Conflux a lancé un stablecoin adossé au yuan offshore et a dévoilé Tree-Graph 3.0 pour faire avancer l'adoption mondiale de la blockchain.
Conflux a lancé un stablecoin adossé au yuan offshore et a dévoilé Tree-Graph 3.0 pour faire avancer l'adoption mondiale de la blockchain.
Crypto : Western Union vise un futur sans frontières avec un wallet stablecoin mondial. Découvrez tous les détails dans cet article.
Le prix d’Ethereum a affiché une solide performance en juillet, culminant à un sommet pour 2025, porté par l’intérêt croissant de grands acteurs de l’industrie. Le deuxième actif crypto par capitalisation a même surpassé Bitcoin la semaine dernière, les données récentes révélant une forte activité d’accumulation d’ETH par plusieurs entreprises.
Tether, autrefois allergique à la régulation, fait aujourd’hui la révérence à Washington. Opportunisme ? Réveil tardif ? La crypto s’ouvre un boulevard… mais attention au péage !
Le 18 juillet 2025 restera comme une date clé pour l’écosystème crypto. Le XRP a battu un nouveau record historique à 3,65 $, surpassant son sommet de 2018. Cependant, au-delà de cette flambée, c’est un changement d’ère réglementaire qui s’amorce. En signant le Genius Act, le président Donald Trump envoie un signal clair : les États-Unis entendent encadrer, et non freiner, l’innovation crypto. Cette reconnaissance politique a aussitôt catalysé l’élan autour de Ripple, plaçant le XRP au cœur des dynamiques financières et institutionnelles du secteur.
Quand Trump régule les cryptos et légalise ses propres stablecoins, ça sent la stratégie électorale à plein nez. Mais qui surveillera le génie du GENIUS Act ? Pas les enfants, visiblement.
Alors que les États-Unis viennent de franchir un cap décisif en votant à la Chambre plusieurs lois inédites encadrant les stablecoins, les grandes banques américaines affûtent déjà leur stratégie. Bank of America, Citigroup ou encore JPMorgan préparent, en toute discrétion, le lancement de leurs propres stablecoins.
Après des années de flou et de tiraillements entre innovation et régulation crypto, les États-Unis semblent enfin prêts à définir leur cap sur la question brûlante de la crypto. Le 17 juillet, la Securities and Exchange Commission (SEC) a salué un tournant législatif historique : le passage du GENIUS Act à la Chambre des représentants. Ce texte ambitieux, désormais en route vers le bureau de Donald Trump pour promulgation, entend poser les bases d’une régulation claire, proactive et résolument tournée vers l’avenir. Derrière les acronymes et les discours bien rodés, un message se dessine : la crypto n’est plus une anomalie réglementaire, mais un levier stratégique pour l’économie américaine.
JPMorgan et Citigroup entrent dans l'espace des stablecoins alors que la concurrence finteche s'intensifie et que les législateurs américains avancent avec de nouvelles réglementations cryptographiques sous la loi GENIUS, signalant un changement plus large dans le secteur bancaire traditionnel.
Tether frappe fort avec 160 milliards d’USDT, mais sous le vernis stablecoin, les audits brillent par leur absence… et les sénateurs américains affûtent leurs lames législatives.
Mardi, dans une tournure aussi inattendue que symbolique, la Chambre des représentants des États-Unis a annulé les votes cruciaux sur deux projets de loi majeurs relatifs aux cryptomonnaies. Ce recul, survenu en pleine "Crypto Week", fait suite à un échec procédural qui expose les profondes divisions politiques autour de la régulation des actifs numériques. Alors que les regards étaient tournés vers l'adoption imminente des textes "Clarity" et "GENIUS", les discussions sont désormais gelées, laissant planer l’incertitude sur l’avenir du cadre crypto américain.
Alors que les États-Unis misent sur une régulation ouverte des stablecoins avec le GENIUS Act, la Chine choisit une voie plus discrète. À Shanghai, une réunion à huis clos entre régulateurs révèle une volonté d'expérimenter, sans pour autant relâcher le contrôle.
Les stablecoins sont devenus un moyen largement utilisé pour les transactions transfrontalières, en particulier pour les paiements de détail et d'autres remises à l'étranger. Malgré l'adoption croissante, certains dans les cercles bancaires ont exprimé des doutes sur ces actifs numériques indexés sur des monnaies fiduciaires. Une personnalité bancaire de premier plan a même mis en garde les plus grandes banques du monde contre l'émission de leurs propres stablecoins.
Tether décroche ses affiches de blockchains désertées pour mieux coller sur les stars crypto : pendant que certains pleurent Omni, d’autres trinquent déjà sur Ethereum et Tron.
Tandis que le dollar joue les funambules et que Trump brandit ses tarifs, Washington sort une crypto-béquille : les stablecoins, remède techno ou mirage numérique d’un empire vacillant ?
L’empire financier de Jack Ma reprend des couleurs. Ant International, la branche internationale du géant chinois Ant Group, anciennement filiale d’Alibaba, s’apprête à intégrer l’USDC de Circle dans sa blockchain. Un coup stratégique qui pourrait redistribuer les cartes dans l’écosystème mondial des paiements numériques.
Quand une ex-ministre s’attaque aux stablecoins, ce n’est pas pour leur logo. Mais peut-on encore parler de monnaie publique quand la crypto s’infiltre partout ? Suivez la piste Lagarde…
Ripple veut devenir banquier, XRP tente une remontée spectaculaire, et Wall Street applaudit. La crypto jadis rebelle s’installe dans les fauteuils feutrés des régulateurs. Jusqu’où ira-t-elle ?
Sous prétexte de stablecoins à Hong Kong, Pékin lance ses pions. Crypto au menu, contrôle en dessert ? JD et Ant déroulent le tapis numérique, mais gare aux ficelles invisibles.
Tandis que les stablecoins gagnent en légitimité, une loi américaine ravive les fractures entre souveraineté monétaire et suprématie du dollar. Avec la GENIUS Act, adoptée par le Sénat, Washington encadre les cryptos adossées au billet vert. Toutefois en Europe, la riposte s’organise. Amundi redoute une déstabilisation mondiale. Derrière ce cadre juridique, se dessine une offensive monétaire aux effets systémiques.
L’ether piétine, les ETF explosent, les gros porteurs accumulent, le retail dort. Et si la crypto d’Ethereum préparait en douce un grand chambardement ? On vous souffle les coulisses.
Le monde de la crypto se construit souvent à la lisière des institutions. Pourtant, certaines entreprises choisissent d’avancer à contre-courant en cherchant à s’y inscrire pleinement. C’est le cas de Circle, l’émetteur de l’USDC, qui ne se contente plus d’être un acteur tech. L’entreprise américaine a officiellement demandé à devenir une banque fiduciaire nationale aux États-Unis. Une démarche à la fois audacieuse et révélatrice d’une mutation plus large dans l’écosystème crypto : l'intégration au système bancaire fédéral pour mieux pérenniser la confiance.
La blockchain ne manque pas de promesses, mais rares sont les projets capables de faire le lien entre ambition technologique et réalité institutionnelle. Avec son nouveau moteur de conformité ACE, Chainlink entend franchir ce cap. Objectif affiché : libérer 100 000 milliards de dollars d’investissements institutionnels jusqu’ici bloqués par des freins réglementaires. Une initiative qui pourrait bien changer la donne dans l’univers crypto.
L’ère du plastique touche à sa fin. Alors que Visa et Mastercard s’essoufflent sous le poids de frais opaques et de délais archaïques, une nouvelle forme d’infrastructure prend discrètement le pouvoir. Les stablecoins, longtemps relégués au rang d’outils de traders, s’installent aujourd’hui au cœur du Web comme la « couche de règlement par défaut ». Ce n’est plus une hypothèse futuriste : c’est une réalité qui s’ancre dans les chiffres et dans les usages.
Le 17 juin, le Sénat américain a adopté la loi GENIUS, abréviation de la loi sur l'orientation et l'établissement de l'innovation nationale pour les stablecoins américains, par un vote bipartisan de 68-30. Si elle est adoptée par la Chambre et signée par le Président, le projet de loi introduirait le premier cadre fédéral complet pour réguler les stablecoins aux États-Unis.
World Liberty Financial, soutenu par Donald Trump, se prépare à rendre son token natif, WLFI, échangeable. Cette décision reflète l'effort du projet pour répondre plus directement à l'intérêt croissant et aux retours de sa base d'utilisateurs.
Tether intensifie ses plans d'exploitation minière de Bitcoin, visant à devenir le plus grand acteur de l'industrie d'ici la fin de l'année.
Pendant que les Américains bichonnent les stablecoins, la Banque de France sort les crocs : crypto, dollar et souveraineté ne font pas bon ménage chez les gardiens du temple monétaire.
Des jetons qu’on croyait sages, un rapport qui dégaine, la BIS flingue les stablecoins. Crypto-mania ou bulle toxique ? La finance mondiale revoit ses copies… sous haute tension.
À contre-courant des années de flou réglementaire, Washington semble vouloir reprendre la main sur l’écosystème crypto. Ce 18 juin, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a surpris en apportant un soutien clair à deux projets de loi structurants sur les stablecoins et le marché crypto. Dans un climat politique en mutation aux États-Unis, cette prise de position marque un tournant potentiel pour l’industrie, qui attend depuis longtemps un cadre légal solide et prévisible.