Et si l’indépendance ne passait plus par les armes, mais par des blocs de code ? Les BRICS rêvent de souveraineté en cryptomonnaies, Siluanov en éclaireur numérique.
Et si l’indépendance ne passait plus par les armes, mais par des blocs de code ? Les BRICS rêvent de souveraineté en cryptomonnaies, Siluanov en éclaireur numérique.
Les monnaies numériques des banques centrales réduiraient à néant toute vie privée, mais peu semblent s’en inquiéter. Heureusement qu'il y aura toujours le bitcoin.
Les paiements en crypto explosent, mais un danger persiste. Bitget Wallet dévoile tout dans son rapport ! Les détails dans cet article.
L’Union européenne vit une révolution discrète, mais tenace. Un rapport récent d’Oobit, plateforme spécialisée dans les paiements cryptos, révèle que 70 % des transactions en crypto sur son réseau sont absorbés par le commerce de détail, l’alimentation et les boissons. Un chiffre qui pulvérise les clichés sur l’usage marginal des cryptomonnaies. Mais comment expliquer cette infiltration silencieuse dans le quotidien des Européens ? Entre adoption réglementaire et pragmatisme économique, le paysage se redessine.
Lors de sa récente intervention, Subrahmanyam Jaishankar a tenu à dissiper toute ambiguïté sur la position de l’Inde face au dollar : « il n’y a aucune politique de notre part qui vise à remplacer le dollar. À la fin de la journée, le dollar en tant que monnaie de réserve est une source de stabilité économique internationale ».
La présidente de la banque centrale russe s’est ridiculisée en tentant de serrer la bride au bitcoin.
Dans l’ombre des restrictions économiques imposées par l’Occident, Moscou trace une nouvelle voie pour son commerce énergétique. Face à l’exclusion du système financier international, la Russie a trouvé une solution alternative : l’utilisation de Bitcoin (BTC) et Tether (USDt) pour contourner les sanctions et assurer la continuité de ses exportations de pétrole.
Alephium, le projet blockchain innovant axé sur l’évolutivité et la sécurité, continue son expansion en matière d’adoption et de compatibilité. Désormais, les utilisateurs peuvent stocker et gérer leurs tokens ALPH en toute sécurité grâce au support de Tangem Wallet, un portefeuille matériel réputé pour sa simplicité et son approche unique de la gestion des actifs numériques.
L’ordre économique mondial vacille sous l’effet des décisions protectionnistes des États-Unis. Alors que les BRICS ambitionnent de réduire leur dépendance au dollar, un bouleversement majeur pourrait se profiler. Le retour en force des tarifs douaniers américains pourrait alimenter une hausse du billet vert, ce qui menacerait de fragiliser les économies émergentes et de freiner leurs efforts de dédollarisation. Cette montée en puissance potentielle du dollar, loin d’être anodine, pourrait marquer un tournant pour l’équilibre monétaire global.
L'affrontement économique entre le Sud global et les États-Unis prend une nouvelle tournure, et le Brésil s'impose comme un acteur clé de cette bataille monétaire. Par son opposition à la suprématie du dollar américain, le pays latino-américain redéfinit les équilibres financiers mondiaux et remet en question l’architecture traditionnelle du commerce international. Cette décision s’intègre dans un processus de dédollarisation, qui prend de l’ampleur au sein du BRICS, et qui pourrait bien modifier en profondeur les circuits économiques internationaux.
Le géant Fidelity a publié un rapport très intéressant sur le Lightning Network, ce réseau permettant de réaliser des transactions en bitcoins de façon instantanée et quasiment gratuite.
Dans un contexte géopolitique déjà marqué par des tensions économiques croissantes, Donald Trump a ravivé les hostilités commerciales et s’attaque à nouveau au BRICS. Le président américain a qualifié l’alliance économique de « morte » et a menacé de frapper ses membres avec une taxe de 100 % sur leurs exportations vers les États-Unis s’ils persistaient à remettre en cause la suprématie du dollar. Cette déclaration a immédiatement provoqué une réaction diplomatique de la Chine, qui a dénoncé un protectionnisme destructeur et affirmé son engagement à renforcer la coopération entre les économies émergentes.
Les institutions financières du monde entier scrutent la technologie blockchain, et oscillent entre scepticisme et opportunisme. En effet, la Banque Centrale Européenne (BCE), après des années d’analyse, franchit un cap à travers l’annonce d’un projet de règlement interbancaire basé sur la blockchain. Cette initiative, qui vise à permettre aux banques de régler leurs transactions en monnaie de banque centrale sur une infrastructure blockchain, pourrait marquer un virage décisif dans la modernisation des paiements en Europe.
Les symboles monétaires ne sont pas que de simples pièces, ils incarnent des époques, des valeurs et des habitudes ancrées dans la culture d’un pays. Pourtant, aux États-Unis, l’existence du penny est à nouveau remise en question. Donald Trump, en quête de rationalisation budgétaire, souhaite supprimer cette pièce d’un centime qu’il considère comme un gaspillage de ressources. Cette décision, loin d’être anecdotique, déclenche un débat de fond entre nécessité économique et attachement au patrimoine numismatique américain. La mesure, si elle venait à être appliquée, pourrait bouleverser des habitudes commerciales et provoquer des ajustements dans le quotidien des Américains.
La fusion entre technologie et pouvoir est une équation dont Elon Musk semble avoir fait son terrain de jeu. Du contrôle de Twitter (désormais X) aux initiatives spatiales avec SpaceX, le milliardaire a multiplié les incursions dans des sphères traditionnellement réservées aux États. Sa dernière initiative, s’attaquer au système de paiements du Trésor américain, ne lui aura cette fois-ci pas réussi. Ce qui devait être une opération de transparence sur la gestion des flux financiers s’est transformé en un affrontement juridique sans précédent, qui met en cause la légalité d’un tel contrôle. Face à la polémique et aux risques de divulgation d’informations sensibles, la justice a tranché et impose une interdiction immédiate à Musk et ses collaborateurs.
Le statut du dollar américain dans l’économie mondiale provoque une nouvelle fois des tensions. Alors que les BRICS cherchent à s’affranchir de son hégémonie, Donald Trump a balayé d’un revers de main toute possibilité de dédollarisation. « Il n’y a aucune chance que les BRICS remplacent le dollar américain dans le commerce international ou ailleurs », a-t-il affirmé. Cette déclaration intervient à un moment où la Chine, la Russie et leurs alliés intensifient leurs efforts pour limiter leur dépendance au billet vert, notamment à travers des échanges en monnaies locales et la mise en place d’infrastructures financières alternatives. Derrière cette sortie du président américain, une question s’impose : le dollar est-il réellement indétrônable, ou assiste-t-on aux prémices d’un nouvel ordre monétaire ?
La cryptomonnaie XRP refait parler d’elle malgré le fait que le réseau Lightning Network l’ait rendu depuis longtemps tout à fait inutile…
Les tensions économiques entre grandes puissances atteignent un nouveau palier. Le président des États-Unis, Donald Trump, a adressé une menace directe aux pays membres de l’alliance des BRICS, qui cherchent à réduire leur dépendance au dollar américain. Face à ces initiatives de dédollarisation, il a annoncé des tarifs douaniers de 100 % sur leurs exportations vers les États-Unis. Cette prise de position, accompagnée de la création d’un nouvel organisme chargé de collecter ces droits de douane, reflète une volonté claire de défendre la suprématie du dollar et de contrer toute remise en question de l’hégémonie économique américaine. À l’heure où les BRICS explorent des systèmes de paiement alternatifs, cette déclaration pourrait redéfinir les rapports de force sur la scène géopolitique et commerciale mondiale.
Le monde arabe, longtemps marqué par les conflits et la dépendance au pétrole, entame une métamorphose. Un changement radical s'opère, porté par les énergies vertes, la technologie et une nouvelle génération avide de paix.
Le projet des BRICS de créer une monnaie commune provoque un intérêt croissant parmi les économistes et analystes, tant il pourrait redéfinir les équilibres financiers mondiaux. Depuis des décennies, le dollar américain domine en tant que principale devise de réserve, ce qui assure aux États-Unis un pouvoir économique et géopolitique considérable. Lors de leur sommet en 2024 à Kazan, en Russie, les dirigeants des BRICS ont intensifié leurs discussions sur la mise en place d’une alternative baptisée « Unit », conçue pour faciliter les échanges au sein du bloc. Ce projet s’intègre dans une stratégie plus large qui vise à réduire leur dépendance au dollar, dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes et de sanctions économiques. À l’heure où de nombreux pays cherchent à diversifier leurs réserves et à contourner les contraintes imposées par le système monétaire actuel, cette initiative peut-elle véritablement ébranler la suprématie du dollar ?
Depuis plusieurs années, les BRICS cherchent à réduire leur dépendance au dollar américain par le développement d’une alternative monétaire. Pourtant, en ce début de 2025, la réalité du marché des changes leur échappe. Le dollar s’impose plus que jamais, et atteint des sommets tandis que les devises du bloc s’effondrent. La roupie indienne chute à un niveau historique de 85,93, le yuan chinois s’affaiblit et d’autres monnaies locales peinent à résister. Malgré les efforts des BRICS pour contrer l’hégémonie du billet vert, la dynamique actuelle expose les limites de leur stratégie de dédollarisation et pose la question de la viabilité d’une alternative crédible.
Les jeunes taïwanais profitent de la vie comme si de rien n'était. Pourtant, la menace d'une invasion chinoise n'a jamais été aussi présente. Et lorsque le Parti Communiste Chinois lancera l'offensive, nous basculerons officiellement dans une 3e guerre mondiale.
Alors que les innovations numériques transforment en profondeur nos habitudes, Elon Musk se prépare à franchir un cap avec le lancement de X Money. Ce système de paiement, directement intégré à la plateforme X (anciennement Twitter), pourrait redéfinir les normes dans l’univers des paiements numériques. Une récente fuite de code, révélée par un chercheur, a ravivé les rumeurs d’un lancement imminent, bien avant la date officielle annoncée pour cette année 2025. Si cette information se confirme, X Money promet d’introduire des fonctionnalités inédites, notamment le soutien potentiel des cryptos comme le bitcoin et le Dogecoin. À travers ce projet, la plateforme X ambitionne de devenir un acteur incontournable dans les transactions numériques, ce qui provoque des interrogations sur son impact économique et réglementaire.
Le dollar américain s’affirme comme la devise phare de 2024, et domine sans partage le marché des changes. Alors que de nombreuses économies mondiales sont confrontées à des défis tels que l’inflation rapide et les incertitudes géopolitiques, le billet vert affiche sa meilleure performance depuis près de dix ans. Cette progression spectaculaire repose sur plusieurs piliers solides : une économie américaine robuste, des rendements obligataires attractifs et une politique monétaire habilement orchestrée par la Réserve fédérale. À cela s’ajoute un contexte global marqué par l’affaiblissement des devises concurrentes, comme le yen ou l’euro, incapables de rivaliser face à la suprématie du dollar. Cet essor reflète la résilience des États-Unis, mais renseigne également sur les fractures économiques qui secouent le reste du monde.
Sous l’ombre des sanctions, Moscou embrasse Bitcoin, l’or digital. Siluanov rêve d’échanges libres et d’un empire numérique hors des griffes du dollar.
Les dynamiques économiques internationales attirent toujours un intérêt marqué, particulièrement lorsque des coalitions comme les BRICS sont perçues comme une menace pour l’hégémonie du dollar américain. Cependant, les récentes déclarations de la Russie, de l’Inde et de l’Afrique du Sud ont clarifié leur position. En effet, ces pays affirment qu’aucun plan ne vise à affaiblir la monnaie américaine. Ils rejettent fermement les accusations de « dédollarisation » et soulignent leur volonté de maintenir des relations stables avec les États-Unis.
Alors que la plupart des marchés obligataires européens affichent une stabilité relative, la situation en France déclenche de vives inquiétudes. Les rendements des obligations souveraines à 10 ans ont atteint 3,05 %, un niveau exceptionnellement élevé pour une économie majeure de la zone euro. Cette dynamique reflète une combinaison de tensions économiques et de dysfonctionnements politiques, ce qui renforce les doutes sur la gestion budgétaire du pays. Avec une dette publique qui dépasse 112 % du PIB et un déficit qui stagne au-delà des 6 %, la France se distingue comme un cas qui préoccupe au sein de l'Union européenne. Ces évolutions signalent une perte de confiance des investisseurs, mais elles éclairent également sur l'urgence de réformes structurelles pour éviter une dégradation encore plus marquée de sa position sur les marchés financiers.
La guerre civile syrienne a révélé un nouvel usage inattendu des cryptos dans les conflits armés, avec des liens de plus en plus étroits entre technologies financières modernes et enjeux géopolitiques. Une récente enquête de la société d’analyse blockchain Chainalysis renseigne sur l’implication du groupe rebelle Hay’at Tahrir al-Sham (HTS), qui aurait utilisé des dons en cryptos pour financer une offensive décisive contre le régime de Bachar al-Assad. Ces transactions anonymes, devenues courantes dans des zones de conflit, interrogent sur la place de ces actifs dans les contextes de crise et les risques qu’ils engendrent.
Le Salvador va-t-il renoncer à sa loi obligeant tous les commerces à accepter le bitcoin ? C'est ce que réclame le FMI en échange de ses prêts.
Les dynamiques économiques mondiales évoluent, et l’hégémonie du dollar américain semble vaciller. Deux membres influents de l’alliance des BRICS, la Russie et l’Iran, viennent d’annoncer un changement majeur : l’abandon total du dollar pour leurs échanges commerciaux. Alors que cette décision reflète une volonté de souveraineté économique face aux pressions extérieures, elle pourrait également ouvrir la voie à un bouleversement profond des équilibres financiers internationaux.