Nouvelle prise dans la crypto jungle : la police cueille un suspect de plus, pendant que le chef présumé, planqué au Maroc, attend l'extradition… L'étau se resserre.
La scène numérique mondiale assiste à l’émergence d’un prédateur invisible mais redoutable : Crocodilus, un malware Android aux ambitions voraces. Détecté pour la première fois en mars 2025, il a rapidement muté, passant d’un simple test régional à une offensive planétaire. Et ce ne sont pas vos photos de vacances qui l’intéressent, mais bien votre argent — notamment celui que vous pensiez en sécurité dans vos portefeuilles crypto.
Un réseau crypto criminel, des figures de la tech ciblées, un suspect traqué jusqu’au Maroc. L’affaire qui secoue la France et force l’État à réagir. Entre violence, crypto et sécurité : plongez dans le dossier brûlant qui expose les failles d’un écosystème.
Une opération judiciaire d'ampleur secoue l'écosystème crypto français. Le parquet de Paris vient d'inculper 25 individus, dont six mineurs, pour leur implication présumée dans plusieurs tentatives d'enlèvements ciblant des figures du secteur crypto. Cette offensive marque-t-elle enfin un tournant dans la lutte contre cette nouvelle forme de criminalité ?
La police judiciaire mène une opération d'envergure ce lundi matin. Plus d'une dizaine de suspects ont été interpellés dans le cadre de deux affaires d'enlèvements visant des entrepreneurs crypto. Cette offensive met en lumière un phénomène inquiétant qui secoue l'écosystème français des cryptomonnaies. Mais ces arrestations suffiront-elles à rassurer un secteur en proie à une vague de violence inédite ?
Ce mardi matin, Paris a frissonné. La fille d’un célèbre magnat de la crypto a évité de peu un enlèvement digne d'un polar raté en plein XIe arrondissement parisien. L’incident, violent et inattendu, a secoué habitants et autorités. Rapidement, la nouvelle a fait le tour des cercles financiers. Les mots Crypto et audace n’ont jamais sonné aussi fort.
L’ex-PDG de Celsius, Alex Mashinsky, vient d’être condamné à 12 ans de prison pour fraude par un tribunal fédéral de New York. Une décision qui surprend, à l’heure où Donald Trump commence son second mandat avec plusieurs grâces présidentielles accordées à des figures majeures de la sphère crypto. Alors que les marchés prédisaient une peine légère, cette condamnation démontre que certaines lignes rouges ne seront pas franchies.
L’affaire Ekaterina Djanova ressemble à un thriller financier où crypto, crime organisé et failles judiciaires s’entremêlent. Alors que cette Française de 38 ans, surnommée ‘la banquière de l’ombre’, croupit en prison depuis deux ans, un rebondissement juridique pourrait la libérer. Derrière cette possible évasion légale se cachent des questions brûlantes : comment le système crypto facilite-t-il le blanchiment à grande échelle ? Et jusqu’où s’étend l’impunité numérique ?
L’IA Grok crache un nom de coin, les escrocs s’en emparent, CZ encaisse 90 millions bidons, et la crypto redécouvre qu’intelligence artificielle rime parfois avec arnaque très réelle.
Les tempêtes peuvent éclater en un clin d’œil dans la sphère crypto. Mantra (OM), autrefois porté aux nues par ses partisans, vient de subir une chute vertigineuse de 95 %. Alors que les accusations de manipulation et d’opacité fusent, John Mullin, PDG du projet, monte au créneau. Entre déni ferme et promesses de redressement, le scénario mêle crise de confiance et stratégies de survie.
L’univers crypto a subi un séisme financier. Au premier trimestre 2025, les pirates ont siphonné 1,63 milliard de dollars, pulvérisant tous les records. Un chiffre vertigineux, dopé par l’attaque titanesque contre Bybit, qui représente à elle seule 92 % des pertes. Mais derrière ces statistiques brutales se cachent des réalités plus nuancées : des failles exploitées, des écosystèmes vulnérables et une résilience fragile. Plongée dans les entrailles d’une crise qui ébranle les fondations de la décentralisation.
Un employé de Binance suspendu pour front-running, une enquête interne qui secoue l’écosystème, et une communauté crypto qui joue les détectives sur X… Voilà les ingrédients d’une affaire explosive. Entre indices on-chain et soupçons grandissants, retour sur une chasse aux fraudeurs où la blockchain ne laisse aucune place aux secrets.
Microsoft vient d'émettre une alerte concernant un nouveau logiciel malveillant sophistiqué ciblant spécifiquement les portefeuilles crypto. Ce malware, capable de contourner les systèmes de sécurité, menace 20 des portefeuilles crypto les plus populaires, dont Coinbase et MetaMask.
Au cœur d’un scandale mêlant crypto et intrigues politiques, un avocat argentin bouscule l’ordre établi. L’affaire LIBRA, qui oscille entre manipulation financière et jeu de dupes, s’annonce comme l’un des épisodes les plus retentissants de l’univers crypto. Dans ce contexte de turbulence, chaque mot compte et chaque geste est scruté.
Le Lazarus Group, collectif de hackers affilié à la Corée du Nord, continue ses activités illégales en exploitant les cryptos. Récemment, une transaction de 400 ETH, soit environ 750 000 dollars, a été identifiée sur Tornado Cash, une plateforme connue pour anonymiser les transactions blockchain. Parallèlement, le groupe a lancé une nouvelle campagne de malwares visant les développeurs, confirmant son évolution vers des attaques toujours plus sophistiquées.
Hier, entre quatre murs gris et le cliquetis des barreaux, Sam Bankman-Fried a soufflé ses 33 bougies. Une célébration loin des lambris dorés de sa période FTX, mais sous les projecteurs d’un scandale qui secoue encore la crypto. Condamné à 25 ans de prison, l’ex-golden boy des cryptomonnaies livre, depuis sa cellule, une version de son histoire où innocence et calcul politique s’entremêlent.
La justice française est actuellement confrontée à une affaire d’escroquerie au bitcoin d’une ampleur considérable, impliquant deux Franco-israéliens accusés d’avoir détourné près de 12 millions d’euros. L’un d’eux, Julien-Daniel X., est maintenu en détention après avoir été interpellé en France lors d’un séjour au ski. Il prétend avoir été arrêté uniquement parce qu’il est israélien.
L’Argentine, déjà secouée par une crise économique persistante, voit aujourd’hui son président Javier Milei plonger dans une tempête judiciaire liée à la crypto Libra. Alors que Milei, chantre du libertarianisme, promettait une révolution monétaire, un tweet promotionnel effacé dans la précipitation et des transactions opaques ont déclenché une enquête retentissante. Entre envolées spéculatives, soupçons de pump-and-dump et procédures pénales, l’affaire Libra révèle les zones d’ombre d’un écosystème crypto en quête de crédibilité.
Le plus grand piratage de l'histoire de la crypto connaît un développement alarmant. En seulement 10 jours, les pirates informatiques ont réussi à blanchir la totalité des 1,4 milliard de dollars volés à la plateforme Bybit. Malgré cette rapidité d'exécution, les experts en sécurité blockchain estiment qu'une partie des fonds pourrait encore être récupérée.
La crypto vient de vivre son casse du siècle. Le 21 février, Bybit, l’un des géants des exchanges centralisés, s’est fait siphonner 1,4 milliard de dollars. Mais le véritable choc réside ailleurs : en une semaine, les hackers ont déjà blanchi 605 millions de dollars d’Ether. Du jamais-vu. Derrière cette prouesse, un acteur redouté : le groupe Lazarus, bras armé de la Corée du Nord. Un outil inattendu au cœur du scandale : THORChain, le protocole interchaînes pourtant adoré des degens.
Le groupe Lazarus, principal suspect du piratage historique de Bybit estimé à 1,4 milliard de dollars, serait également impliqué dans les récentes escroqueries aux memecoins sur Solana, notamment via la plateforme Pump.fun, selon les découvertes de l'enquêteur blockchain ZachXBT.
Le PDG de Bybit, Ben Zhou, a récemment pris une position ferme contre Pi Network ($PI), affirmant qu’il s’agit d’un scam et que son exchange ne listera jamais un projet frauduleux. Cette déclaration fait suite à une polémique déclenchée par une page de Pi Network, qui prétendait que Bybit perdait son influence sur le marché crypto, après que Pi Network aurait soi-disant refusé d’être listé sur l’exchange.
Le 21 février 2025, la plateforme d’échange crypto Bybit a été victime d’un piratage sans précédent, entraînant la perte de plus de 1,4 milliard de dollars en actifs numériques. Cet incident marque le plus grand vol de l’histoire des cryptomonnaies, surpassant de loin les précédents piratages majeurs.
Le 21 février 2025, Bybit, l’une des principales plateformes d’échange de cryptomonnaies, a révélé avoir été victime d’une attaque informatique sophistiquée. Selon un communiqué officiel, un cold wallet en Ethereum (ETH) a été compromis, permettant à un attaquant de transférer 560 millions de dollars vers un hot wallet non identifié. Cet incident met en lumière les défis de sécurité auxquels font face les exchanges dans l’univers crypto.
Une employée modèle ? Plutôt une illusion. Derrière ses fichiers Excel, Ho Kai Xin a détourné 5,7 millions en crypto. La justice singapourienne lui offre un séjour de 10 ans derrière les barreaux.
Le token LIBRA, brièvement soutenu par le président argentin Javier Milei, s’est révélé être une catastrophe financière pour la majorité de ses investisseurs. Selon l’étude menée par une société de recherche blockchain, plus de 13 000 traders ont subi des pertes dépassant un total de 251 millions de dollars.
Le marché crypto traverse une nouvelle période de turbulence, et Solana (SOL) en subit directement les conséquences. En 24 heures, la cryptomonnaie a chuté de 6,2 %, atteignant 166,42 $, son niveau le plus bas depuis mi-décembre. Cette baisse s’inscrit dans un contexte de controverses liées aux memecoins basés sur sa blockchain, notamment LIBRA.
L’univers crypto vient de subir un nouveau séisme. Pump.fun, plateforme connue pour ses montées express de tokens éphémères, accuse aujourd’hui des acteurs internes d’avoir manipulé son écosystème. Une révélation qui jette une lumière crue sur les failles structurelles d’un secteur pourtant habitué aux turbulences. Loin des habituelles dénonciations de fraudes externes, c’est ici le cœur du système qui semble avoir tremblé. Comment une plateforme vantant la transparence a-t-elle pu devenir le théâtre d’un tel scénario ? Et que révèle cet épisode sur l’urgence de réinventer les règles du jeu ?
L’ivresse du pouvoir, la morsure du scandale. Accusé de fraude, Javier Milei vacille, poursuivi par la justice et abandonné par une nation trahie. L’orage gronde en Argentine.
L’univers crypto cache aussi des pièges taillés dans l’ombre des écrans. Swagg Man, ancien roi des réseaux sociaux devenu symbole d’un capitalisme décomplexé, incarne désormais cette face sombre. Accusé d’avoir détourné 1,8 million d’euros via de faux investissements en crypto et immobilier, son arrestation révèle bien plus qu’une simple escroquerie : un schéma où l’influence se mue en arme financière. Si la crypto promet l’émancipation, elle reste un terrain de jeu pour les illusionnistes en costume de nabab.