Alors que le règlement européen MiCA entre progressivement en application, la Comisión Nacional del Mercado de Valores (CNMV) de l'Espagne a décidé de poser des balises claires, presque abruptes, pour les acteurs crypto opérant sur son territoire. Pas de zone grise prolongée, pas de flottement réglementaire. Le message est limpide. Se conformer, ou sortir
En 2024, les memecoins ont cessé d’être de simples blagues numériques pour devenir des outils de mobilisation politique. Propulsés par les élections américaines et l'influence de figures clivantes, ces tokens ont capté l'attention des marchés et cristallisé des récits électoraux sur la blockchain. Leur ascension fulgurante a redéfini les codes de la spéculation crypto. Toutefois, cette bulle alimentée par l’émotion et la viralité n’a pas tenu. Quelques mois plus tard, le marché s’est effondré, révélant la fragilité de cette dynamique.
La commission bancaire du Sénat américain vient de décaler à 2026 les auditions cruciales sur la réglementation des marchés crypto. Cette décision survient alors que l'industrie attendait impatiemment des règles claires pour sortir du flou juridique. Pourquoi ce nouveau délai, et quelles conséquences pour le secteur ?
La menace quantique plane sur le Bitcoin. Charles Edwards, fondateur du fonds Capriole, lance un avertissement sans équivoque : sans protection adéquate d'ici 2028, le roi des cryptos pourrait s'effondrer. Une prédiction qui résonne alors que le marché traverse déjà des turbulences.