Schiff s’emballe, l’or flambe, le bitcoin bronche. Et si derrière les tweets rageurs se cachait un adieu discret à l’utopie numérique ?
Schiff s’emballe, l’or flambe, le bitcoin bronche. Et si derrière les tweets rageurs se cachait un adieu discret à l’utopie numérique ?
Les frappes israéliennes contre l'Iran bouleversent les calculs de la Réserve fédérale américaine (Fed). Alors que Donald Trump multiplie les pressions pour obtenir un assouplissement monétaire, les banquiers centraux doivent désormais composer avec un nouveau facteur d'incertitude : l'escalade géopolitique qui enflamme les cours du pétrole.
Le monde vacille, mais le bitcoin tient bon. Tandis que les missiles pleuvent au Moyen-Orient et que les marchés traditionnels retiennent leur souffle, une dynamique presque surréaliste s’installe : les investisseurs injectent des milliards dans les ETF Bitcoin. En temps normal, les actifs dits “à risque” prennent la fuite à la moindre secousse géopolitique. Mais ici, c’est l’inverse. À croire que bitcoin est en train de changer de statut : d’actif spéculatif à valeur refuge émergente. Cette métamorphose, bien réelle, s’ancre dans une série d’événements récents qu’il serait hasardeux d’ignorer.
Sept géants s’alignent pour des ETF Solana, la SEC joue la montre : suspense, frissons et staking dans les coulisses feutrées du temple réglementaire américain. À suivre...
L’annonce est tombée comme un pavé dans la mare : Trump Media and Technology Group (TMTG) vient de franchir une étape décisive. La Securities and Exchange Commission (SEC) a officiellement validé l’enregistrement de son accord financier lié à Bitcoin. Cette approbation donne carte blanche à la société pour intégrer la crypto dans sa stratégie de trésorerie. Et à l’image de son fondateur, l’initiative est tout sauf timide.
À l’heure où la défiance financière se diffuse en un clic, une vidéo TikTok postée fin mai a relancé les peurs d’un contrôle étatique renforcé. Elle affirme qu’à compter d’octobre 2025, tout virement de plus de 800 euros entre particuliers serait bloqué 24 heures pour vérification fiscale. En quelques jours, la rumeur a semé le trouble chez des milliers de Français. Que dit réellement la réglementation ? Et pourquoi cette annonce virale est-elle totalement infondée ?
Et si la plus grande réserve de valeur de demain n’était plus garantie par un État, mais codée dans un protocole ? Dans un monde miné par l’inflation et l’explosion des dettes souveraines, le bitcoin s’impose de plus en plus comme une alternative crédible aux bons du Trésor américain. Hunter Horsley, PDG de Bitwise, soutient que cette transition n’est plus une théorie marginale, mais une tendance de fond portée par l’adoption croissante et le désenchantement vis à vis des refuges traditionnels.
Donald Trump a engrangé plus de 600 millions de dollars en 2024, avec une part majeure provenant de l’univers des cryptos. Ce chiffre, tiré d’un document de divulgation financière signé le 13 juin, confirme l’enracinement stratégique du président dans l’écosystème crypto. Entre memecoin à son nom et opérations DeFi à grande échelle, Trump ne se contente plus d’observer le marché : il en devient un acteur central, avec des enjeux financiers et politiques majeurs.
Ethereum commence à montrer des signes de renforcement après une période calme. Au cours de la semaine dernière, l'actif numérique a augmenté de plus de 3 %, malgré un recul temporaire dans les dernières 24 heures. Cette baisse à court terme n'a pas étouffé l'intérêt. En fait, des données récentes montrent qu'Ethereum pourrait préparer le terrain pour un mouvement haussier plus soutenu.
Alors que le marché crypto cherche désespérément un cap, le Sénat américain s’apprête à poser les premières pierres d’un cadre légal pour les stablecoins. Le vote du 17 juin pourrait bien redistribuer les cartes, tant pour les institutions que pour les géants du numérique.
Alors qu’Israël bombarde, que l’Iran fulmine et que les marchés s’agitent, les vieux loups du bitcoin font leurs emplettes. Panique chez les traders, sang-froid chez les stratèges…
Le marché du crédit immobilier, longtemps à l'arrêt, amorce une reprise nette. En deux mois, la demande de prêts a presque doublé, portée par une baisse des taux et une réouverture des vannes bancaires. Après deux années de blocage lié à la hausse brutale du coût de l’argent, le retournement était attendu. Cependant, cette embellie est-elle durable ou un simple effet de rattrapage ? Tandis qu’avril marque une inflexion, le secteur s’interroge : assiste-t-on au début d’un cycle ou à une parenthèse fragile ?
Cardano se lance dans une offensive stratégique sur le terrain de la finance décentralisée. Charles Hoskinson, son fondateur emblématique, propose d’investir 100 millions de dollars en ADA pour dynamiser l’écosystème DeFi de la blockchain. Mais cette initiative ambitieuse suffira-t-elle à repositionner Cardano face à une concurrence toujours plus agressive et innovante ?
Polkadot veut troquer ses jetons contre du bitcoin en pleine tempête cryptographique. Une manœuvre audacieuse qui fait trembler les puristes… et sourire les maximalistes en embuscade.
SharpLink innove en devenant la première entreprise cotée au Nasdaq à posséder une réserve d'ethereum
Les préoccupations grandissent concernant la rapide délivrance de licences crypto à Malte sous MiCA, soulevant des questions sur l'application équitable à travers l'UE.
Tandis que l’attention se focalise sur les régulations à venir et les ETF en gestation, un indicateur technique moins médiatisé vient rebattre les cartes. Le XRP enregistre une hausse de sa capitalisation réalisée quatre fois supérieure à celle de Solana. Ce déplacement de capital suggère une dynamique de marché plus profonde et inattendue, à contre-courant de l’engouement visible pour Solana. Derrière cette métrique, c’est un changement de perception des investisseurs qui semble se profiler, redonnant au XRP un rôle central dans l’arène des altcoins.
Une escroquerie aux NFT secoue le monde du football professionnel. En Espagne, six joueurs de haut niveau, dont un champion du monde argentin et deux ex-stars du FC Barcelone, sont visés par une enquête judiciaire. Accusés d’avoir prêté leur image à un projet blockchain aux allures de fraude, ils auraient contribué à piéger des milliers d’investisseurs. L’affaire, aux ramifications financières complexes, renseigne sur les dérives possibles quand notoriété sportive et technologies crypto s’entremêlent sans garde-fous.
La bourse a ses humeurs, mais parfois, elle a surtout ses peurs. Et ce vendredi, la peur l’a emporté sur tout le reste. Une frappe israélienne contre l’Iran a suffi à provoquer un choc immédiat sur les marchés mondiaux, rappelant à tous que les indices ne sont jamais totalement déconnectés du bruit des bombes. À New York, le Dow Jones a chuté de plus de 600 points dès l’ouverture. Un effondrement brutal qui ne doit rien au hasard, mais tout à la géopolitique. Dans cette équation instable, la volatilité est redevenue la norme, et la Bourse une caisse de résonance du monde réel.
Les géants américains du commerce, Amazon et Walmart, explorent actuellement l’émission de leurs propres stablecoins adossés au dollar. Cette initiative, encore en phase exploratoire, pourrait à terme bouleverser le paysage des paiements en ligne et renforcer davantage l’hégémonie du dollar américain.
Pendant que les bombes pleuvent, Solana grimpe, XRP s’emballe, et les ETF agitent la marmite crypto. Faut-il voir des génies ou des pyromanes derrière ces flambées numériques ?
En quelques heures, les cryptos ont vacillé sous le poids d’un événement géopolitique majeur. À la suite des frappes israéliennes en Iran, plus d’un milliard de dollars de positions ont été liquidés, et ont emporté avec elles les récents gains du marché. Ce n’est pas un simple épisode de volatilité, mais le signe tangible que ces actifs, pourtant issus d’une promesse de souveraineté, restent exposés aux chocs du monde réel.
Quand Novogratz lit dans les bulles, il voit un bitcoin à sept chiffres. Prophétie ? Intox ? Ou juste un pari calculé d’un magnat bien placé pour tirer les ficelles ?
Le 8 juin 2025, un pétrolier sous sanctions américaines et européennes a discrètement accosté au Japon, livrant du brut russe à une raffinerie locale. Ce geste, loin d’être anodin, révèle une fracture silencieuse dans le consensus occidental sur l’énergie. Alors que le G7 tente depuis deux ans d’isoler Moscou, Tokyo privilégie sa sécurité énergétique. Cet épisode, à la fois symbolique et stratégique, pourrait bien redessiner en sourdine les lignes d’un ordre énergétique mondial en recomposition.
Missiles au Moyen-Orient, marchés en déroute : pendant que l’économie s’enrhume, certains font fortune sur les barils… et d’autres préfèrent fuir en or massif. Devinez qui tire les ficelles ?
La frontière entre commerce traditionnel et finance décentralisée vient de s’amincir. Shopify, géant du e-commerce, ouvre une brèche dans le mur des paiements classiques en intégrant l’USDC à son système Shopify Payments. Une décision qui n’est pas qu’un simple caprice technologique, mais un virage stratégique dans l’adoption de la crypto à grande échelle.
Le secrétaire au Trésor Scott Bessent vient de lancer une prédiction fracassante : le marché des stablecoins pourrait bondir à 2 000 milliards de dollars d'ici trois ans. Cette annonce intervient alors que le bitcoin flirte avec ses sommets historiques.
Grâce à une attitude plus favorable de la SEC, les tokens de gouvernance DeFi reprennent leur tendance haussière.
Les tensions géopolitiques au Moyen-Orient ont une fois de plus secoué les marchés crypto. Le bitcoin a brutalement chuté sous la barre psychologique des 105 000 $ après que Tel-Aviv a revendiqué une série d'attaques contre l'Iran. Cette chute spectaculaire interroge : le bitcoin mérite-t-il vraiment son statut d'actif refuge ?
L’IA de ChatGPT écrase tout sur son passage en captant 80 % du trafic mondial. Découvrez tous les détails dans cet article !