Le marché crypto frémit, les traders accumulent, les stablecoins s’envolent. Un prélude à la fête haussière ou le chant du cygne avant un krach inattendu ? L’énigme persiste.
Le marché crypto frémit, les traders accumulent, les stablecoins s’envolent. Un prélude à la fête haussière ou le chant du cygne avant un krach inattendu ? L’énigme persiste.
Depuis des décennies, le dollar américain domine le commerce international et s’impose comme une réserve mondiale incontournable. Mais ce règne absolu est désormais remis en question par le bloc des BRICS. Ainsi, les tensions géopolitiques et l’essor des cryptos poussent plusieurs pays à chercher des alternatives au billet vert. Le bitcoin et les stablecoins émergent alors comme des instruments capables de contourner la suprématie du dollar, mais paradoxalement, ils pourraient aussi renforcer son influence.
Les guerres commerciales redessinent l’économie mondiale. Elles touchent des industries entières et remodèlent les équilibres stratégiques. Parmi les entreprises directement touchées, Tesla se retrouve en première ligne face aux nouvelles mesures tarifaires imposées par Donald Trump. Tesla, dont la Chine est le deuxième marché après les États-Unis, pourrait payer le prix fort de cette escalade économique.
L’évolution du marché financier suit une trajectoire de plus en plus numérique, et les NFT Bonds (obligations tokenisées sous forme de NFT) s’imposent comme une innovation majeure. Dans un monde où la blockchain redéfinit l’accès aux instruments financiers, des acteurs comme Credefi jouent un rôle pionnier en intégrant ces obligations sur la blockchain, rendant ces produits accessibles et liquides.
Le bitcoin montre actuellement des signes de reprise après une période de forte volatilité. Malgré une baisse de 30 % depuis son sommet historique de janvier, la reine crypto semble retrouver un certain équilibre. Plusieurs éléments clés émergent, laissant entrevoir un retour du BTC à 90 000 dollars dans les prochains jours.
Le bitcoin, porté par l’euphorie post-électorale, a atteint un sommet à 108 000 dollars avant de chuter sous les 80 000 dollars. L’instabilité économique mondiale et les tensions commerciales croissantes nourrissent une volatilité accrue. Malgré un discours pro-crypto, Donald Trump adopte une politique protectionniste qui inquiète les investisseurs. Entre craintes de récession et incertitude monétaire, le marché crypto vacille face aux turbulences macroéconomiques.
On les disait morts, ces braves SHIB. Mais l’équipe aboie, brûle des tokens par paquets et prépare une vengeance qui pourrait mordre bien plus fort que prévu. Ça va saigner !
Alors que les banques centrales mondiales s’essoufflent dans une course à l’impression monétaire sans fin, François Asselineau, président de l’UPR, propose un virage radical : intégrer 5 à 10 % de bitcoin dans les réserves de la Banque de France. Une idée qui secoue les certitudes économiques traditionnelles et interroge notre rapport à la souveraineté. Derrière cette proposition, un constat implacable : le Bitcoin n’est pas une simple cryptomonnaie, mais un outil de résistance face à l’effritement des libertés financières.
L’ombre d’une tempête économique plane, teintée d’un rouge vif et d’un pragmatisme imprévisible. La « Trumpcession » – ce néologisme qui sonne comme un avertissement – résume l’inquiétude grandissante face à une guerre commerciale aux conséquences imprévues. Entre relance et restriction, la Fed et la Banque d’Angleterre restent coincées entre des taux à ajuster et une inflation menaçante. Comment éviter l’effet domino ? La réponse exige plus qu’un manuel d’économie : une audace tactique.
Le marché des memecoins traverse une période difficile, et Pepe (PEPE) ne fait pas exception. Alors que la plupart des cryptos affichent une légère reprise, PEPE est le seul memecoin en baisse sur 24 heures. Une performance qui pourrait marquer le début de la fin de PEPE !