Larry Fink, à la tête du plus grand gestionnaire d'actifs mondial, BlackRock, estime que l'économie américaine pourrait déjà être entrée en récession, principalement en raison de l'impact des politiques tarifaires de Donald Trump.
Larry Fink, à la tête du plus grand gestionnaire d'actifs mondial, BlackRock, estime que l'économie américaine pourrait déjà être entrée en récession, principalement en raison de l'impact des politiques tarifaires de Donald Trump.
Le géant américain de la gestion d’actifs, BlackRock, a enregistré 3 milliards de dollars d’entrées nettes dans ses produits liés aux actifs crypto au premier trimestre 2025. Cette somme représente 2,8 % des 107 milliards de dollars de flux vers ses ETF iShares, selon les résultats publiés ce 11 avril 2025.
Les chiffres dégringolent, les volumes explosent, et les investisseurs institutionnels s’éclipsent sans fracas. Les ETF Bitcoin entrent peut-être dans ce moment charnière où le silence dit plus que les mots.
En ce début d’année sous haute tension géoéconomique, la dédollarisation s'impose comme un signal fort d’un basculement monétaire global. Longtemps reléguée au second plan du débat économique, cette dynamique s’intensifie à mesure que la confiance dans la stabilité des États-Unis s’érode. Cette part du dollar dans les réserves mondiales décline lentement mais sûrement, une évolution scrutée par les marchés et redoutée par les stratèges. Derrière ce repli, c’est l’ordre monétaire international qui pourrait entrer dans une phase de recomposition.
Et si le dollar vacillait sous le poids de ses propres contradictions ? Larry Fink, PDG de BlackRock, géant mondial de la gestion d’actifs, lance un avertissement fracassant : le bitcoin pourrait supplanter la monnaie américaine comme étalon de référence mondial. Une prophétie qui, loin d’être isolée, s’inscrit dans un contexte de défiance croissante envers le billet vert. Entre endettement explosif des États-Unis et ascension fulgurante des cryptos, le paysage financier global vit une mutation.
BlackRock déploie son iShares Bitcoin ETP, pari audacieux sur un marché européen frileux. Le BTC s’imposera-t-il enfin face aux actifs traditionnels ?
L’univers de la crypto n’en finit plus de brouiller les frontières avec la finance traditionnelle. Cette fois, c’est BlackRock qui frappe un coup médiatique en intégrant Solana à son fonds monétaire tokenisé, BUIDL. Une décision qui n’est pas qu’un simple ajustement technique, mais un signal fort : la blockchain n’est plus une expérience marginale. Elle devient l’épine dorsale d’une révolution financière en marche.
Ethereum attire à nouveau les projecteurs. Tandis que son prix flirte avec un niveau technique décisif, les indicateurs pointent vers un possible rebond de 65 %. Dans l’ombre, BlackRock renforce massivement son exposition à l’ETH, et dépasse le milliard de dollars d’actifs. Une double dynamique technique et institutionnelle qui repositionne Ethereum au cœur des spéculations haussières.
Contre toute attente, BlackRock, le géant mondial de la gestion d’actifs, bouscule les idées reçues sur le Bitcoin. Alors que les cryptomonnaies sont souvent associées à la volatilité et au risque, Robert Mitchnick, responsable des actifs numériques chez BlackRock, démonte ce récit. Dans un contexte où le bitcoin a perdu 20 % de sa valeur depuis son pic de fin 2023, ses déclarations récentes sur CNBC résonnent comme un plaidoyer audacieux. Pourquoi une institution traditionnelle défend-elle une vision aussi disruptive ? La réponse se niche dans une stratégie subtile et une compréhension profonde de l’évolution des marchés.
Les ETF Ethereum ouvrent la voie à une adoption institutionnelle plus large, mais restent incomplets. Pour Robbie Mitchnick de BlackRock, leur principal handicap réside dans l’absence de staking, un pilier du rendement sur Ethereum. Ce manque pourrait limiter leur compétitivité face aux stratégies d’investissement direct, ce qui remettrait en question leur capacité à répondre aux attentes des investisseurs professionnels.
L’argent migre, silencieux et méthodique. Wall Street, naguère indétrônable, voit son trône vaciller sous les pas précipités des investisseurs, séduits par une Europe qui brille de mille milliards.
L’industrie financière traditionnelle et le secteur des cryptos continuent de se croiser, et chaque mouvement des mastodontes de Wall Street est scruté à la loupe. En effet, l’annonce du retour de BlackRock sur le marché du bitcoin (BTC) avec un investissement de 25 millions de dollars ne passe pas inaperçue.
Larry Fink tire la sonnette d’alarme : le Bitcoin pourrait entraîner une crise majeure. Découvrez son analyse complète dans cet article !
Le mastodonte BlackRock joue les funambules : un filet de Bitcoin dans son portefeuille, 2 % d’audace, un vent de panique chez les maximalistes. Qui cédera le premier ?
Une rivière d’euros tarie, une forteresse financière ébranlée : la Bundesbank vacille, son or s’évapore, tandis que Merz hérite d’un trône sans trésor, d’un royaume en doute.
L’ETF Bitcoin de BlackRock domine désormais le marché avec plus de 50 % des actifs sous gestion, consolidant sa place de leader parmi les émetteurs d’ETF aux États-Unis. Une dynamique qui intervient alors que les ETF Bitcoin subissent trois jours consécutifs de retraits, mettant à l’épreuve la résilience du BTC.
Bitcoin, longtemps maître absolu, regarde impuissant Ethereum lui chiper la vedette : 793 millions injectés contre 407 millions, un coup de Trafalgar sur le marché des ETP.
L’univers de la finance traditionnelle s'entrelace de plus en plus avec celui du bitcoin, et les derniers mouvements de BlackRock ne font que confirmer cette dynamique. En effet, le géant de la gestion d’actifs, fort de ses 11,6 trillions de dollars sous gestion, vient de porter sa participation dans MicroStrategy, rebaptisé Strategy, à 5 %. Cette montée en puissance ne passe pas inaperçue : elle intervient alors que Strategy continue d’accumuler massivement du bitcoin, afin de renforcer son rôle de pionnier parmi les entreprises cotées en Bourse. Plus qu’un simple investissement, ce rapprochement stratégique interpelle sur l’avenir du bitcoin dans les portefeuilles institutionnels et la place que des mastodontes comme BlackRock souhaitent occuper dans cet écosystème en pleine expansion.
La finance traditionnelle et le bitcoin poursuivent leur rapprochement. Après le succès retentissant de son ETF Bitcoin IBIT aux États-Unis, BlackRock, premier gestionnaire d’actifs mondial, s’apprête à franchir une nouvelle étape : le lancement d’un produit négocié en bourse (ETP) Bitcoin en Europe. Ce fonds, qui sera domicilié en Suisse, traduit la volonté croissante des institutions financières de s’implanter durablement sur le marché des cryptos. Alors que les États-Unis ont vu les ETF Bitcoin capturer plus de 57 milliards de dollars d’actifs en quelques mois, ce nouveau produit pourrait modifier le paysage européen. Pourquoi la Suisse plutôt qu’un autre pays ? Quels seront les effets sur les investisseurs et l’adoption institutionnelle du bitcoin en Europe ? Autant de questions qui émergent alors que BlackRock accélère son offensive internationale.
Entre chiffres record et stratégies subtiles, l’ETF Bitcoin de BlackRock trace sa voie. L’éclat du crypto-phare illumine la finance.
Le décret de Donald Trump et l’abrogation de la norme comptable assassine SAB 121 sont de très bon augure pour le bitcoin. Promesse tenue Donald Trump avait promis que son gouvernement cesserait de mettre des bâtons dans les roues du bitcoin. C’est chose faite avec le…
Bitcoin, ce mirage numérique à 100 000 $, attire Morgan Stanley dans une danse où les gains flambent et les sanctions guettent.
Les craintes liées à la dévaluation des monnaies nationales prennent une nouvelle ampleur après une déclaration importante de Larry Fink, PDG de BlackRock, lors du Forum économique mondial à Davos. En effet, le dirigeant du plus grand gestionnaire d’actifs au monde a évoqué la possibilité que le bitcoin atteigne 700 000 dollars, alimenté par une adoption institutionnelle croissante. À ses yeux, cette crypto offre une protection face à l’instabilité économique et politique. Dans un contexte d’inflation accrue et de méfiance croissante envers les devises traditionnelles, cette prédiction provoque des interrogations sur l’avenir des cryptos et leur rôle dans le système financier mondial.
XRP, l’étoile filante du marché crypto, dépasse BlackRock, bouscule Bitcoin et fait vibrer une armée de spéculateurs avides de sommets inexplorés.
Le début de l'année 2025 marque un tournant historique pour Bitcoin. Les indicateurs techniques sont au vert, les investisseurs institutionnels affluent massivement via les ETF, et les perspectives macroéconomiques s'améliorent. Désormais, le scénario à 500.000 dollars est hautement probable en 2025.
Le bitcoin a progressé de 120 % en 2024, surpassant largement les autres grandes classes d'actifs. 2025 s'annonce comme une année tout aussi exeptionnelle.
Tels des phares dans la nuit crypto, les ETF américains illuminent la route du Bitcoin vers des sommets vertigineux. Les oracles murmurent : 200 000 $, et peut-être plus !
En décembre 2024, les fonds négociés en bourse (ETF) de BlackRock basés sur le Bitcoin (BTC) ont enregistré de nouvelles sorties nettes record atteignant les 188 millions de dollars ! tandis que les ETF Ethereum (ETH), ont attiré plus de 2,5 milliards de dollars d'entrées nettes. Cette tendance marque un changement notable dans les préférences des investisseurs institutionnels.
Dans l’arène tumultueuse de la crypto, les ETF Bitcoin, exsangues, trouvent dans l’après-Noël un regain inattendu, comme un clin d’œil bienveillant du Père Noël.
L'ETF Bitcoin de BlackRock traverse une période tumultueuse marquée par des sorties de capitaux sans précédent. Le géant de la gestion d'actifs a enregistré sa plus importante sortie journalière le 24 décembre, s'inscrivant dans une tendance baissière qui a vu les ETF Bitcoin américains perdre collectivement plus de 1,5 milliard de dollars en seulement quatre jours.