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Le bitcoin boude, les altcoins s’agitent : 55 % de dominance et des tokens en embuscade… Mais qui raflera vraiment la mise d’ici décembre ?

Septembre, longtemps synonyme de repli pour le bitcoin, semble perdre de sa malédiction. Ce mois historiquement défavorable aux actifs risqués amorce, pour la troisième année consécutive, une dynamique contraire. Soutenu par un contexte macroéconomique souple et des flux institutionnels structurants, le marché donne des signes de maturité. La reine des cryptos ne subit plus le calendrier : elle le redéfinit.

À deux semaines d’une réunion capitale de la Réserve fédérale, le gouverneur, pressenti pour succéder à Jerome Powell en 2026, s’est démarqué avec une déclaration sans ambiguïté. Il veut une baisse des taux dès septembre. Dans un entretien accordé à CNBC, il a affirmé que l’économie américaine exigeait un ajustement immédiat, rompant ainsi avec la prudence affichée par d’autres responsables monétaires.

Ethereum Foundation écoule 10 000 ETH sur des plateformes centralisées. Pragmatique ou hérésie ? La communauté crie à la trahison DeFi, la fondation plaide transparence… Ambiance schizophrène chez les cryptophiles.

Malgré la récente correction du bitcoin, la ruée des institutionnels sur le bitcoin continue de se renforcer.

Après l’explosion de janvier, l’intérêt pour les memecoins connaît un retour plus mesuré. Les recherches Google signalent une curiosité persistante, mais moins euphorique, reflet d’une prudence nouvelle des investisseurs. Sans le bruit habituel des réseaux sociaux et de Crypto Twitter, cette dynamique crypto pourrait marquer une évolution vers une approche plus mature du marché.

En août, les mineurs de bitcoin ont généré des revenus proches de 1,65 milliard de dollars, un niveau quasiment identique à celui de juillet. Ce maintien traduit une résilience impressionnante du secteur, malgré un contexte marqué par la hausse des coûts et la pression énergétique. Mais derrière cette stabilité apparente se cachent des fragilités structurelles qui interrogent : le modèle actuel du mining peut-il réellement tenir dans la durée ?

Gemini a officiellement déposé sa demande d'introduction en bourse, une étape qui pourrait amener cette plateforme vieille de dix ans au Nasdaq sous le symbole boursier GEMI.

Le récent recul de 12 % de Bitcoin a attiré l'attention, mais les données on-chain indiquent que cette correction est une phase normale sur le marché. Les analystes disent que le déclin s'inscrit dans les tendances historiques et reflète une réinitialisation saine plutôt que la fin du cycle haussier en cours.

Le DSI de SWIFT, Tom Zschach, affirme que la résilience ne consiste pas à survivre aux procès. Les banques privilégient la confiance, la conformité et la gouvernance plutôt que les victoires juridiques.

Malgré une mise à jour majeure vers la version 23 de son protocole, Pi Network peine à déclencher l’enthousiasme du marché. Dans un secteur où chaque innovation est scrutée pour raviver l’élan haussier, l’annonce des avancées techniques inspirées du Stellar Protocol 23 et l’intégration de nouvelles fonctionnalités n’ont pas suffi à dynamiser le prix de son token. Cette dissonance entre progrès technologique et inertie boursière interpelle sur la capacité du projet à convertir ses évolutions en valeur réelle.

Alors que les universités américaines investissent massivement dans l'intelligence artificielle, de l'Université de Géorgie à celle du Michigan, une enquête nationale révèle une réalité surprenante. Les citoyens américains, loin d'embrasser cette révolution, manifestent une méfiance croissante envers l'intégration de l'IA sur les campus. 

Depuis le début du mois de septembre, le bitcoin (BTC) et Ethereum (ETH) captent l’attention d’un marché crypto suspendu entre espoir et inquiétude. Tandis que Wall Street flanche, les deux leaders affichent une résilience intrigante. Pourtant, derrière ce calme apparent, les indicateurs techniques révèlent une tension grandissante. Entre signaux contradictoires et prévisions de plus en plus polarisées, les traders se préparent à une volatilité qui pourrait transformer septembre en mois décisif pour l’avenir du marché.

Pendant que le bitcoin fond et que les actionnaires grincent, Michael Saylor continue son shopping crypto XXL : actions diluées, dividendes douteux et rêve d’entrer au S&P 500. Quelle farce financière !

SharpLink balance ses dollars dans l’ether comme on jette des confettis : 39 008 ETH achetés en douce, Joseph Lubin en chef d’orchestre d’un all-in crypto risqué.

La dette refait parler d’elle de part et d’autre de l’Atlantique. Le bitcoin est prêt à s’envoler si la Fed et la BCE devaient ressortir la planche à billets.

Et si le prochain cycle crypto n’était pas seulement haussier, mais un tournant historique ? Lors du WAIB Summit 2025, plusieurs experts ont affirmé qu’un seul cycle pourrait suffire à faire passer la crypto de 659 millions en décembre 2024 à 5 milliards d’utilisateurs d’ici dix ans. Une adoption mondiale en marche, portée non plus par la seule spéculation, mais par la montée en puissance des usages concrets, la maturité des technologies blockchain et un regain d’intérêt des particuliers comme des institutions.

Alors que septembre commence, les traders crypto abordent le marché avec prudence, Bitcoin, Ethereum et XRP affichant des performances variées.

En Corée du Sud, Tesla n’incarne plus le rêve des investisseurs particuliers. Selon Bloomberg, près de 1,8 milliard de dollars se sont envolés en quatre mois, dont 657 millions rien qu’en août, marquant le plus fort reflux depuis 2019. Derrière cette désaffection, un malaise grandit : faute de nouveau récit autour de l’IA ou de la conduite autonome, le constructeur ne séduit plus autant. Résultat : malgré son statut de titre étranger le plus détenu, les investisseurs coréens délaissent Tesla pour des paris jugés plus dynamiques et rapides.

Les actions tokenisées séduisent le monde crypto, mais l’ESMA alerte sur les risques de confusion pour les investisseurs. Les détails ici !

Ethereum joue les équilibristes : chute programmée, puis ascension théâtrale. Septembre tremble, octobre jubile. Les traders crypto ? Ils risquent d’applaudir… après s’être fait piéger.

La tokenisation gagne du terrain dans la finance mondiale, de nombreuses institutions financières de premier plan se précipitant pour explorer ce créneau. Japan Post Bank est la dernière à rejoindre après avoir déclaré son intention d'introduire un réseau d'actifs tokenisés au cours de l'exercice 2026.

Le marché de l'or tokenisé a atteint de nouveaux sommets historiques, franchissant 2,57 milliards de dollars de capitalisation boursière, alors que l'or au comptant lui-même approche de son pic d'avril. Ce rallye montre une demande renouvelée pour les tokens crypto adossés à l'or alors que les investisseurs recherchent des actifs refuges en pleine incertitude mondiale.

Le bitcoin vacille sous les 109 000 dollars, pris en étau entre incertitude macroéconomique et signaux techniques défavorables. Tandis que les investisseurs scrutent les prochains indicateurs susceptibles d’orienter la politique monétaire américaine, la pression s’intensifie. Sorties de capitaux institutionnels, tensions sur les produits dérivés et indicateurs de sentiment fragilisés accentuent la défiance. Le marché se fige dans l’attente, exposé à une volatilité latente.

Des rumeurs circulent concernant le possible enlèvement d’un CEO d’une plateforme crypto qui aurait eu lieu ce matin au Bourget dans le 93. Une vidéo circule où l’on voit le kidnapping en direct. Pour l’instant, aucune confirmation officielle n’a été donnée par les services de police.

Ce lundi, le projet World Liberty Financial (WLFI), soutenu par le président et ses proches, a procédé au déblocage de 24,6 milliards de tokens. Une opération qui valorise leur participation à près de 5 milliards de dollars. Présentée comme un lancement technique, cette initiative alimente les soupçons sur l’influence croissante de Trump dans un secteur qu’il contribue désormais à façonner.

Ethereum rafle la mise aux gros bonnets, Bitcoin se cramponne à son trône. Un duel de chiffres, d’ego et de milliards : qui sortira vainqueur de cette valse numérique ?

Tandis que l’Occident défend la suprématie du dollar et de l’euro, Moscou et Pékin accélèrent leur divorce avec ces devises. Vladimir Poutine a confirmé que les échanges russo-chinois se font désormais presque exclusivement en rouble et en yuan. Ce basculement, soutenu par une hausse spectaculaire du commerce bilatéral et une stratégie assumée, pourrait marquer une étape décisive vers un ordre financier multipolaire.