Le bitcoin, ça plume ou ça enrichit ? Pour Michael Saylor, ça gonfle le portefeuille : 7,37 milliards engrangés malgré une chute boursière. Comme quoi, la foi paie.
Le bitcoin, ça plume ou ça enrichit ? Pour Michael Saylor, ça gonfle le portefeuille : 7,37 milliards engrangés malgré une chute boursière. Comme quoi, la foi paie.
La dernière révision du S&P 500 fait plus que redistribuer les cartes. Si l’entrée de Robinhood, symbole de la finance accessible, a été saluée, l’exclusion discrétionnaire de Strategy, pourtant conforme à tous les critères techniques, surprend. Derrière ce choix, une réalité troublante émerge : certaines entreprises exposées au bitcoin semblent toujours persona non grata dans les grands indices. Cette décision interroge sur l’impartialité du comité et la place réelle accordée à l’écosystème crypto.
Malgré la récente correction du bitcoin, la ruée des institutionnels sur le bitcoin continue de se renforcer.
Pendant que le bitcoin fond et que les actionnaires grincent, Michael Saylor continue son shopping crypto XXL : actions diluées, dividendes douteux et rêve d’entrer au S&P 500. Quelle farce financière !
Alors que la volatilité du bitcoin inquiète une partie des investisseurs, Michael Saylor, figure emblématique de Strategy, se montre plus confiant que jamais. Pour lui, l'hiver crypto appartient désormais au passé et laisse place à une nouvelle ère. Le bitcoin peut-il réellement franchir, un jour, la barre mythique du million de dollars ?
La société japonaise Metaplanet, qui détient l'une des plus importantes réserves d'entreprise en bitcoin au monde, voit sa stratégie d'accumulation menacée par l'effondrement de son cours de bourse. Avec une chute de 54 % depuis juin, l'entreprise doit réinventer son mécanisme de financement pour poursuivre ses ambitions crypto.
Saylor, ex-pape du logiciel devenu apôtre du bitcoin, échappe à la justice... pour l’instant. Mais sa passion du BTC flirte dangereusement avec les limites de la réalité comptable.
Robinhood et Strategy ont manqué l'inclusion dans le S&P 500, entraînant une baisse de leurs actions, tandis qu'Interactive Brokers a été ajouté à l'indice.
Alors que le bitcoin est brièvement retombé à 112 000 dollars, MicroStrategy a saisi l’occasion pour accroître son stock stratégique. Michael Saylor, plus grand détenteur public de BTC, maintient son pari sur le bitcoin malgré des acquisitions désormais réduites.
Michael Saylor ne relâche pas la pression. Le cofondateur de Strategy a annoncé un nouvel achat de bitcoin, son troisième d’affilée ce mois-ci. Malgré la volatilité du marché et les secousses sur le cours de l’action de son entreprise, il poursuit inlassablement son plan : accumuler du BTC, quoi qu’il en coûte. Sa conviction demeure intacte, presque inébranlable.
La volatilité est de retour sur le bitcoin. Mais malgré quelques hésitations, la tendance de fond haussière reste inébranlable.
Moins de 48 heures après avoir frôlé un sommet à 124 000 dollars, le bitcoin décroche sous les 117 000 alors que l’ether chute à 4 400. Cette correction brutale, mais classique en apparence, a mis à nu un maillon sensible de l’écosystème : les sociétés cotées exposées aux cryptos. Ainsi, ce segment longtemps porté par l’euphorie haussière encaisse de plein fouet le retournement. Le marché, lui, rappelle qu’il ne récompense jamais l’excès bien longtemps.
Le bitcoin frôle ses plus hauts historiques et Strategy, en profite pour célébrer un cap : cinq ans d’achats ininterrompus. Leader mondial parmi les sociétés cotées détentrices de BTC, le groupe de Michael Saylor marque l’événement avec une acquisition bien plus modeste qu’à l’accoutumée. Un geste symbolique qui, dans un marché hypersensible aux décisions des poids lourds institutionnels, relance le débat sur la viabilité d’une stratégie d’accumulation à marche forcée, même lorsque les prix tutoient leurs records.
Pendant qu’Ethereum grimpe et séduit Wall Street, Saylor s’accroche à son bitcoin comme un marin à son mât. Altcoins ? Il sourit… et continue de remplir sa cale.
Quand un jeton crypto se met à toiser Nike et DBS Bank, ça sent le grand ménage dans le classement des puissants. Et dire que ce n’est qu’un début…
Tandis que le marché du bitcoin semble englué dans une phase d’attentisme, les réserves s’épuisent sur les desks OTC, ces plateformes où les institutions achètent sans faire bouger les prix. La société Strategy, qui a déjà acquis plus de 182 000 BTC cette année, se retrouve en première ligne. Face à une offre qui se tarit, la pression s’accumule. Et si le prochain choc haussier se préparait… en silence ?
Metaplanet a réalisé une nouvelle acquisition majeure, doublant son ambition de devenir le premier détenteur d’entreprise de bitcoin. À la suite de sa transition vers une société de trésorerie axée sur le BTC, l’entreprise cotée à Tokyo s’impose désormais comme l’un des plus grands détenteurs publics de bitcoin en Asie.
Tandis que chaque bitcoin devient plus rare, Strategy ambitionne d’en concentrer une part inédite. Michael Saylor, son cofondateur, évoque la possibilité de détenir jusqu’à 7 % de l’offre mondial de bitcoin, soit près de 1,5 million de BTC. Avec déjà plus de 3 % en réserve, l’entreprise ne se contente plus d’investir : elle construit un modèle financier centré sur l’accumulation stratégique de l’actif. Une trajectoire qui redéfinit les codes de la trésorerie d’entreprise à l’ère des monnaies numériques.
La firme japonaise Metaplanet passe à la vitesse supérieure. Elle prévoit d’émettre jusqu’à 3,7 milliards de dollars d’actions pour financer une stratégie d’accumulation massive de BTC. Une approche audacieuse, directement inspirée du modèle Strategy (ex-MicroStrategy), qui érige le bitcoin en pilier central de sa doctrine financière.
En misant tout sur le bitcoin, Strategy transforme une vision radicale en triomphe comptable. La société affiche un bénéfice net de 10 milliards de dollars au deuxième trimestre, propulsé par la flambée du BTC. Ce chiffre, inédit pour une entreprise cotée, interroge sur la viabilité d’un modèle bâti sur la volatilité.
Saylor l’illuminé, milliardaire ou prophète ? Il claque 2,5 milliards pour du bitcoin à 5 chiffres. Une messe spéculative en Bourse… avec dividendes mensuels s’il vous plaît !
Strategy, l’entreprise de Michael Saylor, n’a acheté aucun bitcoin lors de la dernière semaine de juillet, une première qui surprend, alors que le prix de l’actif phare reste au-dessus des 118 000 dollars. Ce coup de frein tranche avec la cadence soutenue des mois précédents et coïncide avec une levée de fonds de 2,5 milliards de dollars en actions préférentielles. Une pause calculée ou un signal d’alerte ? Les investisseurs s’interrogent.
Michael Saylor vient de publier un nouveau signal sur X qui fait frémir les marchés crypto. Le fondateur de Strategy a partagé le fameux graphique de SaylorTracker, une habitude qui précède traditionnellement ses acquisitions de bitcoin. Cette fois encore, la machine d'accumulation semble prête à se remettre en marche.
Michael Saylor n’a jamais eu la langue dans sa poche ni le portefeuille frileux. Quand il promet du bitcoin, il achète. Et vite. À peine le tweet de préambule publié que l’orchestre s’est lancé : 6 220 BTC absorbés en pleine euphorie haussière, avec un calme chirurgical. En coulisses, ce n’est pas qu’un achat — c’est un signal au marché, une nouvelle démonstration de force qui raconte autre chose : le modèle Strategy tourne à plein régime.
Le cofondateur de Strategy a annoncé une nouvelle acquisition de BTC, renforçant encore les réserves colossales de son entreprise, désormais valorisées à plus de 71 milliards de dollars. Ce modèle inédit de gestion de trésorerie, basé sur une accumulation méthodique de bitcoin, intrigue autant qu’il fascine. Jusqu’où Saylor est-il prêt à aller ?
Les fonds négociés en bourse (ETF) Bitcoin sont devenus une tendance émergente ces dernières années, offrant aux investisseurs une exposition au BTC sans propriété directe. De grandes entreprises ont rejoint cette tendance, avec des sociétés de premier plan comme celle dirigée par Michael Saylor, Strategy, en tête. Cependant, le maximaliste Bitcoin et personnalité médiatique Max Keiser a exhorté à la prudence parmi les participants au crypto qui investissent dans l'actif via des trésoreries centralisées, expliquant que ces entreprises pourraient devenir une cible pour les gouvernements à l'avenir.
Bitcoin n'est plus simplement une protection. Les grandes entreprises publiques le considèrent désormais comme un actif principal, les valeurs de marché étant influencées par la manière dont elles le détiennent.
Voici les perspectives de TD Cowen quant au prix du bitcoin d'ici à la fin de l'année 2025. Trois scénarios sont avancés.
Quand le bitcoin s'envole, Saylor dégaine ses millions. 601 550 BTC plus tard, le monsieur persiste, signe, et transforme ses tweets en or digital. Qui dit mieux ?
Larry Fink avale les bitcoins plus vite que les mineurs les pondent. Pendant que le staking s'invite, l’ETF fait du BTC un petit pion bien juteux.