalles réguliers. Simple, flexible et sécurisée, elle s’adresse aussi bien aux novices qu’aux investisseurs aguerris cherchant une stratégie optimisée sur le long terme. Dans cet article, nous explorerons en détail le fonctionnement des plans d’épargne Bitpanda, leurs avantages face aux concurrents et comment en tirer le meilleur parti pour dynamiser son patrimoine financier.
Les cryptos attirent de plus en plus d'investisseurs, mais la sécurité reste une préoccupation majeure. Face aux plateformes non régulées et aux risques de piratage, choisir un acteur fiable devient essentiel. Bitpanda s'impose comme une alternative idéale, alliant simplicité, transparence et conformité réglementaire. Désormais, avec l'obtention de la licence MiCAR délivrée par la BaFin, elle renforce sa position en tant que plateforme sécurisée et conforme aux normes européennes. Bitpanda est également enregistrée en tant que Prestataire de Services sur Actifs Numériques (PSAN), ce qui offre une sécurité avancée et une protection optimale des fonds et des données. Dans cet article, nous explorons les garanties offertes par Bitpanda, ses fonctionnalités innovantes et ses avantages face aux autres plateformes crypto.
Investir dans les cryptos est-il réservé uniquement aux experts en finance ? Pas nécessairement. Aujourd’hui, des plateformes simplifiées permettent à chacun d’entrer dans cet univers sans difficulté.
Pour les traders expérimentés, l’accès à une plateforme avancée offrant des fonctionnalités complètes et une exécution rapide des ordres est essentiel. Bitpanda Fusion s’impose comme une solution idéale en combinant une interface intuitive, une liquidité agrégée provenant des plus grands exchanges et des outils professionnels adaptés aux stratégies avancées.
Binance, accusé d’avoir tiré les ficelles du grand bal crypto, se défend. Pendant ce temps, Solana vacille, et les investisseurs cherchent un coupable. Coup de théâtre ou simple panique ?
Dans un secteur où chaque bataille juridique façonne l’avenir du marché, Coinbase vient de marquer un point décisif. L’exchange a annoncé sur LinkedIn ce jeudi 27 février 2025 que les poursuites judiciaires à son encontre avaient été abandonnées, une déclaration qui résonne comme une victoire pour l’entreprise, mais aussi pour…
Le 21 février 2025, le Web3 a connu sa violation la plus dévastatrice à ce jour : Bybit, un échange de premier plan, a été piraté pour 1,4 milliard de dollars en ETH et en ETH mis en jeu, provoquant des ondes de choc dans la communauté des actifs numériques. Cette violation sans précédent a mis en évidence une vérité persistante : les échanges centralisés (CEX) sont le talon d'Achille de la sécurité du Web3.
L’essor des cryptos va au-delà de la spéculation et aux investissements. En effet, l’usage concret de ces actifs comme moyen de paiement atteint un niveau sans précédent, ce qui transforme la perception du secteur. Binance Pay, l’outil de paiement du géant Binance, vient d’enregistrer 72,4 milliards de dollars de transactions en 2024, un chiffre qui témoigne d’une adoption croissante. Cette montée en puissance s’explique notamment par le rôle important des stablecoins et une diversification des usages, dans un contexte où les acteurs traditionnels peinent à suivre la cadence. Alors que les paiements en crypto étaient encore marginaux il y a quelques années, Binance Pay s’impose désormais comme un acteur clé de cette révolution.
La sécurité des plateformes d’échange est une problématique centrale dans l’univers des cryptos. Une nouvelle attaque vient rappeler la vulnérabilité accrue du secteur : Bybit, l’un des exchanges les plus influents, a subi un piratage d’une ampleur exceptionnelle, avec une perte estimée à 1,5 milliard de dollars en Ethereum. L’incident renseigne sur la complexité des attaques qui ciblent les infrastructures crypto, ainsi que les défis auxquels font face les plateformes pour protéger les fonds de leurs utilisateurs. Selon les premières investigations, l’attaque serait l’œuvre du groupe Lazarus, une organisation de cybercriminels affiliée à la Corée du Nord, déjà responsable de plusieurs détournements massifs dans le secteur. Bybit assure pouvoir couvrir les pertes, mais l’événement interroge sur la résilience des exchanges face aux menaces croissantes.
Les cryptos ont souvent été perçues comme un défi pour les régulateurs, mais rarement un État n’avait frappé aussi fort. En effet, le Nigeria, l’une des économies les plus influentes d’Afrique, vient d’intenter un procès retentissant contre Binance, la plus grande plateforme d’échange de crypto au monde. Le gouvernement réclame 81,5 milliards de dollars, une somme colossale qui, selon les autorités nigérianes, correspond à des impôts impayés et à des dommages économiques majeurs. Cette affaire marque une nouvelle escalade dans le bras de fer entre les États et les géants du secteur crypto. Entre accusations de fraude fiscale, détentions d’employés et pressions diplomatiques, Binance se retrouve au cœur d’un contentieux qui dépasse largement le cadre juridique.
Selon les récentes données, les réserves d’Ethereum sur les exchanges sont tombées à 18,95 millions le 18 février, un niveau inédit depuis juillet 2016. Cette diminution suggère un changement d’attitude des investisseurs, qui préfèrent désormais retirer leurs actifs des plateformes d’échange pour les conserver à long terme dans des portefeuilles privés ou en staking. Ce qui pourrait permettre à Ethereum d’atteindre non seulement les 3 000 dollars, mais aussi de dépasser les 3 500 dollars dans les prochains jours.
La Valette, le 18 février 2025 - OKX, entreprise technologique leader mondial de la blockchain, annonce aujourd’hui être parmi les premiers crypto exchanges mondiaux agréé MiCA à pouvoir proposer ses services dans toute l’Europe.
2 millions de fidèles crient « Pi Coin ! », mais Binance, impassible, consulte sans promettre. La démocratie version crypto : voter pour décorer, décider en coulisse.
Changpeng Zhao (CZ), cofondateur de Binance, et Yi He, directrice du service client, ont fermement démenti les spéculations concernant une éventuelle vente de la plus grande plateforme d'échange crypto au monde. Ces déclarations interviennent dans un contexte de tensions réglementaires et de mouvements d'actifs significatifs.
Bybit, l’un des géants de l’écosystème crypto, vient de marquer un point décisif : son retrait de la liste noire de l’AMF en France. Mais derrière cette victoire se cache un puzzle réglementaire complexe, entre ambitions européennes et défis asiatiques. Un coup de théâtre stratégique qui révèle les nouvelles priorités d’un acteur prêt à tout pour conquérir l’Europe.
Les batailles judiciaires entre la SEC et les plateformes crypto sont devenues monnaie courante, mais une pause de 60 jours dans l’affaire Binance surprend les observateurs. Dans un climat de tensions croissantes autour de la régulation des cryptos, cette décision commune constitue une inflexion stratégique. À l’origine de ce développement, la mise en place d’une Crypto Task Force au sein de la SEC, une initiative qui pourrait redessiner l’approche des autorités envers l’industrie. Ce moratoire laisse entrevoir deux scénarios : un durcissement des règles ou une volonté de compromis plus structuré avec les acteurs du marché.
CZ réclame un processus de cotation crypto plus équitable pour éviter les hausses artificielles. Découvrez les détails dans cet article.
L'exchange crypto Coinbase s'affirme comme une force majeure dans le secteur financier américain, avec plus de 420 milliards de dollars d'actifs sous gestion. Cette montée en puissance survient alors que l'entreprise mène un combat acharné contre les restrictions bancaires imposées au secteur crypto.
Le bras de fer entre l’industrie crypto et les régulateurs bancaires américains prend une tournure décisive. Depuis plusieurs années, les entreprises du secteur dénoncent des restrictions qui limitent leur accès aux services bancaires traditionnels. Ce phénomène de « debanking », perçu comme une entrave injustifiée, freine leur développement et alimente un climat d’incertitude. Face à cette situation, Coinbase monte au créneau. Dans une lettre adressée à la Réserve fédérale (Fed), à la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) et à l’Office of the Comptroller of the Currency (OCC), la plateforme réclame la levée des obstacles qui empêchent les banques de collaborer avec les acteurs crypto. Coinbase demande l’annulation d’une directive de l’OCC, car la plateforme estime qu’elle impose un processus d’approbation excessif pour les nouvelles activités bancaires liées aux cryptos. La société juge cette approche contraire à la loi et appelle les régulateurs à reconnaître officiellement le droit des banques à offrir des services de garde et d’exécution de cryptos. Cette offensive intervient alors que le débat prend une ampleur politique. Sous la pression de parlementaires républicains, le Congrès organise cette semaine deux auditions clés, au Sénat et à la Chambre des représentants, pour examiner ces pratiques controversées. L’issue de ces discussions pourrait redéfinir le cadre réglementaire de l’industrie crypto aux États-Unis.
Les décisions de justice qui concernent les cryptos jouent un rôle clé dans l’évolution de la réglementation du secteur. En effet, lorsqu’il s’agit de fonds volés, la question devient encore plus sensible, car elle oppose le principe de confiscation à celui de restitution aux victimes. L’affaire du hack de Bitfinex en 2016, l’un des plus grands vols de bitcoins de l’histoire, cristallise ces tensions. Après la saisie de 94 643 BTC par les autorités américaines, la justice s’interroge sur l’opportunité de les restituer à Bitfinex. Une telle décision pourrait créer un précédent juridique majeur, ce qui influencerait la gestion future des cryptos saisies par les tribunaux.
L’Europe durcit son cadre réglementaire sur les stablecoins, et Kraken est contraint de s’adapter. En effet, l’exchange a annoncé le retrait de l’USDT et d’autres stablecoins pour les utilisateurs de l’Espace économique européen (EEE) avant le 31 mars, en réponse aux exigences du règlement MiCA. Ce texte impose des critères stricts aux émetteurs de stablecoins et limite leur circulation en Europe. Une telle décision illustre un virage majeur pour le marché crypto européen. Alors que Kraken rejoint la liste des plateformes qui se conforment à cette régulation, les investisseurs doivent désormais choisir entre s’adapter aux nouvelles contraintes ou explorer d’autres solutions. Cette transition pourrait réduire l’accessibilité des stablecoins les plus populaires, mais aussi redistribuer les cartes entre les acteurs du marché.
La plus grande plateforme d'échange de cryptomonnaies au monde fait face à de nouvelles accusations, cette fois concernant des liens présumés avec le Hamas. Lors d'une audience au tribunal fédéral de New York le 30 janvier, Binance a fermement rejeté ces allégations, plaidant pour le rejet d'une plainte déposée par les familles des victimes des attaques d'octobre 2023.
L’Union européenne intensifie son contrôle sur les stablecoins non conformes à sa nouvelle réglementation. Crypto.com vient d’annoncer la suppression de Tether (USDT) et de neuf autres cryptos en Europe, une décision qui constitue un virage pour le secteur. Une telle initiative répond directement aux exigences du règlement MiCA (Markets in Crypto-Assets Regulation), qui impose un encadrement strict des stablecoins et des services associés. Après Coinbase, qui a retiré l’USDT en octobre 2024, Crypto.com suit le mouvement et impose un calendrier précis à ses utilisateurs. Dès le 31 janvier 2025, l’achat et le dépôt de ces actifs seront interdits sur sa plateforme européenne. À partir du 31 mars, les fonds restants seront automatiquement convertis en stablecoins conformes à MiCA. Ce retrait dépasse la simple mise en conformité. Il redessine le paysage des stablecoins en Europe, où les plateformes d’échange doivent désormais s’adapter aux nouvelles règles ou risquer des sanctions. Dans un marché en pleine mutation, cette annonce souligne la volonté des régulateurs d’imposer un cadre strict, et laisse planer des incertitudes sur l’avenir des stablecoins décentralisés dans l’UE.
L’industrie mondiale de la crypto, déjà sous pression face à des régulations de plus en plus strictes, est à nouveau ébranlée. En effet, les autorités françaises viennent d’ouvrir une enquête judiciaire qui cible Binance, leader mondial des plateformes d’échange de cryptos. Cette procédure, qui repose sur des accusations graves telles que le blanchiment d’argent, la fraude fiscale et le trafic de stupéfiants, souligne les tensions croissantes entre les régulateurs et les acteurs d’un secteur encore en quête de cadres légaux clairs. Alors que Binance rejette ces allégations, cette affaire pourrait écorner l’image de la plateforme, mais aussi redéfinir les règles du jeu pour l’ensemble de l’industrie.
La Valette, le 23 janvier 2024 - OKX, leader mondial des technologies blockchain, annonce aujourd’hui être le premier exchange d'Actifs Financiers Virtuels (Virtual Financial Asset ou VFA) à recevoir sa pré-autorisation MiCA. Avec cette étape, OKX devrait bientôt obtenir la licence MiCA, lui permettant de proposer ses services crypto réglementés et adaptés à plus de 400 millions d’Européens depuis son siège Maltais.
Les amateurs de Crypto ont vécu un mois de décembre effréné. Malgré la volatilité légendaire de ce marché, l’ascension du bitcoin au-delà des 100 000 dollars a donné le ton. Selon les dernières données de CCData, les échanges mensuels sur les bourses centralisées (CEX) ont atteint de nouveaux sommets. Un véritable tourbillon d’activités qui dévoile l’engouement sans précédent des investisseurs.
Les cryptos évoluent depuis des années dans un flou réglementaire, mais la dernière décision de la Cour suprême des États-Unis constitue un virage décisif pour Binance. Par le rejet de la requête de la plateforme, la plus haute juridiction américaine confirme que les lois sur les valeurs mobilières s’appliquent aux transactions effectuées sur ses serveurs, même si l’entreprise n’a pas de siège physique aux États-Unis. Ce verdict ouvre la voie à une action collective intentée par des investisseurs, qui accusent Binance d’avoir vendu des cryptos non enregistrés. Déjà sous pression après une série de poursuites et un règlement de plusieurs milliards de dollars avec le Department of Justice, l’exchange et son ancien PDG, Changpeng Zhao, voient s’intensifier les défis judiciaires. Ce revers pose une question clé : les États-Unis sont-ils en train d’imposer leur autorité à l’ensemble du marché crypto mondial ?