Mastercard et Polygon facilitent les transferts crypto en remplaçant les longues adresses de portefeuilles par de courts pseudonymes vérifiés pour des transactions plus sûres et plus simples.
Mastercard et Polygon facilitent les transferts crypto en remplaçant les longues adresses de portefeuilles par de courts pseudonymes vérifiés pour des transactions plus sûres et plus simples.
L'OCC a clarifié que les banques américaines peuvent détenir et utiliser des cryptomonnaies pour couvrir les frais de réseau blockchain, offrant des directives plus claires pour les opérations d'actifs numériques.
Michael Saylor ne mâche pas ses mots. Lors d'une interview accordée mardi à Fox Business, le président exécutif de Strategy a écarté d'un revers de main les craintes concernant l'impact de Wall Street sur le Bitcoin. Pour lui, l'arrivée des institutions financières traditionnelles n'a pas fragilisé l'actif numérique. Au contraire, elle l'aurait stabilisé.
Le parlement argentin vient de frapper un grand coup : dans un rapport accablant, il qualifie d’escroquerie présumée la promotion de la crypto $LIBRA par Javier Milei, un scandale qui a coûté 400 millions de dollars aux investisseurs. Pourtant, ses alliés n’y voient qu’une « bouffonnerie » politique. Qui dit vrai ?
La fragmentation des réseaux Layer 2 d'Ethereum est devenue une préoccupation croissante, poussant la Fondation Ethereum à proposer une nouvelle orientation. La montée en charge a permis des transactions plus rapides et des frais plus bas, mais a aussi compliqué l'expérience utilisateur. Les ponts, portefeuilles spécifiques aux chaînes et liquidité dispersée continuent de ralentir l'activité dans l'écosystème. La couche d'interopérabilité Ethereum proposée (EIL) vise à rassembler ces parties et à restaurer une expérience plus unifiée.
Tandis que le bitcoin vacille, une entreprise fait le pari inverse. Strategy, premier détenteur corporate de BTC, continue d’acheter massivement en pleine tourmente, là où d’autres fuient. Sa stratégie radicale, souvent critiquée, pourrait pourtant lui ouvrir les portes du très sélectif S&P 500 dès décembre. Une éventualité qui, il y a peu, relevait encore de la science-fiction financière. Ce scénario, encore impensable il y a quelques années, cristallise un basculement majeur entre la finance institutionnelle et les cryptos.
BlackRock s’offre une cure de staking pour son Ethereum : un ETF en gestation qui promet du rendement aux gros portefeuilles. La crypto, elle, continue de trotter vers Wall Street.
Tandis que les marchés guettent chaque signal macroéconomique pour anticiper les mouvements de la Fed, un indicateur majeur vient de déjouer les prévisions. Le déficit commercial des États-Unis a reculé de près de 24 % en un mois. Dans un contexte mondial sous haute tension, entre accords tarifaires renégociés et chaînes d’approvisionnement bousculées, ce repli inattendu interpelle sur des enjeux stratégiques. Il pourrait aussi influencer les flux de capitaux, redessiner les équilibres économiques, et renforcer l’intérêt pour les actifs décentralisés comme le bitcoin.
La prudence s'installe sur les marchés. En quelques semaines, les investisseurs ont vu leurs espoirs d'assouplissement monétaire s'envoler tandis que le Bitcoin perdait son élan. Mais cette correction annonce-t-elle un simple repli ou le début d'un véritable marché baissier ?
Une nouvelle étape vient d’être franchie dans l’intégration des cryptos aux marchés traditionnels. Bitwise a déposé ce 19 novembre le formulaire 8-A pour son ETF XRP, un signal clair d’une cotation imminente sur le NYSE. Le produit, attendu par les acteurs institutionnels, pourrait être lancé dans les prochaines heures, marquant un tournant stratégique pour le XRP et renforçant la légitimité des cryptos auprès de la finance régulée.