Musk joue les cartomanciens 2.0 : des paris crypto sur X, des algos en guise de boule de cristal, et la presse reléguée au rang de prédiction folklorique.
Musk joue les cartomanciens 2.0 : des paris crypto sur X, des algos en guise de boule de cristal, et la presse reléguée au rang de prédiction folklorique.
Sous tension face à une économie incertaine, les marchés guettent chaque geste de la Réserve fédérale. Loin de se limiter aux actifs traditionnels, ses décisions influencent désormais fortement le marché crypto. À l’approche d’une potentielle baisse surprise des taux, le bitcoin retient son souffle. Un tel signal monétaire pourrait propulser la première crypto vers de nouveaux sommets, nourrissant les anticipations d’un rallye historique.
Le 5 juin, BlackRock n’a rien fait. Pas un dollar, pas un mouvement, pas même un frisson. Son ETF Bitcoin IBIT, jusqu’ici machine de guerre des capitaux entrants, est resté figé. Et ce n’est pas anodin. Dans un marché où l’immobilité est souvent plus inquiétante que la panique, cette inaction vaut bien plus qu’un simple chiffre à zéro. Pendant que les autres saignent, BlackRock s’arrête. Et dans ce geste, il y a peut-être plus de stratégie que de torpeur.
Tandis que les marchés scrutent chaque geste de la Fed et que la dette publique américaine franchit de nouveaux records, Donald Trump relance un vaste projet fiscal. Sa proposition est de prolonger et d’amplifier les baisses d’impôts de 2017. Même si ses partisans y voient un levier de croissance, les économistes redoutent une dérive budgétaire massive. Ce texte, surnommé « One Big Beautiful Bill », cristallise les tensions entre ambition politique et viabilité financière.
MiCA même pas digéré, voilà Bruxelles déjà en train d’aiguiser sa hache contre la DeFi : une crypto-législation de plus pour museler les codes rebelles avant 2026 ?
Alors que les géants de la finance traditionnelle peinent à réinventer leur stratégie de réserve, une société japonaise sort des sentiers battus. Metaplanet, surnommée avec audace « la stratégie japonaise », ne se contente plus de flirter avec bitcoin. Elle entre désormais en guerre économique avec une ambition claire : posséder 100 000 BTC d’ici fin 2026. Ce n’est plus un simple pari, c’est un manifeste.
Alors que le marché crypto connaît une volatilité de plus en plus marquée, choisir le bon investissement peut devenir un défi pour les investisseurs. C’est là qu’un outil comme l’indice crypto Bitpanda (BCI) entre en jeu. Qu’est-ce que c’est ? Il s’agit d’une solution automatisée, diversifiée et régulée qui permet de capter la performance du marché sans avoir à se soucier de sélectionner manuellement chaque crypto-actif.
Les paiements numériques entrent dans une nouvelle ère. Apple, Google Cloud, Airbnb et X (ex-Twitter) discutent discrètement avec des sociétés crypto pour intégrer des stablecoins à leurs services. Ce virage stratégique marque un basculement clair : la blockchain quitte le champ de l’expérimentation pour devenir un outil d’infrastructure convoité par les géants de la tech.
La Suisse, jadis coffre-fort discret, s’apprête à vider ses poches crypto à 74 pays... De quoi faire trembler les amateurs d’anonymat numérique planqués dans les Alpes !
Gemini franchit une étape stratégique avec le dépôt d’un projet d’IPO auprès de la SEC. Dans un secteur où chaque initiative d’un acteur historique peut réorienter le marché, la plateforme fondée par les frères Winklevoss s’aligne sur la finance traditionnelle sans renier ses racines crypto. Sur fond de détente réglementaire et d’enthousiasme retrouvé pour les cryptos, cette décision ne relève pas d’un simple mouvement tactique, car elle pose les bases d’un nouvel équilibre entre innovation décentralisée et infrastructures boursières classiques.