Christine Lagarde appelle l'Europe à renforcer son rôle mondial en consolidant le commerce, l'économie et la gouvernance - des mesures qui pourraient également ouvrir de nouvelles portes à la croissance des cryptomonnaies dans toute la région.
Christine Lagarde appelle l'Europe à renforcer son rôle mondial en consolidant le commerce, l'économie et la gouvernance - des mesures qui pourraient également ouvrir de nouvelles portes à la croissance des cryptomonnaies dans toute la région.
Malgré quelques prises de bénéfices, la pression haussière reste forte. Un nouveau plus haut attend le bitcoin.
Tandis que les frappes israéliennes visent les sites sensibles iraniens et que Téhéran répond par des missiles sur Tel-Aviv, l’escalade militaire redéfinit les équilibres au Moyen-Orient. Cependant, une absence stratégique intrigue : celle des BRICS. Nouvel arrivant dans le bloc, l’Iran misait sur un appui solide face à son ennemi juré. Or ni Moscou, ni Pékin, ni New Delhi ne s’engagent. Ce silence met à nu les limites d’une alliance que Téhéran voyait comme un contrepoids à l’hégémonie occidentale.
Le taux du Livret A recule à 2,4 % cette année, ce qui prolonge encore l’attente pour les épargnants. À ce rythme, il faudra près de 30 ans pour doubler un capital. Derrière ce chiffre en apparence technique, une réalité s’impose : la rémunération de l’épargne sécurisée s’effrite. Ce nouvel ajustement interroge la pertinence de continuer à placer ses liquidités sur un produit dont le rendement ne suit plus le rythme des projets ni celui de l’inflation réelle.
Dans le tumulte des recompositions commerciales mondiales, Pékin avance ses pions. La Chine annonce la suppression totale des droits de douane sur les exportations venues de 53 pays africains, élargissant un accès préférentiel à son marché. Derrière le geste, une offensive diplomatique ciblée alors que Washington, sous l’égide de Donald Trump, réactive les leviers protectionnistes face au continent. L’Afrique, longtemps périphérique dans les arbitrages géoéconomiques, devient l’épicentre d’un affrontement d’influences où se croisent ambitions industrielles, alliances stratégiques et récits de souveraineté.
Pour la première fois, l’idée d’une mise sous tutelle de la France par le FMI franchit les portes de Bercy. Longtemps réservée aux pays en crise, cette perspective, désormais assumée au sommet de l’État, révèle l’ampleur du dérapage budgétaire. Une dette abyssale, des charges d’intérêts en forte hausse, et la pression des agences de notation forment un cocktail explosif. Le signal est clair : la souveraineté économique française vacille, et les institutions internationales scrutent désormais Paris avec la même sévérité que les économies en difficulté.
Bukele s’offre des bitcoins comme on s’offre des croissants, défiant le FMI avec panache et jouant à cache-cache comptable tout en promettant monts et merveilles aux Salvadoriens dubitatifs.
Un basculement discret, mais massif redéfinit les équilibres monétaires mondiaux. En effet, plus de 90 pays, portés par les BRICS, abandonnent le dollar dans leurs échanges internationaux. À sa place, le yuan, le rouble ou la roupie s’imposent progressivement. Ce réalignement stratégique, loin d’un simple ajustement technique, remet en cause l’ordre financier bâti autour des États-Unis depuis l’après-guerre. Une volonté assumée de souveraineté économique et une contestation directe de l’hégémonie américaine sur les flux mondiaux sont à l’origine de ce mouvement.
Pendant que Saylor rameute les foules, un outsider japonais croque 10 000 bitcoins… à coup d'obligations sans intérêt. Metaplanet, ou comment séduire Tokyo avec des promesses cryptées.
Le marché crypto attire 1,9 Md$ en une semaine. Faut-il surfer la vague ou se méfier ? Découvrez les chiffres clés dans cet article !
Le 13 juin 2025 marque un tournant dans le conflit Iran-Israël. Les frappes israéliennes massives ont visé le cœur du dispositif militaire iranien. L'Iran a riposté le soir même avec 300 missiles balistiques, franchissant un nouveau seuil dans cette guerre au long cours.
Schiff s’emballe, l’or flambe, le bitcoin bronche. Et si derrière les tweets rageurs se cachait un adieu discret à l’utopie numérique ?
Les frappes israéliennes contre l'Iran bouleversent les calculs de la Réserve fédérale américaine (Fed). Alors que Donald Trump multiplie les pressions pour obtenir un assouplissement monétaire, les banquiers centraux doivent désormais composer avec un nouveau facteur d'incertitude : l'escalade géopolitique qui enflamme les cours du pétrole.
À l’heure où la défiance financière se diffuse en un clic, une vidéo TikTok postée fin mai a relancé les peurs d’un contrôle étatique renforcé. Elle affirme qu’à compter d’octobre 2025, tout virement de plus de 800 euros entre particuliers serait bloqué 24 heures pour vérification fiscale. En quelques jours, la rumeur a semé le trouble chez des milliers de Français. Que dit réellement la réglementation ? Et pourquoi cette annonce virale est-elle totalement infondée ?
Donald Trump a engrangé plus de 600 millions de dollars en 2024, avec une part majeure provenant de l’univers des cryptos. Ce chiffre, tiré d’un document de divulgation financière signé le 13 juin, confirme l’enracinement stratégique du président dans l’écosystème crypto. Entre memecoin à son nom et opérations DeFi à grande échelle, Trump ne se contente plus d’observer le marché : il en devient un acteur central, avec des enjeux financiers et politiques majeurs.
Le marché du crédit immobilier, longtemps à l'arrêt, amorce une reprise nette. En deux mois, la demande de prêts a presque doublé, portée par une baisse des taux et une réouverture des vannes bancaires. Après deux années de blocage lié à la hausse brutale du coût de l’argent, le retournement était attendu. Cependant, cette embellie est-elle durable ou un simple effet de rattrapage ? Tandis qu’avril marque une inflexion, le secteur s’interroge : assiste-t-on au début d’un cycle ou à une parenthèse fragile ?
Polkadot veut troquer ses jetons contre du bitcoin en pleine tempête cryptographique. Une manœuvre audacieuse qui fait trembler les puristes… et sourire les maximalistes en embuscade.
La bourse a ses humeurs, mais parfois, elle a surtout ses peurs. Et ce vendredi, la peur l’a emporté sur tout le reste. Une frappe israélienne contre l’Iran a suffi à provoquer un choc immédiat sur les marchés mondiaux, rappelant à tous que les indices ne sont jamais totalement déconnectés du bruit des bombes. À New York, le Dow Jones a chuté de plus de 600 points dès l’ouverture. Un effondrement brutal qui ne doit rien au hasard, mais tout à la géopolitique. Dans cette équation instable, la volatilité est redevenue la norme, et la Bourse une caisse de résonance du monde réel.
Le 8 juin 2025, un pétrolier sous sanctions américaines et européennes a discrètement accosté au Japon, livrant du brut russe à une raffinerie locale. Ce geste, loin d’être anodin, révèle une fracture silencieuse dans le consensus occidental sur l’énergie. Alors que le G7 tente depuis deux ans d’isoler Moscou, Tokyo privilégie sa sécurité énergétique. Cet épisode, à la fois symbolique et stratégique, pourrait bien redessiner en sourdine les lignes d’un ordre énergétique mondial en recomposition.
Missiles au Moyen-Orient, marchés en déroute : pendant que l’économie s’enrhume, certains font fortune sur les barils… et d’autres préfèrent fuir en or massif. Devinez qui tire les ficelles ?
Venezuela et Argentine adoptent les cryptomonnaies. Découvrez comment l'inflation a stimulé leur adoption en Amérique latine.
Une avalanche d’entreprises sont en passe de faire du bitcoin leur principal actif de trésorerie et de pousser le bitcoin vers de rapides nouveaux plus hauts
Nouvelle prise dans la crypto jungle : la police cueille un suspect de plus, pendant que le chef présumé, planqué au Maroc, attend l'extradition… L'étau se resserre.
En mai, les cryptos s’emballent, les RWA s’envolent, et Binance annonce : « Tout va bien ». Mais derrière les chiffres, une tokenisation rampante bouleverse doucement la finance classique…
Dans un contexte économique où chaque tension commerciale pèse sur les marchés mondiaux, Washington a choisi la fermeté. Ce 11 juin, Howard Lutnick, secrétaire au Commerce, a écarté toute baisse des tarifs douaniers imposés à la Chine. Une annonce sans ambiguïté, malgré un accord annoncé comme « conclu » par les deux capitales. Ce statu quo tarifaire renforce l’incertitude sur les chaînes d’approvisionnement mondiales et envoie un signal clair : l’heure n’est pas à l’apaisement, même sur fond de dialogue diplomatique.
L’inflation américaine de mai affiche un calme trompeur : +0,1 % sur le mois, un chiffre en dessous des prévisions qui a immédiatement dopé les actifs risqués. Toutefois, derrière cette accalmie se profilent des tensions plus durables, alimentées par le retour offensif des hausses tarifaires décidées par l’administration Trump. Ce chiffre, en apparence rassurant, dissimule une réalité plus instable, où les signaux faibles d’un regain inflationniste à venir déclenchent des doutes sur la solidité du cycle économique en cours.
L’économie mondiale s’apprête à connaître sa décennie la plus morose depuis les années 1960. Cette prévision pourrait bien redessiner les rapports de force économiques à l’échelle planétaire. L’alerte est donnée par la Banque mondiale, dont le dernier rapport, publié le 10 juin 2025, brosse un tableau sombre du futur proche, dans un contexte de tensions commerciales accrues et d’incertitudes politiques prolongées.
Le bitcoin est de retour au contact des 110 000 dollars, galvanisé par la ruée des trésoriers d'entreprise et le teasing du conseiller à la Maison-Blanche Bo Hines.
Depuis deux ans, la Russie affiche une croissance économique de plus de 4 %, un chiffre qui pourrait faire pâlir bien des économies européennes. Pourtant, derrière ces indicateurs apparemment solides, la réalité du terrain est tout autre : inflation élevée, consommation dégradée, pénuries persistantes. Le pays, largement converti en « économie de guerre », semble atteindre les limites d’un modèle fondé sur la dépense militaire et la rente énergétique.
Quand Michael Saylor propose à Apple de troquer ses actions contre du bitcoin, c’est pas une blague... ou peut-être une révolution crypto emballée dans un iPhone, qui sait ?