Ethereum boudé, Wall Street panique, BlackRock vide ses sacs... La crypto sent le brûlé, mais quelques milliardaires semblent flairer une bonne odeur de rachat. L’odeur des soldes ?
Ethereum boudé, Wall Street panique, BlackRock vide ses sacs... La crypto sent le brûlé, mais quelques milliardaires semblent flairer une bonne odeur de rachat. L’odeur des soldes ?
Tandis que le bitcoin s’impose comme un actif de référence à l’échelle mondiale, c’est l’architecture même de son marché qui évolue en profondeur. Hors du champ des prix et des polémiques réglementaires, une mutation est à l’œuvre. En effet, l’essor des produits dérivés, en particulier les options, redéfinit les équilibres du marché. Ce basculement, souvent négligé, pourrait bien marquer l’entrée du bitcoin dans une nouvelle ère de maturité et d’intégration financière.
Tandis que l’Europe accélère vers les paiements numériques et prépare l’euro digital, la BCE crée la surprise. Elle recommande de garder du cash chez soi. Cette injonction révèle une réalité trop souvent évacuée des discours officiels : la fragilité des systèmes numériques face aux crises. Un tel retour assumé à l’argent liquide ne marque pas un pas en arrière, mais une anticipation lucide des risques systémiques, entre pannes, tensions géopolitiques et cyberattaques.
Tandis que l’euphorie s’estompe de plus en plus sur le marché crypto, Pi Network, déjà controversé, vient de frôler un nouveau plus bas historique. Officiellement, le contexte global est en cause. Cependant, les signaux techniques dessinent un tableau plus sombre encore : absence de rebond, faiblesse du volume, indicateurs dans le rouge. Le doute s’installe. Pi Network est-il en train de perdre le contrôle de sa trajectoire ?
Séduction en ligne, confiance aveugle et promesses de gains rapides : il n’aura fallu que quelques mois pour qu’un retraité du Colorado voie disparaître 1,4 million de dollars. Mais derrière ce drame individuel se dessine une réalité plus inquiétante : la prolifération des escroqueries dans un secteur crypto encore trop peu régulé.
Les analystes de Deutsche Bank soulignent le rôle croissant du Bitcoin aux côtés de l'or en tant qu'actif potentiel pour les réserves des banques centrales et la finance mondiale.
L'activité des dérivés Bitcoin est restée intense pendant le week-end, avec des contrats à terme et options montrant une forte liquidité mais un sentiment mitigé. Samedi, le Bitcoin s'est échangé à 109 449 $, la barre des 110 000 $ agissant comme une zone clé pour les paris haussiers et les couvertures protectrices. Les signaux du marché indiquent désormais la prudence, les indicateurs techniques étant plutôt baissiers, tandis que les flux de contrats à terme et d'options révèlent un positionnement profond.
Haider Rafique avertit qu'une réserve nationale de Bitcoin pourrait déstabiliser les marchés et exercer une pression significative à la baisse sur les prix du Bitcoin.
Bitcoin s'engage en octobre avec les traders qui surveillent sa performance saisonnière pour le momentum. Les participants du marché ont inventé le terme "Uptober" pour décrire l'histoire des gains hors norme du mois, et l'attention se tourne maintenant vers la question de savoir si 2025 poursuivra cette tendance. Après un septembre modeste, les investisseurs pèsent la performance passée par rapport aux conditions actuelles pour juger si le dernier trimestre pourrait déclencher un autre rallye.
James Wynn, l’homme qui a flirté avec les milliards en crypto, parie maintenant sur ASTER… Un airdrop, un levier 3x et beaucoup d’audace : hold-up ou hara-kiri ?