Fasciné par le bitcoin depuis 2017, Evariste n'a cessé de se documenter sur le sujet. Si son premier intérêt s'est porté sur le trading, il essaie désormais activement d’appréhender toutes les avancées centrées sur les cryptomonnaies. En tant que rédacteur, il aspire à fournir en permanence un travail de haute qualité qui reflète l'état du secteur dans son ensemble.
Un milliard. Pas en obligations, pas en or. En Ether. Quand SharpLink Gaming ouvre son chéquier, ce n’est pas pour jouer — c’est pour tout miser sur la table Ethereum. Pendant que la vieille finance s’accroche à ses taux d’intérêt comme à une bouée, une entreprise de paris sportifs vient de poser une bombe thermonucléaire sur le paysage crypto.
Le paysage européen de la crypto vient de connaître un tournant stratégique : Bybit, l’un des poids lourds mondiaux des plateformes d’échange, décroche la précieuse licence MiCA en Autriche et établit son quartier général européen à Vienne. Une opération à double impact, à la fois réglementaire et géopolitique, qui ouvre à Bybit les portes d’un marché de près de 500 millions d’Européens. Une manœuvre audacieuse à un moment critique pour l’industrie crypto mondiale.
Le débat entre l’or et le bitcoin n’est plus théorique. Il est désormais tranché par ceux qui façonnent les marchés mondiaux. Lors de la conférence Bitcoin 2025, BlackRock a marqué les esprits. Son message : l’avenir se joue en numérique. Et le bitcoin a désormais l’avantage.
Le bitcoin ne dort jamais. Alors que les regards sont tournés vers les ETF et les débats géopolitiques, une activité silencieuse mais lourde de conséquences se déroule en coulisses : les anciens détenteurs de BTC, longtemps silencieux, réapparaissent sur le radar. Depuis février, plus de 4,02 milliards de dollars en bitcoins ont été dépensés, un signal aussi intrigant qu'inquiétant. Loin d'un simple détail, ce déplacement massif de fonds révèle une tectonique en cours dans l'écosystème Bitcoin.
L’annonce a fait l’effet d’une onde de choc : Donald Trump apporte son soutien total au Bitcoin Act, un projet de loi ambitieux prévoyant l’achat d’un million de bitcoins par l’État américain. Loin des polémiques habituelles, cette initiative marque un tournant décisif dans la stratégie économique du pays, avec des implications géopolitiques profondes.
Le vent souffle fort sur le marché crypto, et Blockchain Group vient d’y jeter de l’huile… numérique. La société française cotée à Paris a levé pas moins de 72 millions de dollars pour se procurer près de 590 nouveaux Bitcoins. Un mouvement audacieux, frontal, et surtout inédit en France. Pendant que d'autres parlent de diversification, Blockchain, lui, achète le futur à prix comptant.
Alors que le bitcoin flirte avec des sommets et que le marché des cryptos se pare à nouveau de vert, une anomalie frappe de plein fouet : XRP, pourtant habitué aux projecteurs, enregistre un effondrement inattendu de ses flux. Loin des réjouissances qui électrisent ADA, SOL ou même SUI, Ripple semble faire bande à part… et pas dans le bon sens. Retour sur une redistribution des cartes qui pourrait bien redéfinir les priorités des investisseurs institutionnels.
Le mélange entre politique, extravagance et cryptomonnaies promettait un cocktail explosif. Il a surtout accouché d’un malaise culinaire et d’un discours creux. Lors du dîner très sélect organisé par Donald Trump pour honorer les plus gros détenteurs de son memecoin éponyme, un invité n’a pas mâché ses mots : « ridicule », « camelote », « bullshit ». L’événement, censé incarner le sérieux d’un virage crypto assumé, s’est transformé en satire involontaire. Et ce sont les petits fours, comme les promesses, qui sont mal passés.
En quelques secondes, le calme des marchés s’est évaporé. Une annonce fracassante de Donald Trump a suffi à faire vaciller les indices… et à entraîner Bitcoin dans sa chute. Retour sur une journée électrique où la cryptomonnaie phare a, une fois de plus, montré qu’elle est au cœur des turbulences mondiales.
La blockchain n’oublie rien, mais elle sait parfois rebondir avec une élégance inattendue. Tandis que certains observateurs reléguaient Ethereum à une lente stagnation, l’affaire Pectra est venue réécrire le scénario. 3,8 milliards de dollars injectés dans l’écosystème plus tard, la deuxième crypto par capitalisation s’offre un nouveau souffle. Est-ce un simple feu de paille ou les prémices d’une renaissance ? Décryptage.
Avril 2025 restera dans les mémoires comme un mois particulièrement sombre pour le Livret A. Cet outil d'épargne préféré des Français affiche un bilan négatif inédit depuis 2009, avec des retraits dépassant les dépôts de 200 millions d'euros. La baisse récente de son taux de rémunération semble avoir provoqué une désillusion générale chez les épargnants.
Alors que la crypto redessine peu à peu les lignes du pouvoir financier mondial, le Parti démocrate américain traverse une tempête politique inédite. Le vote du Sénat du 19 mai sur la loi GENIUS – un cadre réglementaire pour les stablecoins – a fissuré l’unité déjà fragile des démocrates. En acceptant d'avancer la législation, seize sénateurs ont choisi de naviguer en eaux troubles, au risque d'alimenter la défiance de leur propre électorat.
Bitcoin avance, trébuche parfois, mais ne cesse jamais d’intriguer. Aujourd’hui, Jack Dorsey, cofondateur de Block, bouscule une croyance gravée dans le marbre depuis 15 ans : la place des satoshis. Soutenant le controversé BIP 177, il veut rebaptiser la plus petite unité de bitcoin et abolir à jamais les interminables décimales. Objectif : rendre les paiements crypto aussi instinctifs qu’un tap sur smartphone.
Les drames financiers s’enchaînent mais ne se ressemblent pas dans l’univers crypto. Dernier rebondissement : Cardano, longtemps encensé pour son sérieux académique, voit surgir une accusation explosive de détournement d’environ 600 millions de dollars en ADA. Charles Hoskinson, figure tutélaire du projet, promet un audit. L’affaire pourrait redéfinir la confiance au cœur même de la gouvernance décentralisée.
Le printemps 2025 a beau être doux, la blockchain de bitcoin, elle, chauffe comme jamais. Dimanche, le prix du BTC a frôlé de nouveau les 106 000 $, réveillant de vieux réflexes de FOMO. Pourtant, l’indicateur le plus bruyant n’est pas la cotation, mais ces micro-montants qui s’additionnent : les frais de transaction. Avec une moyenne mobile de 2,40 $ — un dollar de plus qu’au début du mois — ils battent déjà le record annuel. Derrière cette apparente broutille se cache une radiographie sans filtre de l’état du réseau et de la psychologie des détenteurs.