Le marché du bitcoin bouge, frémit, hésite… et avec lui, les émotions des investisseurs. Voici les 5 points clés à connaître absolument cette semaine pour ne pas naviguer à l’aveugle dans cette mer agitée.
Le marché du bitcoin bouge, frémit, hésite… et avec lui, les émotions des investisseurs. Voici les 5 points clés à connaître absolument cette semaine pour ne pas naviguer à l’aveugle dans cette mer agitée.
Le président américain Donald Trump a propulsé la valeur de sa crypto officielle ($TRUMP) après l'avoir publiquement soutenue sur les réseaux sociaux. Cette promotion directe d'un actif détenu à 80% par ses sociétés affiliées soulève d'importantes questions éthiques et constitutionnelles.
Ethereum attire à nouveau les projecteurs. Tandis que son prix flirte avec un niveau technique décisif, les indicateurs pointent vers un possible rebond de 65 %. Dans l’ombre, BlackRock renforce massivement son exposition à l’ETH, et dépasse le milliard de dollars d’actifs. Une double dynamique technique et institutionnelle qui repositionne Ethereum au cœur des spéculations haussières.
La société japonaise Metaplanet, cotée à Tokyo, a annoncé l’acquisition de 150 Bitcoins supplémentaires, portant son portefeuille à 3 350 BTC. Une décision prise à peine quelques jours après la nomination du fils de l’ancien président américain à son conseil consultatif. Derrière ces chiffres se cache une manœuvre audacieuse : transformer Metaplanet en un géant mondial des réserves bitcoin. Mais pourquoi cet appétit soudain pour la crypto reine, et quel rôle joue Eric Trump dans cette équation ?
Le mining bitcoin n’a jamais été une balade de santé, mais ces derniers temps, c’est carrément un parcours du combattant. Le secteur doit jongler avec une équation délicate : un hashprice qui ne bouge plus, une difficulté qui grimpe, et des frais de transaction qui fondent comme la neige au soleil. Résultat ? Plusieurs mineurs devront bientôt mettre la clé sous le paillasson…
Alors que BlackRock voit dans la récession un tremplin pour le bitcoin, la Réserve fédérale souffle le froid sur l’enthousiasme crypto. Entre prédictions audacieuses et avertissements économiques, le marché navigue en eaux troubles.
Bitcoin s’offre un répit : franchi avec panache, le seuil des 85 000 $ éloigne l’abîme. Un soulagement ? Ou le calme avant la prochaine bourrasque ?
Imaginez un monde où l’or retrouve sa couronne, non pas sous forme de lingots planqués dans un coffre, mais via des jetons numériques scintillants. Max Keiser, éternel trublion de la finance crypto, n’y va pas par quatre chemins. Selon lui, les stablecoins adossés à l’or pourraient bien faire mordre la poussière à ceux indexés sur le dollar et provoquer la fin de l’USD. Comment ?
Nvidia a enclenché le « death cross » : ce nom dramatique pour un simple croisement de moyennes mobiles pourrait bien sonner la fin d’un rallye historique. Mais pendant que Wall Street s’inquiète, les cryptos IA, eux, haussent les épaules (et parfois leur prix). Plongée en trois temps dans ce drôle de ballet.
La commissaire Hester Peirce, désormais à la tête du groupe de travail crypto de la SEC, a annoncé que les projets utilisant des NFT comme mécanisme de financement pourraient bientôt être exemptés de la réglementation sur les valeurs mobilières.
Le Bitcoin vacille, avec une perte de plus de 20 % depuis son sommet historique, ce qui ravive les craintes d’un retournement brutal. Pourtant, certains y voient un simple temps d’arrêt dans un cycle toujours actif. Ainsi, pour Timothy Peterson, cette baisse reste modérée au regard des précédents marchés baissiers, et s’insère dans une phase classique de consolidation plutôt qu’un effondrement structurel.
L’univers crypto n’a jamais craint l’absurde. Mais quand la blockchain se mêle de prophéties bibliques, même les plus aguerris lèvent un sourcil. Sur Polymarket, plateforme de paris prédictifs décentralisés, un contrat audacieux défie les lois du sacré : 3 % de chances que Jésus-Christ fasse son retour avant fin 2025. Un pari insolite, certes, mais révélateur d’une ère où la finance décentralisée épouse les mythologies les plus improbables.
Prenez une grande inspiration : le bitcoin représente désormais 1,3 % de la monnaie mondiale, avec une market cap flirtant avec les 1 700 milliards de dollars. Oui, vous avez bien lu. Un petit bout de code né en 2009 s’est hissé au même buffet que les gros bonnets comme le dollar US (20 900 milliards de dollars) ou l’or (20 200 milliards de dollars). On est peut-être encore loin de renverser la table, mais clairement, Satoshi a bien posé sa serviette.
Alors que le bitcoin effleure les 85 000 $, une tension sourde agite les marchés. Derrière cette apparente résistance se cache un mouvement paradoxal : les « baleines » préparent silencieusement leur offensive. Leur stratégie ? Des paris massifs à la baisse, malgré un rebond technique qui ferait rêver les optimistes. Un jeu risqué, révélateur d’une défiance inédite, mais aussi d’une bataille invisible où chaque dollar compte.
Contre toute attente, BlackRock, le géant mondial de la gestion d’actifs, bouscule les idées reçues sur le Bitcoin. Alors que les cryptomonnaies sont souvent associées à la volatilité et au risque, Robert Mitchnick, responsable des actifs numériques chez BlackRock, démonte ce récit. Dans un contexte où le bitcoin a perdu 20 % de sa valeur depuis son pic de fin 2023, ses déclarations récentes sur CNBC résonnent comme un plaidoyer audacieux. Pourquoi une institution traditionnelle défend-elle une vision aussi disruptive ? La réponse se niche dans une stratégie subtile et une compréhension profonde de l’évolution des marchés.
Le bitcoin vacille après son envolée au-delà des 100 000 dollars. La correction en cours ravive les tensions sur les marchés, ce qui alimente les doutes sur la solidité de la tendance haussière. Tandis que le seuil des 65 000 dollars refait surface dans les projections des analystes, le spectre d’un retournement s’impose. Entre espoir de consolidation et crainte d’un cycle baissier, l’incertitude domine.
La Normandie pourrait bientôt abriter la première ferme de mining de bitcoin en France, financée par le sultanat d’Oman. Ce projet singulier, au croisement des enjeux énergétiques, technologiques et géopolitiques, cristallise les ambitions françaises dans l’économie numérique. À l’heure où la souveraineté énergétique devient centrale, cette initiative interroge sur la place que la France veut occuper dans l’écosystème mondial des cryptos.
Ethereum s’effondre, mais les réserves sur les plateformes crypto fondent encore plus vite. Un rebond historique est-il proche ? Décryptage !
Le taureau du Bitcoin renâcle, les foules ne se pressent pas… ou peut-être l’ont-elles déjà fait, en douce, par un sentier inattendu qu’aucun graphique n’avait tracé.
Ethereum continue d’asseoir sa suprématie dans l’univers des stablecoins, avec un volume de transactions record de 850 milliards de dollars, largement dominé par l’USDT et l’USDC. Cette croissance fulgurante soulève des interrogations : cette adoption massive peut-elle réellement impacter la valorisation d’ETH ou au contraire profiter à ses concurrents ?
Pendant un temps, Tornado Cash était le vilain petit canard de la blockchain. Accusé d’avoir brouillé les pistes de plusieurs milliards de dollars douteux, le fameux mixeur crypto s’était retrouvé sur la liste noire du Trésor américain. Mais surprise ce 21 mars : le couperet est tombé… à l’envers. Le gouvernement des États-Unis a tout bonnement levé les sanctions contre ce protocole. Coup de théâtre ? Peut-être. Signal de changement ? Carrément.
2025 pourrait marquer un point de non-retour pour la crypto. Alors que les marchés traditionnels naviguent entre incertitudes et taux directeurs capricieux, les institutions financières semblent avoir trouvé leur nouvelle boussole : les actifs numériques. Selon une étude récente de Coinbase et EY-Parthenon, 83 % des investisseurs institutionnels prévoient d’augmenter leurs allocations en crypto dès l’an prochain. Un chiffre-choc qui cache une réalité plus complexe, mais surtout une mutation profonde des stratégies d’investissement. Loin des clichés sur la volatilité, la crypto se mue en pilier de portefeuilles institutionnels.
La fin de l’interminable procédure qui opposait la SEC à Ripple n’a surpris personne, car les investisseurs anticipaient déjà ce retrait sous l’effet d’un virage pro-crypto impulsé par l’administration Trump. Si l’annonce a marqué la clôture de l’un des dossiers judiciaires les plus emblématiques du secteur, les marchés, eux, avaient intégré cette issue bien avant son officialisation.
Ah, la SEC… ce gendarme des marchés crypto qui nous donne parfois des sueurs froides. Mais cette fois, elle a décidé de ranger son sifflet et de nous offrir une petite bouffée d’air frais. Le 20 mars 2025, dans une déclaration (presque) historique, la Securities and Exchange Commission a clarifié un point que beaucoup de mineurs attendaient comme le dégel du printemps : NON, le minage en Proof-of-Work (PoW) ne constitue pas une offre de valeurs mobilières !
Les ETF Ethereum ouvrent la voie à une adoption institutionnelle plus large, mais restent incomplets. Pour Robbie Mitchnick de BlackRock, leur principal handicap réside dans l’absence de staking, un pilier du rendement sur Ethereum. Ce manque pourrait limiter leur compétitivité face aux stratégies d’investissement direct, ce qui remettrait en question leur capacité à répondre aux attentes des investisseurs professionnels.
Près de la moitié des experts en crypto affichent leur optimisme quant à l'avenir des jetons d'IA pour 2025, selon une récente enquête de CoinGecko. Ce sentiment positif pourrait présager une dynamique favorable pour ce secteur évalué à 23,6 milliards de dollars.
Le bitcoin se maintient autour des 84 000 dollars après une séance mouvementée et décevante pour les investisseurs, marquée par les déclarations du président Trump au Digital Asset Summit qui n'ont pas répondu aux attentes élevées du marché.
L’euro est-il condamné à dériver au gré des politiques monétaires et des tensions géopolitiques ? Michael Saylor, figure emblématique du bitcoin, en est convaincu. Dans un tweet percutant — « EUR gonna need BTC » — le PDG de MicroStrategy alerte sur l’avenir de la monnaie européenne. Tandis que les États-Unis adoptent massivement les cryptos, l’Eurozone hésite, coincée entre souveraineté et risque d’obsolescence.
Pump.fun, la fabrique à memecoins la plus déjantée de Solana, vient de claquer la porte à Raydium pour lancer son propre DEX, PumpSwap. Une rupture en mode « merci, mais on va faire sans toi », qui sent bon l’indépendance, la stratégie… et une pointe de panique bien déguisée.
Tether surpasse le Canada et devient le 7e acheteur de bons du Trésor US. Quelles sont les conséquences pour le marché crypto ?