Et si la crypto ne servait plus qu’à spéculer ? Entre voyages, jeux et shopping, elle devient monnaie courante… sauf quand les bugs vous piquent le portefeuille !
Et si la crypto ne servait plus qu’à spéculer ? Entre voyages, jeux et shopping, elle devient monnaie courante… sauf quand les bugs vous piquent le portefeuille !
Une étoile brille plus fort que les autres dans l’arène saturée des néobanques : Revolut. À Londres, on ne cache plus ses ambitions. Avec une levée de fonds d’un milliard de dollars en préparation, l’entreprise vise une valorisation colossale de 65 milliards de dollars. Et au cœur de cette ascension ? Un mot : crypto. Car ce n’est pas seulement une diversification, c’est une stratégie. Une conviction. Une boussole.
Le débat sur la sortie de l'euro refait surface régulièrement en France. Alors que de nouvelles élections présidentielles auront lieu en 2027, la victoire du Rassemblement National, pourrait aboutir à une sortie de l’euro. Les français pourraient bien en ressortir ruinés !
Les cartes crypto rivalisent désormais avec les banques traditionnelles pour les achats quotidiens en Europe. Avec près de la moitié des transactions inférieures à 12 dollars, ces nouveaux outils de paiement transforment les habitudes de consommation. Une révolution silencieuse qui redéfinit l'avenir des paiements européens.
Tandis que Wall Street enchaîne les records, le dollar s’effondre à un rythme inédit depuis 1973. Ce grand écart n’a rien d’anodin. Il reflète un basculement global alimenté par des tensions géopolitiques, une Réserve fédérale sous pression politique, et les incertitudes macroéconomiques. Les repères s’effritent, les marchés cherchent des refuges. Dans cette recomposition silencieuse, mais brutale, les cryptos s’imposent de nouveau dans le champ stratégique, portés par leur logique décentralisée face à l’instabilité des monnaies étatiques.
La Russie ne teste plus. Elle impose. En décrétant l’intégration obligatoire du rouble numérique dans le système bancaire et commercial national, Moscou ne laisse plus place au doute. La transition vers une monnaie contrôlée, programmable et centralisée est en marche. Fini le flou des expérimentations, place à l’architecture d’un système monétaire inédit où chaque transaction pourrait, demain, être tracée, régulée… voire bloquée. Ce choix n’est pas simplement technologique : il est politique, stratégique, presque idéologique. Car derrière l’apparente modernisation des paiements se joue une partie bien plus large.
Le dollar peut-il perdre sa suprématie mondiale ? Ce qui relevait hier de la spéculation prend aujourd’hui une tournure diplomatique concrète. À l’approche du sommet des BRICS à Rio, les grandes économies émergentes placent les transactions en monnaies locales au cœur de leur stratégie. Ce virage s’insère dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes et de revendications du Sud global pour un système financier plus équilibré. Derrière cette dynamique se dessine une redéfinition possible des règles du commerce mondial.
Elon Musk poursuit sa mue de X en une super app multifonctionnelle, calquée sur les modèles asiatiques. Cette semaine, Linda Yaccarino, PDG de la plateforme, a annoncé l’arrivée prochaine de services de trading et d’investissement intégrés. Une telle évolution stratégique majeure pourrait redéfinir les usages financiers du quotidien, tout en rapprochant X de l’ambition longtemps caressée par Musk : devenir un écosystème total, mêlant réseau social, paiement et services financiers, au cœur d’un paysage numérique en pleine recomposition.
Un basculement discret, mais massif redéfinit les équilibres monétaires mondiaux. En effet, plus de 90 pays, portés par les BRICS, abandonnent le dollar dans leurs échanges internationaux. À sa place, le yuan, le rouble ou la roupie s’imposent progressivement. Ce réalignement stratégique, loin d’un simple ajustement technique, remet en cause l’ordre financier bâti autour des États-Unis depuis l’après-guerre. Une volonté assumée de souveraineté économique et une contestation directe de l’hégémonie américaine sur les flux mondiaux sont à l’origine de ce mouvement.
À l’heure où la défiance financière se diffuse en un clic, une vidéo TikTok postée fin mai a relancé les peurs d’un contrôle étatique renforcé. Elle affirme qu’à compter d’octobre 2025, tout virement de plus de 800 euros entre particuliers serait bloqué 24 heures pour vérification fiscale. En quelques jours, la rumeur a semé le trouble chez des milliers de Français. Que dit réellement la réglementation ? Et pourquoi cette annonce virale est-elle totalement infondée ?
Les géants américains du commerce, Amazon et Walmart, explorent actuellement l’émission de leurs propres stablecoins adossés au dollar. Cette initiative, encore en phase exploratoire, pourrait à terme bouleverser le paysage des paiements en ligne et renforcer davantage l’hégémonie du dollar américain.
À l’approche du sommet des BRICS à Rio, Ron Paul tire la sonnette d’alarme : un basculement monétaire se prépare. Le parlementaire évoque un « Rio Reset », une offensive coordonnée des économies émergentes pour marginaliser le dollar dans les échanges mondiaux. Derrière cette déclaration, une dynamique plus large : celle d’un ordre financier multipolaire en gestation. Tandis que les tensions monétaires s’intensifient, l’initiative portée par les BRICS pourrait précipiter un changement de paradigme aux conséquences globales.
Les paiements numériques entrent dans une nouvelle ère. Apple, Google Cloud, Airbnb et X (ex-Twitter) discutent discrètement avec des sociétés crypto pour intégrer des stablecoins à leurs services. Ce virage stratégique marque un basculement clair : la blockchain quitte le champ de l’expérimentation pour devenir un outil d’infrastructure convoité par les géants de la tech.
L’annonce d’Uber d’accepter le bitcoin et d’autres cryptos comme moyens de paiement marque un tournant stratégique. Plus qu’un simple ajout technologique, c’est un signal fort. Le géant de la mobilité entend s’ancrer dans l’économie numérique émergente. À l’heure où les cryptos gagnent du terrain dans les usages quotidiens, Uber ne veut pas suivre la vague, mais contribuer à la façonner. Ce choix pose une question essentielle : quel rôle joueront les géants technologiques dans l’évolution des systèmes de paiement mondiaux ?
Et si votre carte Visa devenait votre portefeuille crypto ultra-sécurisé ? Découvrez Tangem Pay, la révolution qui allie self-custody, paiements sans banques et technologie Web3. Une innovation qui pourrait bien transformer vos dépenses… en liberté financière.
Tandis que les lignes du commerce mondial se déplacent sous la pression géopolitique, Moscou envisage de troquer les devises traditionnelles contre des cryptos pour ses exportations agricoles. Ce n’est pas une expérimentation marginale, mais un projet massif : le règlement de 49,5 millions de tonnes de céréales pourrait se faire en crypto. Une initiative qui, si elle se concrétise, redéfinirait les règles du commerce pour les États sous sanctions et imposer la blockchain comme alternative aux systèmes financiers dominants.
Morgan Stanley secoue les marchés. En effet, la banque d’investissement prévoit une chute de 9 % du dollar américain d’ici un an, ce qui ramène la devise à ses plus bas niveaux depuis la pandémie. Une projection choc, publiée le 31 mai, qui remet en cause le statut dominant du billet vert dans l’ordre monétaire mondial et alimente les craintes d’un basculement durable des équilibres financiers internationaux.
Ledger sort sa carte crypto Visa aux USA avec cashback Bitcoin. Découvrez tous les détails dans cet article.
Doucement, mais sûrement, le pouvoir prépare les esprits à la fin du cash. Heureusement, il y aura toujours le bitcoin.
Et si l’euro s’imposait enfin comme référence mondiale ? À Berlin, Christine Lagarde a surpris son auditoire en affirmant que la monnaie unique européenne pourrait remplacer le dollar comme principal pilier des réserves internationales. Derrière cette déclaration audacieuse, la présidente de la BCE esquisse une stratégie claire : doter l’Union européenne des leviers nécessaires pour peser financièrement et géopolitiquement. Ainsi, dans un monde en recomposition, cette ambition redéfinit les rapports de force monétaires et place l’euro au cœur d’un nouvel équilibre global en gestation.
X, ex-Twitter, bientôt banque, portefeuille et bourse ? Musk joue gros avec X Money, la « folle ambition » de détrôner les banques… à suivre de près !
Tandis que les rivalités géopolitiques se ravivent, la dédollarisation s’impose à nouveau comme un levier de souveraineté monétaire. Longtemps fer de lance de cette ambition, les BRICS semblaient vouloir défier l’ordre économique dominé par Washington. Cependant, un repositionnement stratégique du Brésil, membre influent du bloc, vient bousculer cette trajectoire. En écartant l’idée d’une monnaie commune, le pays rebat les cartes d’un projet déjà fragilisé, révélant les limites d’une coordination monétaire face à la réalité des rapports de force économiques.
Tandis que les grandes puissances émergentes multiplient les appels à réduire leur dépendance au dollar américain, un acteur clé vient de claquer la porte à toute velléité de rupture : l’Inde. Dans un contexte international tendu, où les sanctions occidentales poussent certains pays à explorer des alternatives au système monétaire dominé par le billet vert, New Delhi choisit de jouer la carte de la stabilité. En affirmant qu’elle n’a « absolument aucun intérêt » à s'engager dans une dynamique de dédollarisation, l’Inde envoie un signal fort à ses partenaires au sein des BRICS et du Sud global.
À l’insu du grand public, une bascule monétaire s’opère en Europe. Le dollar américain y perd du terrain. Depuis le début de l’année, des entreprises et fonds étrangers exigent des règlements en devises locales, révélant une fracture stratégique au cœur de la finance continentale. Ce mouvement, loin d’être anecdotique, s’aligne sur les ambitions des BRICS, bien décidés à éroder l’hégémonie du billet vert. Discrètement, c’est l’architecture même des échanges internationaux qui vacille, sous l’impulsion d’une alliance émergente en quête de souveraineté économique.
La BRI révèle que 600 Mds $ en crypto ont circulé en 2024, majoritairement pour spéculation, pas pour usage réel. Les détails ici !
L’architecture monétaire mondiale vacille sur ses fondations. En réduisant à 33 % la part du dollar dans leurs échanges, les BRICS actent une rupture historique. Leur commerce repose désormais majoritairement sur leurs propres devises. Derrière ce basculement, une stratégie assumée, celle de fragmenter un système dominé par le billet vert. Ce n’est plus une intention, c’est un mouvement en cours. Et il redessine les équilibres d’un ordre financier jusqu’ici sous l’influence de Washington.
Crypto : COTI participe au plan secret de la BCE pour lancer l’euro numérique dès 2026. Découvrez les détails dans cet article !
Tether fusionne crypto et IA pour créer une plateforme P2P sans API. Découvrez tous les détails dans cet article !
Le dollar a ralenti, mais les marchés mondiaux ont retenu leur souffle. Après trois semaines de montée, le billet vert cède du terrain, porté par un rapport sur l’emploi plus vigoureux qu’attendu. Cependant, des tensions persistent : une croissance qui tient, des taux figés, les incertitudes tarifaires durables. Les cryptos n’échappent pas à ce ballet monétaire. Pour les traders crypto, chaque soubresaut du dollar redessine la carte du risque, déplace la frontière de la volatilité et recompose les anticipations de liquidité.
Crypto : Mastercard et ses partenaires réinventent l’économie numérique avec l’intégration des stablecoins dans les paiements. Les détails !