Un mineur Bitcoin solo a défié les probabilités pour sécuriser un bloc rare, gagnant 3,146 BTC d'une valeur d'environ 266 000 $.
Un mineur Bitcoin solo a défié les probabilités pour sécuriser un bloc rare, gagnant 3,146 BTC d'une valeur d'environ 266 000 $.
Bitmain, géant chinois du mining Bitcoin, suscitent l’inquiétude de Washington. Une enquête secrète révèle des craintes d’espionnage et de sabotage via ces machines ultra-dominantes. En jeu : la sécurité américaine, les intérêts de la famille Trump et l’avenir du crypto-mining.
À quelques jours de Thanksgiving, Washington et Pékin s’apprêtent à conclure un accord décisif sur les terres rares, ces matériaux vitaux pour l’industrie technologique, la défense et le mining crypto. Dans un climat géopolitique tendu, ce compromis pourrait désamorcer une crise aux lourdes conséquences pour les chaînes d’approvisionnement mondiales. Face à la menace de sanctions douanières américaines et aux restrictions chinoises sur les exportations, cet accord marque un tournant stratégique, mais rien n’est encore joué.
BitMine empile des milliards d’Ethereum et change de chef : simple lubie cryptomaniaque ou plan machiavélique pour devenir la future BCE décentralisée ? L’avenir s’écrit en code source.
Tandis que les États renforcent leur contrôle sur les cryptos, un ancien vol de bitcoins refait surface en pleine rivalité géopolitique. LuBian, pool de mining chinois, aurait perdu plus de 127 000 BTC en 2020. Restée discrète pendant des années, l’affaire ressurgit brutalement, car Pékin accuse désormais les États-Unis d’avoir saisi ces fonds, aujourd’hui valorisés à plus de 14 milliards de dollars, via une opération de renseignement. Le soupçon d’une confiscation étatique relance les tensions entre deux superpuissances.
La société allemande Deutsche Telekom a rejoint Theta Network en tant que validateur d’entreprise, marquant une expansion majeure de son implication dans la blockchain et le calcul décentralisé. En assumant ce rôle, le leader des télécoms devient partie du groupe croissant de validateurs corporatifs de Theta.
Un contrat pharaonique de 38 milliards de dollars vient de tout changer. Oracle mise sur l’IA, et les mineurs crypto en profitent déjà. Découvrez comment ce méga-deal révolutionne les marchés, booste les actions et ouvre une nouvelle ère pour la crypto.
Les mineurs de Bitcoin s'endettent à des niveaux record pour financer de nouveaux équipements et étendre leurs opérations à l'intelligence artificielle (IA) et au calcul haute performance (HPC). Alors que la concurrence pour la puissance de calcul s'intensifie et que les bénéfices post-halving diminuent, les mineurs se tournent de plus en plus vers les marchés de la dette pour garder un avantage tant dans la production de Bitcoin que dans la croissance de l'infrastructure des données.
American Bitcoin Corp. (ABTC), cofondée par Eric Trump, vient de publier sa présentation aux investisseurs d’octobre 2025, marquant une étape clé dans son évolution. L’entreprise passe d’un simple acteur du minage de bitcoin à un véritable écosystème d’actifs numériques. Sa stratégie vise à bâtir une puissance bitcoin américaine pour consolider le leadership des États-Unis sur le marché mondial du bitcoin.
La difficulté du minage de Bitcoin a chuté de 2,7 % tandis que le hashrate du réseau a atteint un niveau record, maintenant une forte concurrence pour les mineurs.
Les mineurs de Bitcoin bénéficient d’un court répit après plusieurs mois de pression accrue. Au bloc 919 296, le réseau Bitcoin a enregistré sa première baisse de difficulté depuis juin : une diminution de 2,73 % à 146,72 trillions. Cet ajustement offre un souffle temporaire après une longue période de hausse de la demande computationnelle, qui a poussé de nombreux mineurs à leurs limites.
Donald Trump a déclaré que les États-Unis sont en guerre commerciale avec la Chine. Cette phrase, prononcée à Washington, marque une intensification des tensions économiques. Dans la foulée, les marchés ont vacillé. Le bitcoin, particulièrement sensible aux secousses géopolitiques, a plongé. Cette déclaration intervient alors que l’administration cible les importations technologiques chinoises, menaçant directement l’industrie du mining. L’offensive commerciale américaine prend désormais une tournure stratégique aux répercussions immédiates sur l’écosystème crypto.
Les mineurs de Bitcoin utilisent leur infrastructure énergétique existante pour prendre l'avantage dans l'IA, permettant un déploiement plus rapide des centres de données.
Galaxy Digital a sécurisé 460 millions de dollars pour transformer son ancien site de minage de Bitcoin au Texas en un centre de données à grande échelle dédié à l'IA et au calcul haute performance.
Quand Washington tricote une loi à la hâte, l’IA devient affaire d’État, les mineurs de crypto trinquent, et les exportateurs rongent leur frein. Et tout ça, pour rester les premiers.
La France s'apprête à céder ses surplus d'énergie nucléaire à un mineur de bitcoin américain au lieu de privilégier la solution française.
Le réseau Bitcoin n’a jamais été aussi puissant. Sa difficulté de mining vient d’atteindre un record absolu à 142,3 trillions, en hausse de 29,6 % depuis janvier. Ce chiffre reflète à la fois la montée en puissance du hashrate et la pression croissante sur les sociétés de mining. Tandis que la blockchain se renforce face aux attaques potentielles, les exigences techniques et économiques imposent une sélection de plus en plus rude parmi les acteurs du secteur.
Sur CNBC, Eric Trump a affirmé que le Bitcoin avait « pris le rôle de l’or dans le monde d’aujourd’hui », propulsant la crypto au rang de valeur refuge stratégique. Cette sortie médiatique coïncide avec le lancement d’American Bitcoin, une société de mining et de détention de BTC dont il est proche. Loin d’un simple effet d’annonce, cette déclaration s’insère dans une dynamique où les entreprises cotées commencent à intégrer le bitcoin au cœur de leur stratégie de réserve.
La difficulté de minage du Bitcoin a atteint un nouveau sommet historique alors que le marché des cryptomonnaies est devenu volatile suite aux dernières données sur l'emploi aux États-Unis. Après avoir atteint un sommet historique en août, les commentateurs du marché avaient prévu une baisse de la difficulté du minage de Bitcoin. Cependant, la difficulté de minage a progressivement augmenté au fil du mois, avec une domination des grands acteurs dans cet espace.
En août, les mineurs de bitcoin ont généré des revenus proches de 1,65 milliard de dollars, un niveau quasiment identique à celui de juillet. Ce maintien traduit une résilience impressionnante du secteur, malgré un contexte marqué par la hausse des coûts et la pression énergétique. Mais derrière cette stabilité apparente se cachent des fragilités structurelles qui interrogent : le modèle actuel du mining peut-il réellement tenir dans la durée ?
Derrière l’apparente stabilité du Bitcoin, un déséquilibre menace la pérennité du réseau. Depuis avril, les frais de transaction ont chuté de plus de 80 %, ébranlant le modèle de rémunération des sociétés de mining. En pleine montée en puissance des ETF et après un halving exigeant, c’est l’économie interne du bitcoin qui vacille. Moins de frais, moins d’incitations, plus de risques pour la sécurité du protocole, la crise est là, structurelle, et pose une question que l’écosystème ne peut plus ignorer.
Les États-Unis et le cercle présidentiel sont all-in sur le bitcoin pendant que l'Europe continue de creuser son retard.
Qubic contrôle 58 % du hashrate de Monero tout en démontrant un comportement responsable via sa règle des 9 blocs.
Un succès en solo du minage Bitcoin a permis à un mineur indépendant de gagner 365 000 $ grâce au bloc numéro 910 440.
Tandis que la rentabilité du mining s’érode et que le hashprice recule, le réseau Bitcoin enregistre un regain de puissance inédit. Ce 18 août, le hashrate a grimpé à 966 EH/s, frôlant un sommet historique, malgré des frais de transaction quasi nuls et une pression économique croissante sur les sociétés de mining. Ce contraste saisissant entre tension économique et robustesse technique interpelle : comment l’écosystème du mining parvient-il à maintenir, voire renforcer, sa sécurité dans un contexte aussi défavorable ?
Quand l’IA affamée d’énergie vient piquer les watts du bitcoin, ça chauffe dans les data centers ! Et les mineurs, eux, creusent… pour rester branchés.
En quelques jours, l’un des indicateurs phares de la robustesse du réseau Bitcoin a connu une volte-face saisissante. Le 8 août dernier, le hashrate a atteint un sommet historique, avant de reculer nettement, signe d’un ajustement brutal de la puissance de calcul mobilisée pour sécuriser la blockchain. Ce retournement, survenu alors que le BTC évolue encore près de ses plus hauts annuels, ravive les débats sur l’équilibre entre performance technique et contraintes économiques pour les spécialistes du mining.
MARA Holdings, géant américain du mining Bitcoin, envisage d’acquérir 64 % d’Exaion, filiale d’EDF spécialisée dans les centres de données et l’intelligence artificielle. Cette opération, estimée à 168 millions de dollars, traduit la volonté du groupe de diversifier ses sources de revenus tout en renforçant sa stratégie d’accumulation des BTC.
Le réseau Qubic (QUBIC) a créé la surprise en atteignant temporairement 52,72 % du hashrate total de Monero (XMR), avec une puissance de calcul de 3,01 GH/s. Cette performance technique, bien qu'éphémère, montre la puissance de ce projet.
Le bitcoin serait-il bradé ? Un indicateur clé, « l’Energy Value » de Capriole Investments, estime que sa « juste valeur » atteint 167 800 dollars, soit 45 % au-dessus de son cours actuel. Conçu par Charles Edwards, ce modèle se base sur la puissance énergétique mobilisée par le réseau. L’écart inédit qu’il révèle relance le débat sur la véritable valorisation de l’actif et sur la capacité du marché à combler ce retard dans les prochains mois.