Crypto : Mastercard et ses partenaires réinventent l’économie numérique avec l’intégration des stablecoins dans les paiements. Les détails !
Crypto : Mastercard et ses partenaires réinventent l’économie numérique avec l’intégration des stablecoins dans les paiements. Les détails !
Bunq, la néobanque européenne bien connue des nomades numériques, élargit son offre : place aux cryptos ! L’appli permet désormais de gérer épargne et crypto dans un même panier, grâce à Kraken.
Tandis que les tensions monétaires internationales s’accentuent, la Chine accélère son offensive contre la domination du dollar. Pékin officialise le lancement d'un plan stratégique pour imposer son propre système de paiement international. Cette initiative marque un tournant majeur dans la redéfinition des flux financiers mondiaux, ce qui renforce l’ambition chinoise d’un ordre économique multipolaire. En ciblant directement les réseaux traditionnels dominés par l’Occident, cette manœuvre capte désormais l’attention des marchés, des gouvernements et des grandes institutions financières.
Une vidéo virale sur TikTok affirme qu’une loi interdisant l’argent liquide aurait été adoptée en France. En quelques jours, cette séquence a ravivé les angoisses autour de la fin du cash et d’une société entièrement numérisée. Pourtant, cette affirmation est fausse, car aucun texte de loi ne confirme une telle interdiction. Derrière ce récit trompeur, un sujet bien réel mérite l’attention : le projet d’euro numérique porté par la BCE, qui vise à compléter les espèces, et non à les faire disparaître.
La Russie, un membre influent du bloc des BRICS, vient de franchir un cap monétaire historique : en février, plus de la moitié de ses importations ont été réglées en roubles. Cette avancée stratégique, confirmée par la Banque centrale, s’intègre dans une rupture nette avec le système dominé par le dollar. Tandis que les tensions avec l’Occident s’intensifient, Moscou réoriente ses échanges vers des partenaires jugés « amicaux », ce qui redéfinit ainsi les équilibres financiers globaux et accélère sa trajectoire vers une autonomie économique renforcée.
Tandis que les faillites bancaires de 2023 continuent d’ébranler les marchés, l’économiste Peter Schiff alimente les craintes d’un effondrement total du système financier américain. Connu pour son attachement à l’or, il prévient qu’une récession d’ampleur historique est en marche et que toutes les banques sont vouées à tomber. Ainsi, ce diagnostic radical, lancé dans un contexte déjà tendu, relance le débat sur la solidité des institutions financières et la viabilité des politiques économiques menées depuis la crise de 2008.
Tandis que les tensions géopolitiques redessinent les équilibres mondiaux, les BRICS accélèrent la mise en place de leur propre réseau de paiement. Pilotée par la Russie, cette infrastructure vise à s’émanciper de SWIFT et à ouvrir une voie financière hors du contrôle occidental. L’annonce de son accessibilité aux pays non membres marque une rupture stratégique. Au-delà d’un outil régional, BRICS Pay devient un levier d’influence globale et un signal fort en faveur d’un ordre monétaire multipolaire.
Entre mixnets, balances blindées et adresses jetables, Vitalik veut rhabiller Ethereum. Pas de révolution, mais une guérilla numérique contre la surveillance de masse. Discrétion exigée, résistance activée.
Tandis que les BRICS intensifient leur stratégie de dédollarisation, Pékin et Moscou franchissent une étape inédite : l’usage du bitcoin pour régler certaines transactions commerciales. Cette initiative, révélée par VanEck, marque un tournant symbolique dans l’internationalisation des cryptos. Elle traduit une volonté assumée de s’affranchir des circuits financiers dominés par l’Occident, en vue de conférer au bitcoin un rôle géopolitique inédit. Ce glissement pourrait préfigurer un nouvel ordre monétaire, dans lequel les cryptos redéfinissent les leviers de souveraineté économique.
Kraken et Mastercard s’allient pour lancer une carte de débit crypto en Europe et au Royaume-Uni. Cette annonce illustre la volonté des géants du secteur de faire des cryptos un outil de paiement concret, au-delà de la spéculation. Dans un marché sous pression réglementaire, cette initiative incarne une nouvelle phase : celle de l’usage, et de l’intégration réelle des cryptos dans le quotidien. Il s’agit d’un signal fort à l’heure où l’industrie cherche des cas d’usage tangibles et conformes.
Dans un contexte géopolitique en pleine recomposition, deux initiatives marquantes ébranlent l’hégémonie du dollar. Le Brésil et la Chine actent un virage stratégique en privilégiant leurs monnaies nationales pour les échanges bilatéraux. De leur côté, la Russie et l’Iran annoncent la mise en chantier d’une nouvelle devise commune pour contourner les sanctions occidentales. Ces mouvements distincts, mais convergents, illustrent une volonté partagée des membres influents des BRICS : bâtir un système financier moins dépendant du billet vert et affirmer une souveraineté monétaire face aux pressions extérieures.
En une seule séance, l’euro s’est envolé de 2,15 % face au dollar, et a atteint 1,109 dollar, sa plus forte hausse depuis 2015. Ce sursaut brutal dépasse la mécanique des taux de change. Il signale une perte de confiance soudaine dans la devise américaine. À travers cette bascule, les marchés semblent réévaluer le rapport de force entre grandes monnaies, dans un contexte où les signaux macroéconomiques et les choix des banques centrales redessinent les lignes de fracture monétaire.
En ce début d’année sous haute tension géoéconomique, la dédollarisation s'impose comme un signal fort d’un basculement monétaire global. Longtemps reléguée au second plan du débat économique, cette dynamique s’intensifie à mesure que la confiance dans la stabilité des États-Unis s’érode. Cette part du dollar dans les réserves mondiales décline lentement mais sûrement, une évolution scrutée par les marchés et redoutée par les stratèges. Derrière ce repli, c’est l’ordre monétaire international qui pourrait entrer dans une phase de recomposition.
À l’ombre des tyrannies, des mains tendues reçoivent des satoshis. La HRF sème la lumière crypto dans les poches invisibles de résistances silencieuses, là où le fiat ne passe plus.
La domination du dollar américain sur le commerce international et les réserves mondiales n’a jamais été autant remise en question. En effet, la Deutsche Bank tire la sonnette d’alarme sur un phénomène grandissant : la dédollarisation parmi les alliés des États-Unis. Face aux tensions géopolitiques et aux sanctions financières, plusieurs nations cherchent à réduire leur dépendance au billet vert. Si cette tendance s’accélère, l’impact pourrait être considérable, ce qui bouleverserait l’équilibre monétaire mondial et redéfinirait les rapports de force au sein du système financier international.
Et si l’indépendance ne passait plus par les armes, mais par des blocs de code ? Les BRICS rêvent de souveraineté en cryptomonnaies, Siluanov en éclaireur numérique.
Les monnaies numériques des banques centrales réduiraient à néant toute vie privée, mais peu semblent s’en inquiéter. Heureusement qu'il y aura toujours le bitcoin.
Les paiements en crypto explosent, mais un danger persiste. Bitget Wallet dévoile tout dans son rapport ! Les détails dans cet article.
L’Union européenne vit une révolution discrète, mais tenace. Un rapport récent d’Oobit, plateforme spécialisée dans les paiements cryptos, révèle que 70 % des transactions en crypto sur son réseau sont absorbés par le commerce de détail, l’alimentation et les boissons. Un chiffre qui pulvérise les clichés sur l’usage marginal des cryptomonnaies. Mais comment expliquer cette infiltration silencieuse dans le quotidien des Européens ? Entre adoption réglementaire et pragmatisme économique, le paysage se redessine.
Lors de sa récente intervention, Subrahmanyam Jaishankar a tenu à dissiper toute ambiguïté sur la position de l’Inde face au dollar : « il n’y a aucune politique de notre part qui vise à remplacer le dollar. À la fin de la journée, le dollar en tant que monnaie de réserve est une source de stabilité économique internationale ».
La présidente de la banque centrale russe s’est ridiculisée en tentant de serrer la bride au bitcoin.
Dans l’ombre des restrictions économiques imposées par l’Occident, Moscou trace une nouvelle voie pour son commerce énergétique. Face à l’exclusion du système financier international, la Russie a trouvé une solution alternative : l’utilisation de Bitcoin (BTC) et Tether (USDt) pour contourner les sanctions et assurer la continuité de ses exportations de pétrole.
Alephium, le projet blockchain innovant axé sur l’évolutivité et la sécurité, continue son expansion en matière d’adoption et de compatibilité. Désormais, les utilisateurs peuvent stocker et gérer leurs tokens ALPH en toute sécurité grâce au support de Tangem Wallet, un portefeuille matériel réputé pour sa simplicité et son approche unique de la gestion des actifs numériques.
L’ordre économique mondial vacille sous l’effet des décisions protectionnistes des États-Unis. Alors que les BRICS ambitionnent de réduire leur dépendance au dollar, un bouleversement majeur pourrait se profiler. Le retour en force des tarifs douaniers américains pourrait alimenter une hausse du billet vert, ce qui menacerait de fragiliser les économies émergentes et de freiner leurs efforts de dédollarisation. Cette montée en puissance potentielle du dollar, loin d’être anodine, pourrait marquer un tournant pour l’équilibre monétaire global.
L'affrontement économique entre le Sud global et les États-Unis prend une nouvelle tournure, et le Brésil s'impose comme un acteur clé de cette bataille monétaire. Par son opposition à la suprématie du dollar américain, le pays latino-américain redéfinit les équilibres financiers mondiaux et remet en question l’architecture traditionnelle du commerce international. Cette décision s’intègre dans un processus de dédollarisation, qui prend de l’ampleur au sein du BRICS, et qui pourrait bien modifier en profondeur les circuits économiques internationaux.
Le géant Fidelity a publié un rapport très intéressant sur le Lightning Network, ce réseau permettant de réaliser des transactions en bitcoins de façon instantanée et quasiment gratuite.
Dans un contexte géopolitique déjà marqué par des tensions économiques croissantes, Donald Trump a ravivé les hostilités commerciales et s’attaque à nouveau au BRICS. Le président américain a qualifié l’alliance économique de « morte » et a menacé de frapper ses membres avec une taxe de 100 % sur leurs exportations vers les États-Unis s’ils persistaient à remettre en cause la suprématie du dollar. Cette déclaration a immédiatement provoqué une réaction diplomatique de la Chine, qui a dénoncé un protectionnisme destructeur et affirmé son engagement à renforcer la coopération entre les économies émergentes.
Les institutions financières du monde entier scrutent la technologie blockchain, et oscillent entre scepticisme et opportunisme. En effet, la Banque Centrale Européenne (BCE), après des années d’analyse, franchit un cap à travers l’annonce d’un projet de règlement interbancaire basé sur la blockchain. Cette initiative, qui vise à permettre aux banques de régler leurs transactions en monnaie de banque centrale sur une infrastructure blockchain, pourrait marquer un virage décisif dans la modernisation des paiements en Europe.
Les symboles monétaires ne sont pas que de simples pièces, ils incarnent des époques, des valeurs et des habitudes ancrées dans la culture d’un pays. Pourtant, aux États-Unis, l’existence du penny est à nouveau remise en question. Donald Trump, en quête de rationalisation budgétaire, souhaite supprimer cette pièce d’un centime qu’il considère comme un gaspillage de ressources. Cette décision, loin d’être anecdotique, déclenche un débat de fond entre nécessité économique et attachement au patrimoine numismatique américain. La mesure, si elle venait à être appliquée, pourrait bouleverser des habitudes commerciales et provoquer des ajustements dans le quotidien des Américains.
La fusion entre technologie et pouvoir est une équation dont Elon Musk semble avoir fait son terrain de jeu. Du contrôle de Twitter (désormais X) aux initiatives spatiales avec SpaceX, le milliardaire a multiplié les incursions dans des sphères traditionnellement réservées aux États. Sa dernière initiative, s’attaquer au système de paiements du Trésor américain, ne lui aura cette fois-ci pas réussi. Ce qui devait être une opération de transparence sur la gestion des flux financiers s’est transformé en un affrontement juridique sans précédent, qui met en cause la légalité d’un tel contrôle. Face à la polémique et aux risques de divulgation d’informations sensibles, la justice a tranché et impose une interdiction immédiate à Musk et ses collaborateurs.