Moins de vingt-quatre heures après l’assassinat de Charlie Kirk dans l’Utah, le réseau social X a été submergé de messages appelant à la vengeance et évoquant une guerre civile. Des milliers de publications, souvent rédigées dans des termes identiques, pointent la gauche comme responsable. Face à ce déferlement, plusieurs chercheurs suspectent une amplification artificielle. Derrière ces appels à la violence, une partie des comptes présentent les caractéristiques de réseaux automatisés.