Alors que BlackRock voit dans la récession un tremplin pour le bitcoin, la Réserve fédérale souffle le froid sur l’enthousiasme crypto. Entre prédictions audacieuses et avertissements économiques, le marché navigue en eaux troubles.
Alors que BlackRock voit dans la récession un tremplin pour le bitcoin, la Réserve fédérale souffle le froid sur l’enthousiasme crypto. Entre prédictions audacieuses et avertissements économiques, le marché navigue en eaux troubles.
Bitcoin s’offre un répit : franchi avec panache, le seuil des 85 000 $ éloigne l’abîme. Un soulagement ? Ou le calme avant la prochaine bourrasque ?
Imaginez un monde où l’or retrouve sa couronne, non pas sous forme de lingots planqués dans un coffre, mais via des jetons numériques scintillants. Max Keiser, éternel trublion de la finance crypto, n’y va pas par quatre chemins. Selon lui, les stablecoins adossés à l’or pourraient bien faire mordre la poussière à ceux indexés sur le dollar et provoquer la fin de l’USD. Comment ?
En pleine session de volatilité, le pétrole brut a signé un retournement spectaculaire, porté par des signaux géopolitiques majeurs. Ce regain de vigueur, bien plus qu’un sursaut technique, s’intègre dans une dynamique stratégique globale. Tandis que les marchés scrutent les liens entre matières premières et cryptos, cette évolution reconfigure les équilibres au sein des marchés de l’énergie.
Nvidia a enclenché le « death cross » : ce nom dramatique pour un simple croisement de moyennes mobiles pourrait bien sonner la fin d’un rallye historique. Mais pendant que Wall Street s’inquiète, les cryptos IA, eux, haussent les épaules (et parfois leur prix). Plongée en trois temps dans ce drôle de ballet.
La commissaire Hester Peirce, désormais à la tête du groupe de travail crypto de la SEC, a annoncé que les projets utilisant des NFT comme mécanisme de financement pourraient bientôt être exemptés de la réglementation sur les valeurs mobilières.
Jusqu’en avril, les marchés crypto subiront les contrecoups d’une tempête économique aux racines profondes. Un mélange explosif de tensions géopolitiques et de rigidité des taux d’intérêt étouffe l’appétit pour le risque. Mais derrière ce chaos se cachent des opportunités. Décryptage.
Le 20 mars 2025, Elon Musk a pris la parole en direct depuis Austin pour tenter de contenir la tempête qui secoue Tesla. Alors que l’action s’effondre en Bourse et que les critiques s’intensifient, le PDG a joué la carte de l’apaisement et de la fidélisation, et a misé sur un discours offensif pour préserver la cohésion interne et rassurer sur l’avenir du groupe.
DIV Protocol ouvre son testnet dès la semaine prochaine, en collaboration avec 15 entreprises privées sélectionnées. Pendant plus d’un mois, elles exploreront les capacités de ce cloud innovant, fondé sur la blockchain et le chiffrement post-quantique. Une avancée majeure pour la cybersécurité des données sensibles en entreprise. DIV Protocol lance…
Le Bitcoin vacille, avec une perte de plus de 20 % depuis son sommet historique, ce qui ravive les craintes d’un retournement brutal. Pourtant, certains y voient un simple temps d’arrêt dans un cycle toujours actif. Ainsi, pour Timothy Peterson, cette baisse reste modérée au regard des précédents marchés baissiers, et s’insère dans une phase classique de consolidation plutôt qu’un effondrement structurel.
L’univers crypto n’a jamais craint l’absurde. Mais quand la blockchain se mêle de prophéties bibliques, même les plus aguerris lèvent un sourcil. Sur Polymarket, plateforme de paris prédictifs décentralisés, un contrat audacieux défie les lois du sacré : 3 % de chances que Jésus-Christ fasse son retour avant fin 2025. Un pari insolite, certes, mais révélateur d’une ère où la finance décentralisée épouse les mythologies les plus improbables.
Prenez une grande inspiration : le bitcoin représente désormais 1,3 % de la monnaie mondiale, avec une market cap flirtant avec les 1 700 milliards de dollars. Oui, vous avez bien lu. Un petit bout de code né en 2009 s’est hissé au même buffet que les gros bonnets comme le dollar US (20 900 milliards de dollars) ou l’or (20 200 milliards de dollars). On est peut-être encore loin de renverser la table, mais clairement, Satoshi a bien posé sa serviette.
Alors que le bitcoin effleure les 85 000 $, une tension sourde agite les marchés. Derrière cette apparente résistance se cache un mouvement paradoxal : les « baleines » préparent silencieusement leur offensive. Leur stratégie ? Des paris massifs à la baisse, malgré un rebond technique qui ferait rêver les optimistes. Un jeu risqué, révélateur d’une défiance inédite, mais aussi d’une bataille invisible où chaque dollar compte.
Alors que le marché boursier américain connaît une période de turbulence, Warren Buffett, surnommé l'Oracle d'Omaha, a effectué un retrait stratégique de certains actifs américains pour renforcer ses positions au Japon.
Tandis que l’or numérique de Bitcoin attire les foules, l’ombre d’Ethereum s’épaissit, délaissé, vidangé, impuissant à séduire les mains tremblantes du marché crypto.
Contre toute attente, BlackRock, le géant mondial de la gestion d’actifs, bouscule les idées reçues sur le Bitcoin. Alors que les cryptomonnaies sont souvent associées à la volatilité et au risque, Robert Mitchnick, responsable des actifs numériques chez BlackRock, démonte ce récit. Dans un contexte où le bitcoin a perdu 20 % de sa valeur depuis son pic de fin 2023, ses déclarations récentes sur CNBC résonnent comme un plaidoyer audacieux. Pourquoi une institution traditionnelle défend-elle une vision aussi disruptive ? La réponse se niche dans une stratégie subtile et une compréhension profonde de l’évolution des marchés.
Le bitcoin vacille après son envolée au-delà des 100 000 dollars. La correction en cours ravive les tensions sur les marchés, ce qui alimente les doutes sur la solidité de la tendance haussière. Tandis que le seuil des 65 000 dollars refait surface dans les projections des analystes, le spectre d’un retournement s’impose. Entre espoir de consolidation et crainte d’un cycle baissier, l’incertitude domine.
La hype a filé comme un NFT mal minté : les récits flamboyants de Bitcoin s’effacent, ne laissant que l’écho d’une promesse trop tôt vendue.
Quand le Japon, la Chine et la Corée du Sud se retrouvent à la même table, ce n’est pas pour parler météo. Dans un monde où les tensions commerciales redessinent les alliances, leur récente rencontre pourrait bien changer la donne en Asie… et au-delà. Entre promesses, prudence et projets communs, un nouveau chapitre géopolitique semble s’écrire à trois voix.
La Normandie pourrait bientôt abriter la première ferme de mining de bitcoin en France, financée par le sultanat d’Oman. Ce projet singulier, au croisement des enjeux énergétiques, technologiques et géopolitiques, cristallise les ambitions françaises dans l’économie numérique. À l’heure où la souveraineté énergétique devient centrale, cette initiative interroge sur la place que la France veut occuper dans l’écosystème mondial des cryptos.
Les Émirats arabes unis, désormais membres des BRICS, vont investir 1 400 milliards de dollars aux États-Unis sur dix ans. Annoncée après une rencontre avec Donald Trump, cette manœuvre redessine les équilibres globaux. Entre ambition technologique, calcul diplomatique et projection d’influence, Abu Dhabi bouscule les lignes d’un monde désormais structuré par des alliances économiques à géométrie variable.
Binance branche sa BNB Chain sur turbo : avec Pascal, les transactions crypto filent comme des flèches, laissant les nœuds lents sur le bord du Web3.
Ethereum s’effondre, mais les réserves sur les plateformes crypto fondent encore plus vite. Un rebond historique est-il proche ? Décryptage !
Le taureau du Bitcoin renâcle, les foules ne se pressent pas… ou peut-être l’ont-elles déjà fait, en douce, par un sentier inattendu qu’aucun graphique n’avait tracé.
Et si la blockchain devenait le nouveau garde-fou de l’aide humanitaire ? Une rumeur persistante agite Washington : l’USAID, pilier de l’assistance internationale, pourrait se métamorphoser sous l’impulsion de conseillers de Trump. Leur idée ? Injecter une dose de crypto dans les veines bureaucratiques de l’agence. Objectif affiché : traquer chaque dollar, éradiquer les fuites, et redéfinir la transparence. Un virage audacieux, qui mêle innovation technologique et calcul politique.
L’Union européenne vit une révolution discrète, mais tenace. Un rapport récent d’Oobit, plateforme spécialisée dans les paiements cryptos, révèle que 70 % des transactions en crypto sur son réseau sont absorbés par le commerce de détail, l’alimentation et les boissons. Un chiffre qui pulvérise les clichés sur l’usage marginal des cryptomonnaies. Mais comment expliquer cette infiltration silencieuse dans le quotidien des Européens ? Entre adoption réglementaire et pragmatisme économique, le paysage se redessine.
Ethereum continue d’asseoir sa suprématie dans l’univers des stablecoins, avec un volume de transactions record de 850 milliards de dollars, largement dominé par l’USDT et l’USDC. Cette croissance fulgurante soulève des interrogations : cette adoption massive peut-elle réellement impacter la valorisation d’ETH ou au contraire profiter à ses concurrents ?
Pendant un temps, Tornado Cash était le vilain petit canard de la blockchain. Accusé d’avoir brouillé les pistes de plusieurs milliards de dollars douteux, le fameux mixeur crypto s’était retrouvé sur la liste noire du Trésor américain. Mais surprise ce 21 mars : le couperet est tombé… à l’envers. Le gouvernement des États-Unis a tout bonnement levé les sanctions contre ce protocole. Coup de théâtre ? Peut-être. Signal de changement ? Carrément.
2025 pourrait marquer un point de non-retour pour la crypto. Alors que les marchés traditionnels naviguent entre incertitudes et taux directeurs capricieux, les institutions financières semblent avoir trouvé leur nouvelle boussole : les actifs numériques. Selon une étude récente de Coinbase et EY-Parthenon, 83 % des investisseurs institutionnels prévoient d’augmenter leurs allocations en crypto dès l’an prochain. Un chiffre-choc qui cache une réalité plus complexe, mais surtout une mutation profonde des stratégies d’investissement. Loin des clichés sur la volatilité, la crypto se mue en pilier de portefeuilles institutionnels.
L’alignement des planètes continue. Alors que les États-Unis veulent accumuler « autant de bitcoins que possible », la masse monétaire globale grimpe à nouveau.