CoinShares rejoint la liste croissante des entreprises déposant une demande pour un ETF au comptant Solana alors que l'intérêt du marché augmente.
CoinShares rejoint la liste croissante des entreprises déposant une demande pour un ETF au comptant Solana alors que l'intérêt du marché augmente.
Dans le tumulte des recompositions commerciales mondiales, Pékin avance ses pions. La Chine annonce la suppression totale des droits de douane sur les exportations venues de 53 pays africains, élargissant un accès préférentiel à son marché. Derrière le geste, une offensive diplomatique ciblée alors que Washington, sous l’égide de Donald Trump, réactive les leviers protectionnistes face au continent. L’Afrique, longtemps périphérique dans les arbitrages géoéconomiques, devient l’épicentre d’un affrontement d’influences où se croisent ambitions industrielles, alliances stratégiques et récits de souveraineté.
Le taux du Livret A recule à 2,4 % cette année, ce qui prolonge encore l’attente pour les épargnants. À ce rythme, il faudra près de 30 ans pour doubler un capital. Derrière ce chiffre en apparence technique, une réalité s’impose : la rémunération de l’épargne sécurisée s’effrite. Ce nouvel ajustement interroge la pertinence de continuer à placer ses liquidités sur un produit dont le rendement ne suit plus le rythme des projets ni celui de l’inflation réelle.
En juin 2025, l’industrie quantique franchit une étape historique. L’université d’Oxford annonce un record mondial avec une porte quantique atteignant un taux d’erreur de seulement 0,000015 %, soit une erreur toutes les 6,7 millions d’opérations. Quelques jours plus tard, IBM dévoile sa feuille de route vers un ordinateur quantique à 200 qubits logiques, baptisé Starling, attendu pour 2029. De son côté, le PDG de Nvidia, Jensen Huang, affirme que le secteur de l’informatique quantique atteint un point d’inflexion, annonçant une nouvelle ère technologique. Face à cette accélération, une question majeure s’impose : le Web3 est-il prêt pour le monde post-quantique ? La réalité est plus inquiétante qu’il n’y paraît.
Alors que le monde entre dans une nouvelle zone de turbulences, entre guerre au Moyen-Orient, flambée des prix de l’énergie et incertitude monétaire, une anomalie persiste : le bitcoin ne baisse pas. Il grimpe. C’est un paradoxe saisissant dans un climat où les actifs traditionnels vacillent. Faut-il y voir une nouvelle preuve de sa mue en valeur refuge ? Ou une illusion de stabilité nourrie par l’euphorie des marchés ?
Tandis que la planète brûle, Dogecoin frétille ! Volume gonflé, signaux clignotants : la blague crypto pourrait bien redevenir sérieuse. Faut-il acheter avant que ça explose ?
Les principales plateformes d’échange de cryptomonnaies Coinbase et Gemini sont proches d’obtenir des licences pour opérer légalement dans l’Union européenne (UE) en vertu du règlement sur les marchés des crypto-actifs (MiCA). Avec ces licences, elles rejoindraient d’autres bourses mondiales comme Bybit, qui a obtenu l’approbation de l’Autorité des marchés financiers…
Alors que le bras de fer juridique entre la SEC et Ripple s’éternise, XRP refuse de céder au pessimisme. Bien au contraire, l’actif montre une étonnante vitalité sur les marchés dérivés. Cette résistance inattendue soulève une question essentielle : XRP serait-il en train de préparer un retournement stratégique, à contre-courant du climat réglementaire actuel ?
Les tensions militaires au Moyen-Orient entrent dans une phase critique. Tandis qu’Israël intensifie ses frappes contre l’Iran, les marchés de prédiction s’emballent. La probabilité d’une frappe américaine grimpe à des niveaux inédits. Ce regain de volatilité alimente les craintes d’un embrasement régional, surveillé de près par les investisseurs, notamment dans l’écosystème crypto.
L’Europe, jadis pionnière dans la régulation des cryptos, pourrait bientôt n’être qu’un simple couloir traversé par l’innovation sans jamais la retenir. Tandis que les États-Unis et l’Asie multiplient les avancées concrètes, le Vieux Continent s’enlise dans la prudence. Catriona Kellas, responsable juridique chez Franklin Templeton, ne mâche pas ses mots : l’UE risque d’être reléguée au rang de spectatrice, incapable de rivaliser face à la dynamique des grandes puissances concurrentes.