La crypto Dogecoin teste le seuil des 0,24 $ entre signaux techniques négatifs et espoir d’un ETF imminent. Quel scénario l’emportera ?
Solana n’a pas besoin d’un costume trois-pièces pour convaincre. Le réseau avance, vite, et parfois à contre-courant des habitudes crypto. Pantera Capital le dit sans détour : nous approchons d’un point d’inflexion. Le marché, lui, n’a peut-être pas encore ajusté ses lunettes.
L’échange Crypto.com se retrouve au cœur d’une nouvelle affaire de cybersécurité. Selon Bloomberg, une attaque menée par un adolescent et son complice aurait permis de divulguer des données personnelles d’utilisateurs. Un épisode d’autant plus inquiétant que la plateforme aurait choisi de passer cette faille sous silence.
À l’approche d’octobre, le marché crypto ravive une mécanique désormais familière : l’effet « Uptober ». Derrière ce terme devenu un mantra saisonnier, une donnée récurrente intrigue les analystes. En effet, depuis plusieurs années, octobre s’impose comme l’un des mois les plus haussiers pour le bitcoin, souvent après un mois de septembre en léger rebond. Ce schéma, à la fois statistique et psychologique, façonne les anticipations des investisseurs et agit comme un déclencheur potentiel dans un contexte déjà marqué par une reprise progressive du marché.
Promis pour 2026, l’euro numérique fait déjà des remous : Lagarde y voit souveraineté, Navarrete inutile gadget, et les banques craignent un bank run digital.
Un bridge blockchain paralysé, plus de deux millions de dollars envolés, et une communauté dans l’attente d’explications. Dix jours après le piratage du pont Shibarium, aucune trace des fonds dérobés, et le système reste totalement bloqué. Ce silence opérationnel maintient l’écosystème Shiba Inu dans un flou inquiétant, où chaque jour sans réponse érode un peu plus la confiance.
Chat Control veut scanner vos messages « pour protéger ». Résultat ? Berlin hésite, Bruxelles s’embrouille, et le Web3 sort les pop-corn : quand Big Brother inspire la décentralisation.
L’intelligence artificielle s’impose désormais dans le quotidien, au point de devenir incontournable. Si ses usages séduisent, notamment pour simplifier le quotidien, elle nourrit aussi des craintes profondes. Une enquête du Pew Research Center, menée en juin 2025, met en lumière un paradoxe : les Américains craignent que l’IA n’érode leur humanité.
En Albanie, les ministres tremblent : une IA baptisée Diella entre au gouvernement. Transparence promise, démocratie secouée… et l’opposition tape du poing comme au théâtre.
La machine à dollars tokenisés s’est rallumée. Dans la foulée de la baisse de 25 points de base décidée par la Fed le 17 septembre, Tether a accéléré l’émission d’USDT. Au total, 5 milliards frappés en huit jours, dont 1 milliard supplémentaire le 19 septembre sur Ethereum, selon Onchain Lens. Le timing n’a rien d’un hasard : quand le coût de l’argent recule, la soif de liquidité sur les marchés crypto remonte instantanément.
Et si Ethereum abandonnait la spéculation pour miser sur la stabilité ? Vitalik Buterin propose un virage stratégique inattendu : faire du DeFi à faible risque le moteur économique principal du réseau. Il s’agit d’une vision sobre, loin des memecoins et NFT, mais potentiellement structurante. À l’image de Google, dont la recherche finance l’écosystème, Ethereum pourrait trouver dans ce DeFi discret, mais régulier une base durable. Cette rupture assumée pourrait redéfinir les priorités de tout l’écosystème.
Deux plateformes crypto s’étripent gaiement : Kalshi rafle les volumes, Polymarket s’achète une respectabilité. Paris sportifs, régulateurs et milliards s’invitent au banquet des prédictions.
Le bitcoin enregistre un record d’activité sur son réseau, franchissant un nouveau cap. Selon les données de CryptoQuant relayées par l’analyste CryptoOnchain, le volume moyen des transactions confirmées atteint désormais 540 000 par jour. Ce regain d’utilisation, porté par des protocoles comme Ordinals et Runes, intervient dans un contexte de marché incertain, où les signaux fondamentaux prennent le pas sur les effets d’annonce.
Et si le seuil des 850 milliards de dollars détenus par le Trésor américain devenait le nouveau catalyseur du marché crypto ? Arthur Hayes, cofondateur de BitMEX, estime qu’une fois le compte général du Trésor américain (TGA) rempli à 850 milliards de dollars, les cryptos entreront dans une phase de hausse continue. Cette prise de position intervient alors que la Fed vient de baisser ses taux, ravivant les débats sur l’impact des politiques monétaires américaines sur la dynamique du bitcoin et des altcoins.
La France s'apprête à céder ses surplus d'énergie nucléaire à un mineur de bitcoin américain au lieu de privilégier la solution française.
Le bitcoin s’ennuie ferme, paraît-il. Mais quand Michael Saylor parle de « ruée numérique », on se demande : calme plat ou tempête en préparation dans l’arène crypto ?
Bitcoin se raréfie… du moins, sur le marché libre. L’« offre illiquide » vient d’inscrire un nouveau sommet à 14,3 millions de BTC, pendant que les baleines absorbent plus que la production annuelle. De ce fait, il y a moins de pièces disponibles à la vente et une pression vendeuse qui se délite.
MiCA visait à encadrer le marché crypto européen. Moins d’un an après, les divergences réglementaires s’accumulent. Les détails !
MetaMask, le portefeuille crypto incontournable de l’écosystème Ethereum, pourrait enfin lancer son jeton. Joe Lubin, PDG de Consensys, vient d’annoncer que ce lancement pourrait survenir « plus tôt que prévu ». Une promesse qui excite les traders… mais qui laisse aussi planer de nombreux doutes.
Washington remet l’ouvrage sur le métier. Le Trésor américain ouvre une nouvelle fenêtre de commentaires pour transformer le GENIUS Act, la future loi cadre sur les stablecoins de paiement, en règles applicables. Objectif affiché sécuriser l’usage des dollars tokenisés tout en gardant un terrain de jeu praticable pour l’innovation crypto. Entrons dans le concret.
Tandis que le conflit en Ukraine s’enlise, l’Union européenne ouvre un nouveau front : celui des cryptos. Pour la première fois, Bruxelles prévoit de sanctionner directement les plateformes crypto, intégrant ces infrastructures décentralisées à son dispositif économique contre Moscou. Un basculement discret, mais stratégique, qui intègre les cryptos dans le champ des outils de pression internationale.
Quand les équations font naufrage, une IA de Google vient les repêcher. Résultat : des mathématiciens médusés et un futur scientifique qui ressemble à de la science-fiction.
Le réseau Bitcoin n’a jamais été aussi puissant. Sa difficulté de mining vient d’atteindre un record absolu à 142,3 trillions, en hausse de 29,6 % depuis janvier. Ce chiffre reflète à la fois la montée en puissance du hashrate et la pression croissante sur les sociétés de mining. Tandis que la blockchain se renforce face aux attaques potentielles, les exigences techniques et économiques imposent une sélection de plus en plus rude parmi les acteurs du secteur.
Ce mois pourrait enfin amorcer un virage concret dans l’interminable saga FTX. En effet, le FTX Recovery Trust prévoit de débloquer 1,6 milliard de dollars en faveur des créanciers, marquant la troisième vague de remboursements depuis février. Dans un climat toujours imprégné de défiance, cette redistribution massive cristallise les espoirs d’un redressement crédible. Cependant, à mesure que les paiements avancent, les pressions s’intensifient sur l’industrie crypto, sommée de refermer le chapitre du scandale et de restaurer une confiance largement érodée.
Kevin Durant, double champion NBA et investisseur reconnu, vient de récupérer l’accès à un portefeuille Bitcoin resté inactif depuis près de dix ans. Créé en 2016, à une époque où le BTC s’échangeait autour de 600 dollars, ce wallet oublié illustre le rôle décisif du temps dans la valorisation des cryptos. Sa réactivation révèle une plus-value spectaculaire : une multiplication par 195 de la mise initiale.