La situation de l’emploi en France connaît une détérioration préoccupante. Selon les derniers chiffres publiés le 27 janvier 2025 par le ministère du Travail, le nombre de demandeurs d’emploi sans activité (catégorie A) a bondi de 3,9 % au quatrième trimestre 2024 par rapport au trimestre précédent. Cela représente 117 000 chômeurs supplémentaires, portant le total à 3,1 millions de personnes, un niveau qui n’avait pas été observé depuis une décennie, hors période Covid-19.
Le Sénat de l'Arizona fait un pas historique vers l'adoption institutionnelle des cryptomonnaies avec l'avancement d'un projet de loi autorisant l'État à investir jusqu'à 10% de ses fonds publics en bitcoin. Cette initiative pourrait déclencher une vague d'adoption similaire dans d'autres États américains.
Le marché des cryptos alterne entre envolées spectaculaires et corrections abruptes, et Solana ne fait pas exception. Après un début d’année chahuté, marqué par une volatilité exacerbée, le jeton SOL a perdu 17,2 % en seulement trois jours, ce qui ramène son prix à 235 dollars. Cette chute, bien que brutale, ne résume pas à elle seule la situation de l’écosystème. Derrière le déclin du prix, des signaux contrastés émergent. D’un côté, l’activité on-chain s’effondre avec une baisse de 40 % des volumes de transactions, ce qui fragilise des plateformes majeures comme Orca (-62 %) et Meteora (-45 %). De l’autre, le Total Value Locked (TVL) bondit de 27 %, et dépasse Ethereum et BNB Chain, grâce à des plateformes comme Raydium et Binance Staked SOL. Ainsi, les investisseurs hésitent encore à miser sur un véritable rebond. Trois facteurs clés permettront de savoir si Solana peut inverser la tendance et retrouver ses sommets historiques.
Nvidia vacille, Bitcoin frémit. Quand 600 milliards partent en fumée, la crypto-phare sent le vent tourner. Et si l’avenir doré du BTC se dessinait dans les cendres de la tech ?
Le 28 janvier 2025, la bourse Cboe BZX a déposé de nouvelles demandes d'ETF axés sur Solana pour Bitwise, VanEck, 21Shares et Canary Capital. Après un échec cuisant en 2024, ces initiatives visent à relancer l'examen de la SEC, marquant ainsi une étape importante pour l'adoption crypto sur les marchés financiers traditionnels.
Le gouverneur de la Banque nationale tchèque, Aleš Michl, a récemment proposé un plan ambitieux visant à investir jusqu'à 7 milliards de dollars en Bitcoin (BTC) dans le cadre de la stratégie de diversification des réserves de la banque. Cette proposition, qui sera présentée au conseil d'administration de la banque le 30 janvier 2025, pourrait faire de la Banque nationale tchèque la première banque centrale européenne à investir dans le bitcoin.
Après le Texas, c’est au tour de la Russie d’utiliser l’industrie du bitcoin pour équilibrer son réseau électrique et réduire la facture. Quand la France ve-t-elle se réveiller ? Et l'Allemagne ?
Quand DeepSeek aspire les neurones d’OpenAI, Microsoft crie au hold-up, et la marine US barricade ses serveurs. La guerre froide numérique bat son plein.
Les tensions monétaires s’intensifient à mesure que les BRICS accélèrent leur quête d’indépendance face au dollar américain. Cette dynamique bouleverse les stratégies économiques mondiales et pousse les grandes puissances à repenser leurs réserves financières. Actuellement, l’administration Trump a annoncé la création d’un « stock stratégique de cryptos », ce qui relance un débat explosif entre les partisans du bitcoin et ceux du XRP. Certains y voient une reconnaissance officielle du rôle de ces actifs dans la politique monétaire, tandis que d’autres s’interrogent sur les cryptos qui seront réellement intégrées. Au-delà d’une rivalité technologique, cette confrontation révèle des enjeux géopolitiques majeurs : le choix des BRICS entre le bitcoin, le XRP ou une autre crypto pourrait remodeler l’équilibre des réserves mondiales et redéfinir les rapports de force entre les États.
L’Union européenne intensifie son contrôle sur les stablecoins non conformes à sa nouvelle réglementation. Crypto.com vient d’annoncer la suppression de Tether (USDT) et de neuf autres cryptos en Europe, une décision qui constitue un virage pour le secteur. Une telle initiative répond directement aux exigences du règlement MiCA (Markets in Crypto-Assets Regulation), qui impose un encadrement strict des stablecoins et des services associés. Après Coinbase, qui a retiré l’USDT en octobre 2024, Crypto.com suit le mouvement et impose un calendrier précis à ses utilisateurs. Dès le 31 janvier 2025, l’achat et le dépôt de ces actifs seront interdits sur sa plateforme européenne. À partir du 31 mars, les fonds restants seront automatiquement convertis en stablecoins conformes à MiCA. Ce retrait dépasse la simple mise en conformité. Il redessine le paysage des stablecoins en Europe, où les plateformes d’échange doivent désormais s’adapter aux nouvelles règles ou risquer des sanctions. Dans un marché en pleine mutation, cette annonce souligne la volonté des régulateurs d’imposer un cadre strict, et laisse planer des incertitudes sur l’avenir des stablecoins décentralisés dans l’UE.