Comme un cow-boy dégainant son six-coups, Trump dégaine les tarifs réciproques, réveillant d’anciens fantômes économiques et semant la panique du Bitcoin aux places boursières.
Comme un cow-boy dégainant son six-coups, Trump dégaine les tarifs réciproques, réveillant d’anciens fantômes économiques et semant la panique du Bitcoin aux places boursières.
Bitcoin, longtemps maître absolu, regarde impuissant Ethereum lui chiper la vedette : 793 millions injectés contre 407 millions, un coup de Trafalgar sur le marché des ETP.
Les rumeurs sur une monnaie commune des BRICS reviennent régulièrement, et alimentent les spéculations sur un possible contrepoids au dollar. Alors que plusieurs nations cherchent à réduire leur dépendance au billet vert, l’hypothèse d’une devise partagée déclenche l’inquiétude des États-Unis. Donald Trump a d’ailleurs menacé d’imposer des sanctions aux pays qui envisageraient une alternative. Pourtant, le Kremlin vient de désamorcer le débat : aucun projet de ce type n’est en discussion. À la place, le bloc privilégie des plateformes d’investissement conjointes, ce qui laisse planer le doute sur sa véritable stratégie monétaire.
Tesla, naguère roi des routes électriques, voit son empire vaciller : l’Europe détourne le regard, Musk dérape, et la concurrence appuie sur l’accélérateur. Le futur est-il sans lui ?
Dans un virage inédit pour la politique économique américaine, Donald Trump a signé un décret présidentiel qui crée un fonds souverain national, une initiative sans précédent aux États-Unis. Cet instrument financier viserait à stimuler la croissance économique, à financer des infrastructures stratégiques et potentiellement à permettre le rachat de TikTok. La plateforme, dans le viseur de Washington pour des raisons de sécurité nationale, doit impérativement se séparer de ses actionnaires chinois pour poursuivre ses activités sur le sol américain. Grâce à son inspiration des modèles de fonds souverains de la Chine, de la Norvège ou encore de Singapour, l’administration Trump espère réduire la dépendance des États-Unis aux emprunts et renforcer son influence économique mondiale. Toutefois, la mise en place d’un tel mécanisme déclenche de nombreuses interrogations : comment un pays qui accumule un déficit budgétaire massif pourrait-il financer un tel projet ? Quelles seraient les implications géopolitiques d’une intervention directe dans une entreprise technologique d’envergure mondiale ? Entre ambition économique et enjeux diplomatiques, ce fonds souverain constitue un changement majeur qui pourrait redéfinir le rôle de l’État américain sur la scène internationale.
Alors que les marchés crypto suffoquent sous le choc des taxes douanières de Trump, un nouvel acteur entre en scène : David Sacks, l’homme qui murmure à l’oreille de l’IA et des actifs numériques. Le 4 février, ce stratège de l’ombre dévoilera le plan de bataille de Washington pour reprendre…
Le déficit enfle, les impôts aussi, mais Bayrou s’obstine. Accroché à son 49.3 comme un naufragé à sa bouée, il défie la tempête politique qui s’annonce.
Dans un monde en constante mutation, où chaque décision politique redessine les contours du pouvoir, un phénomène d’envergure émerge : l’ascension des BRICS. Cet acronyme, autrefois perçu comme un regroupement symbolique des grandes économies émergentes, s’affirme aujourd’hui comme une force motrice de l’équilibre géopolitique. Avec l’élargissement récent de ce bloc à de nouveaux membres influents, le paysage mondial s’enrichit de dynamiques inédites, ce qui remet en cause l’hégémonie des institutions occidentales. Tandis que Donald Trump entame un second mandat aux États-Unis, axé sur une politique protectionniste et isolationniste, la montée en puissance des BRICS représente un défi stratégique aux implications profondes.
Jadis silencieux, les portefeuilles crypto s’agitent : 36 millions d’âmes numériques explorent la blockchain, bousculant banques et traditions. La révolution monétaire, telle une marée montante, semble inexorable.
Depuis plusieurs décennies, les alliances économiques mondiales évoluent sous l'effet des transformations géopolitiques et économiques. Le bloc des BRICS incarne cette dynamique à travers s'élargissement à de nouveaux membres afin de consolider son influence sur la scène internationale. En 2023, l'Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole, a reçu une invitation officielle à rejoindre cette alliance stratégique. Cependant, contrairement à d'autres pays comme l'Iran ou les Émirats arabes unis, qui ont rapidement accepté, Riyad adopte une posture prudente. Faisal Al-Ibrahim, ministre saoudien de l'Économie et de la Planification, a souligné que le royaume continue d’évaluer minutieusement les implications d’une adhésion. Ce choix stratégique déclenche des interrogations sur les intentions réelles de l’Arabie saoudite et son rôle futur dans ce nouvel équilibre économique.
La Bourgogne-Franche-Comté redevient l'épicentre du Web3 français ! Après deux éditions couronnées de succès, CryptoXR revient plus ambitieux que jamais les 30, 31 janvier et 1er février 2025 à Auxerre. Cette troisième édition s'annonce comme un tournant majeur, propulsant l'événement au rang des rendez-vous incontournable de l'écosystème Web3 en France. Fort d'une croissance exceptionnelle en 2024 (plus de 2500 visiteurs, 50 speakers pour plus de 30 tables rondes et ateliers), CryptoXR 2025 voit encore plus grand.
Entre double sommet et plongeon assuré, le Bitcoin dérive, tandis qu’Ethereum, naufragé des altcoins, sombre dans les eaux troubles d’un marché en déclin.
Entre chiffres record et stratégies subtiles, l’ETF Bitcoin de BlackRock trace sa voie. L’éclat du crypto-phare illumine la finance.
Alors que l’intelligence artificielle et les cryptos bouleversent l’économie mondiale, Donald Trump a profité du Forum économique mondial de Davos pour tracer une vision ambitieuse. Le président américain a déclaré son intention de faire des États-Unis le leader mondial de ces technologies stratégiques. Cette annonce s’insère dans une volonté plus large de réindustrialiser le pays en s’appuyant sur ses vastes ressources énergétiques. Toutefois, ces promesses provoquent de nombreuses questions, tant sur leur mise en œuvre que sur les implications économiques et géopolitiques à venir.
Silk Road s’efface, mais Ulbricht intrigue. Kraken lève des fonds, tandis que 47 M$ en BTC flottent dans les limbes.
Le paysage économique mondial évolue rapidement, porté par des alliances qui traduisent les ambitions des pays émergents de remodeler les pôles d’influence traditionnels. Dans ce cadre, le Nigeria, première puissance économique d’Afrique, a rejoint le cercle des partenaires des BRICS. Cette initiative, orchestrée sous la présidence du Brésil, souligne la volonté de ce bloc de promouvoir une coopération renforcée entre les nations du Sud global. Bien que ce partenariat ne confère pas encore de rôle décisionnel au Nigeria, il reflète une dynamique croissante d’intégration économique et une quête commune de souveraineté financière face aux modèles occidentaux dominants.
« America First » rugit Trump, martelant taxes et forages comme une rengaine. Le Green New Deal expire, l’économie tremble, l’euro s’interroge.
Dans un contexte géopolitique particulièrement tendu, le Forum économique mondial 2025 s'est ouvert hier à Davos, en Suisse. Cette 54e édition réunit plus de 3 000 dirigeants mondiaux pour aborder les défis majeurs de notre époque, dans un climat marqué par le retour de Donald Trump à la présidence américaine.
Bayrou, prophète inquiet, dépeint une Europe spectatrice d’un dollar conquérant et d’un Trump martial, broyant nos rêves d’indépendance. L’heure n’est plus au déni : place au sursaut.
Du 31 janvier au 2 février 2025, Alephium, blockchain de nouvelle génération, s’invite à CryptoXR, la deuxième plus grande conférence crypto en France, pour organiser un hackathon d’envergure en partenariat avec LSW3 (Ligue pour la Sécurité du Web3). Cet événement promet de faire d’Auxerre la capitale française du Web3, attirant plus de 3 000 visiteurs, 70 intervenants et des projets novateurs.
Quand Trump se pose, les cryptos explosent : Bitcoin flirte avec 108K, Ethereum rebondit, Ripple éclate. Un marché en transe ou une bulle qui danse ?
La notion de richesse est complexe à cerner, car elle varie selon les contextes sociaux, économiques et culturels. Pourtant, elle provoque un intérêt constant dans les débats publics. À partir de quel montant peut-on être qualifié de riche ? Une récente étude, fondée sur des données de la Banque de France et les critères de l'Observatoire des inégalités, apporte un éclairage précis. Elle fixe ce seuil à 555 000 euros de patrimoine net, bien loin des images de luxe extrême souvent associées à la richesse. En effet, ce chiffre, qui concerne environ 20 % des ménages français, pose des questions essentielles sur la répartition des patrimoines et les inégalités sociales. Comment cette définition influe-t-elle sur notre perception de la richesse ? Et quelles en sont les implications pour les politiques publiques et la justice sociale ?
Dans un monde où l’énergie façonne les rapports de force géopolitiques, la crise qui frappe Gazprom révèle les fractures d’un géant autrefois inébranlable. Pilier de l’économie russe et instrument stratégique du Kremlin, le groupe est confronté à une chute brutale de ses revenus, aggravée par la perte de ses marchés européens et des sanctions internationales. Désormais contraint de réduire ses effectifs de manière historique, Gazprom se retrouve à une étape décisive, où ses choix stratégiques détermineront son avenir, mais aussi celui de l’économie russe.
Les États-Unis font face à un déficit budgétaire historique, qui atteint 711 milliards de dollars en seulement trois mois, soit une hausse de 39 % par rapport à l’année précédente. Cette explosion des dépenses publiques, couplée à une baisse des recettes fiscales, met à rude épreuve les finances fédérales. Donald Trump, sur le point de retrouver la Maison-Blanche, devra concilier ses promesses de baisse d’impôts avec la nécessité de contenir la dette. Pour l’y aider, Elon Musk a été placé à la tête d’une commission dédiée à l’efficacité gouvernementale. Son ambition : réduire les dépenses fédérales de 2 000 milliards de dollars, même si un objectif à moitié atteint serait déjà un « super résultat ». Entre rigueur budgétaire et impératifs économiques, la future administration se retrouve face à une équation périlleuse, où chaque décision pourrait redéfinir l’équilibre financier du pays.
Les relations économiques mondiales évoluent sous l’effet des tensions géopolitiques et des repositionnements stratégiques des grandes puissances. Dans ce contexte, la Chine et la Russie consolident leur partenariat commercial, qui atteint un record historique de 240 milliards d’euros en 2024. Cet essor illustre un rapprochement stratégique renforcé par les sanctions occidentales contre Moscou et la volonté de Pékin d’étendre son influence. Plus qu’une simple alliance économique, cette coopération envoie un signal clair aux États-Unis et à l’Union européenne, qui cherchent à limiter leur ascendant sur la scène mondiale. Ainsi, l’essor des flux commerciaux, l’usage accru du yuan dans les transactions et la restructuration des circuits financiers internationaux posent désormais la question des conséquences à long terme de cette entente sino-russe.
En fin de cette année, le 3 décembre 2024, Agartha, incubateur suisse dédié aux startups Web3, et SwissBorg, leader dans la gestion d’actifs numériques, ont marqué les esprits en organisant un événement phare : la Crypto Village X-Mas Édition.
Le paysage économique mondial, longtemps dominé par les puissances occidentales et soutenu par la prééminence du dollar, semble à l’aube d’un changement. Face à un système financier centralisé autour des États-Unis et de l’Europe, de nombreuses nations expriment une volonté croissante de se tourner vers des alternatives. Cette tendance s’accélère avec l’annonce récente : plus de vingt pays, issus de plusieurs continents, ont officiellement déposé leur candidature pour rejoindre les BRICS en 2025. Si ce projet aboutit, l’élargissement du bloc formé pourrait renforcer son poids économique, mais également redéfinir l’équilibre des pouvoirs à l’échelle mondiale.
Les innovations techniques, l’essor des nouveaux protocoles et l’intérêt croissant des institutions ont posé les jalons d’une finance décentralisée (DeFi) en pleine ébullition. Au cœur de ce tourbillon, Bitcoin tire son épingle du jeu grâce à son statut de « valeur sûre » du secteur. Pourtant, son potentiel reste encore sous-exploité dans le domaine DeFi. En 2025, cette dynamique pourrait changer. Les experts sont unanimes : la finance décentralisée native du Bitcoin a tout pour devenir un phénomène majeur.
Tandis que Los Angeles suffoque sous un brasier, The Giving Block allume la flamme de l’espoir : crypto-dons rapides, généreux et fiscalement avantageux. Un miracle moderne au goût numérique.
Les marchés financiers détestent l'incertitude, pourtant l’économie mondiale entre dans une période d’instabilité. À l’aube de 2025, les craintes de ralentissement économique, les tensions inflationnistes et les incertitudes politiques se multiplient. Kristalina Georgieva, directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), alerte sur des « vents contraires » et des « divergences » qui menacent l’équilibre économique mondial. L’Europe s’essouffle, les États-Unis surprennent par leur résilience, la Chine affronte une pression déflationniste, et le Brésil lutte contre l’inflation. Derrière ces disparités, un autre facteur préoccupe : l’érosion des investissements dans l’éducation freine l’innovation et la croissance à long terme. Alors que le FMI s’apprête à publier son rapport actualisé, une question demeure : ces fractures économiques creusent-elles un fossé irréversible ou préfigurent-elles un nouvel ordre mondial ?