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Shining Vandalized Lugia : le projet NFT par l’artiste français OneMizer

mer 22 Déc 2021 ▪ 7 min de lecture ▪ par Erica M.

La collection Shining Vandalized Lugia suscite de plus en plus l’intérêt des utilisateurs en raison du talent de OneMizer. Déjà apprécié en raison de son style particulier et de son parcours, l’artiste français ne manque pas de faire parler de lui depuis le lancement de sa collection de NFT. Bien que numériques, on distingue dans les œuvres de OneMizer tout le soin dans les techniques utilisées et les couleurs. Découvrez la collection Shining Vandalized Lugia et son fondateur, OneMizer.

NFT Onemizer

Présentation de la collection NFT par OneMizer

Des murs à la toile, OneMizer est un artiste qui s’essaie à tous les styles. C’est ainsi que désirant se lancer dans un art futuriste, il sort le 22 décembre sa toute première collection NFT : The Shining Vandalized Lugia. Grâce à sa collaboration avec Legacy Concept Store et METATEK, la blockchain vous permet d’acquérir le street art dans les NFT directement chez vous.

Tous les utilisateurs qui s’avèrent être propriétaires de la première collection OneMizer recevront une œuvre d’art physique exclusive (70×50) en plus d’une adhésion ainsi qu’une invitation à une soirée privée dans l’un des meilleurs endroits de la ville de Paris. C’est un voyage dans une nouvelle façon de consommer l’art.

Il s’agit d’une fusion de la rue, de la technologie et plus encore de la communauté. Le NFT est bien plus qu’un simple JPEG. En devenant propriétaire d’une Shining Vandalized Lugia, vous faites désormais partie d’une famille qui partage l’amour de l’art et celle de l’innovation.

Présentation des fondateurs de OneMizer Collection : OneMizer et Metatek

Présentation de OneMizer

C’est en 1987 dans le sud de la France que naquit OneMizer. Il a passé une partie de son enfance sur le continent africain et c’est là qu’il fait ses premières avec l’art et fait connaissance avec l’aquarelle. Revenu en France à l’adolescence, il découvre le graffiti parisien pendant ses balades à Paris et ses alentours avec ses parents.

Pour lui, les métros parisiens et les bords des autoroutes sont de splendides musées grandeur nature. Cet intéressement le pousse à aller arpenter très jeune, les terrains vagues, les entrepôts désaffectés ainsi que les voies ferrées pour pouvoir peindre sur les murs et secrètement se perfectionner à l’abri des regards indiscrets et des mauvaises langues.

Lorsque OneMizer finit le lycée, il décide d’étudier l’art dans une école de design, mais préfère continuer son chemin en autodidacte ensuite. Du mur, le jeune artiste passe à la toile. Rapidement, sa famille le soutient et le pousse à exposer ses toiles au public. Un peu plus tard, il organise ses premières expositions dans la région parisienne et également dans les environs de Bordeaux.

OneMizer a peut-être commencé dans les rues, mais depuis, il a fait un chemin incroyable. Il expose aujourd’hui dans plusieurs galeries d’art internationales qui reçoivent des centaines de personnes chaque mois.

Onemizer s’inspire des classiques du pop art comme Basquiat, Warhol… et de sa vie quotidienne, son entourage et la scène street art. Il voue une affection particulière au travail des lettrages et passe son temps à revisiter les portraits d’objets et personnes ayant marqué l’histoire du monde ou tout simplement la sienne.

Au fil du temps, OneMizer développe une large gamme de styles différents en s’amusant à combiner les graffitis, le tag et plus encore, les couleurs. Il ne tarit pas non plus en technique des bombes de peintures au pinceau en passant par les pochoirs, l’encre et plein d’autres encore.

Notre artiste pétri de talent ne se contente pas de se fixer un style. Il aime renouveler son art, changer de supports, de techniques… Le choc des couleurs et l’impact visuel sont ses plus grands atouts. Ils rendent chacune de ses œuvres plus originales les unes que les autres. Avec une équipe d’artistes, OneMizer s’est approprié une place dans le Livre Guinness des records en 2014 pour avoir réalisé la plus grande œuvre d’art de rue au monde à Dubaï.

Des entrepôts délavés aux galeries d’art les plus prestigieuses du monde, il est clair que OneMizer a su changer les idéologies afin de faire découvrir son art au monde. Heureusement, l’artiste ne compte pas s’arrêter là.

Son association avec Metatek

Metatek est un appel aux idéologies futuristes et aux artistes passionnés. C’est un appel pour tous ceux qui croient fermement que chaque détail est important et pour ceux qui désirent vivre des moments spéciaux. La famille METATEK est une équipe assez diversifiée avec des expériences dans le monde de l’art, le luxe, les galeries, les événements ainsi que la technologie. Leur mission est simple : créer des expériences d’ordre artistiques uniques et originales.

OneMizer, tout comme Metatek, éprouve le besoin d’explorer et de repousser ses limites. C’est donc assez logique que Metatek ait directement pensé à OneMizer pour incarner cette toute nouvelle expérience futuriste qui chamboule tout dans le monde de l’art. METATEK Collective apporte une touche multidimensionnelle au monde NFT et à l’art qui vit dans le monde physique.

Quel horizon pour le projet NFT ?

La révolution du NFT a complètement changé la donne pour les artistes numériques. Il était temps que leurs œuvres possèdent de la valeur et qu’elles génèrent des bénéfices. Vous vous demandez pourquoi les collectionneurs décident d’investir dans des œuvres non fongibles, car digitales ? La réponse est simple : elles ont la garantie d’avoir un objet virtuel unique détenu sur la blockchain.

C’est une nouvelle assez réjouissante pour les artistes. Néanmoins, c’est devenu un domaine assez lucratif. Aujourd’hui, des extraits de vidéos, des tweets, des GIF, et plein d’autres choses encore se vendent en cryptomonnaie dont l’équivalent peut dès lors, avoisiner des centaines de milliers de dollars.

À ce jour, la transaction la plus importante enregistrée est celle réalisée par Mike Winkelmann, plus connu sous le nom de Beeple, avec son œuvre numérique Everyday – The first 5000 days. Cette œuvre a été vendue pour l’incroyable somme de 70 millions de dollars.

Il faut aussi noter qu’auparavant, l’artiste n’avait pas réussi à vendre ses œuvres imprimées à plus de 100 $. L’avenir des œuvres serait-il donc sur la toile ? La probabilité est très forte que ce soit le cas.

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Erica M.

Passionnée du trading bourse et des cryptomonnaies, je m’attèle à la rédaction des articles sur le sujet afin de partager mon expérience et d’informer par la même occasion. Car, je suis persuadée que les cryptomonnaies ouvrent des perspectives que tout le monde devrait expérimenter.

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