Tether Gold redéfinit la valeur refuge en fusionnant or réel et technologie crypto. Entre rareté, sécurité et accessibilité mondiale, XAUt s’impose.
Tether Gold redéfinit la valeur refuge en fusionnant or réel et technologie crypto. Entre rareté, sécurité et accessibilité mondiale, XAUt s’impose.
Un État cow-boy qui frappe sa propre monnaie, une crypto publique adossée au dollar… WYST pourrait bien être le galop d’essai d’une guerre froide monétaire made in USA.
Au cours de la semaine dernière, près de 5 milliards de dollars de nouvelle liquidité ont afflué dans l'écosystème des stablecoins, dirigé par des pics d'offre dans l'USDS de Sky et l'USDe d'Ethena. Alors que le marché s'ajuste à une nouvelle phase de supervision fédérale, la concurrence entre les jetons indexés sur le dollar semble entrer dans une phase critique.
Quand Trump joue au banquier central en lançant sa propre crypto, Warren sonne l’alarme : réguler, oui. Offrir un coffre-fort aux milliardaires, non. À suivre sous les dorures...
Une semaine seulement après que les États-Unis ont adopté sa première législation crypto complète, le marché des stablecoins a ajouté plus de 4 milliards de dollars de nouvelles fournitures entrant en circulation. La nouvelle loi GENIUS signée est déjà en train de changer le secteur. En fournissant un cadre fédéral pour les stablecoins adossés à des fiat, elle offre aux banques, gestionnaires d'actifs et startups fintech un feu vert réglementaire. Elle permet de nouveaux capitaux, de nouveaux acteurs et un chemin clair pour l'avenir des dollars tokenisés.
Moins d'une semaine après l'approbation de la loi GENIUS, deux géants du secteur financier, Anchorage Digital et Ethena Labs, ont uni leurs forces pour lancer une version américaine du stablecoin offshore USDtb. Ce dollar numérique deviendra le premier stablecoin à faire ses débuts conformément à la récente loi sur la réglementation des stablecoins.
L'adoption des cryptomonnaies a connu une croissance remarquable en 2025, avec des particuliers et même de grandes institutions qui se tournent vers la possession d'actifs numériques. Fait intéressant, les données montrent que la récente vague d'adoption des cryptomonnaies est largement motivée par les paiements numériques et l'intelligence artificielle.
Polymarket veut lancer son propre stablecoin. La plateforme de prédiction crypto, qui utilise aujourd’hui l’USDC pour toutes ses transactions, envisage de créer sa propre monnaie stable afin de capter les revenus actuellement perçus par Circle. Deux options sont sur la table : un accord de partage avec Circle ou un stablecoin maison
Conflux a lancé un stablecoin adossé au yuan offshore et a dévoilé Tree-Graph 3.0 pour faire avancer l'adoption mondiale de la blockchain.
Crypto : Western Union vise un futur sans frontières avec un wallet stablecoin mondial. Découvrez tous les détails dans cet article.
Le prix d’Ethereum a affiché une solide performance en juillet, culminant à un sommet pour 2025, porté par l’intérêt croissant de grands acteurs de l’industrie. Le deuxième actif crypto par capitalisation a même surpassé Bitcoin la semaine dernière, les données récentes révélant une forte activité d’accumulation d’ETH par plusieurs entreprises.
Tether, autrefois allergique à la régulation, fait aujourd’hui la révérence à Washington. Opportunisme ? Réveil tardif ? La crypto s’ouvre un boulevard… mais attention au péage !
Le 18 juillet 2025 restera comme une date clé pour l’écosystème crypto. Le XRP a battu un nouveau record historique à 3,65 $, surpassant son sommet de 2018. Cependant, au-delà de cette flambée, c’est un changement d’ère réglementaire qui s’amorce. En signant le Genius Act, le président Donald Trump envoie un signal clair : les États-Unis entendent encadrer, et non freiner, l’innovation crypto. Cette reconnaissance politique a aussitôt catalysé l’élan autour de Ripple, plaçant le XRP au cœur des dynamiques financières et institutionnelles du secteur.
Quand Trump régule les cryptos et légalise ses propres stablecoins, ça sent la stratégie électorale à plein nez. Mais qui surveillera le génie du GENIUS Act ? Pas les enfants, visiblement.
Alors que les États-Unis viennent de franchir un cap décisif en votant à la Chambre plusieurs lois inédites encadrant les stablecoins, les grandes banques américaines affûtent déjà leur stratégie. Bank of America, Citigroup ou encore JPMorgan préparent, en toute discrétion, le lancement de leurs propres stablecoins.
Après des années de flou et de tiraillements entre innovation et régulation crypto, les États-Unis semblent enfin prêts à définir leur cap sur la question brûlante de la crypto. Le 17 juillet, la Securities and Exchange Commission (SEC) a salué un tournant législatif historique : le passage du GENIUS Act à la Chambre des représentants. Ce texte ambitieux, désormais en route vers le bureau de Donald Trump pour promulgation, entend poser les bases d’une régulation claire, proactive et résolument tournée vers l’avenir. Derrière les acronymes et les discours bien rodés, un message se dessine : la crypto n’est plus une anomalie réglementaire, mais un levier stratégique pour l’économie américaine.
JPMorgan et Citigroup entrent dans l'espace des stablecoins alors que la concurrence finteche s'intensifie et que les législateurs américains avancent avec de nouvelles réglementations cryptographiques sous la loi GENIUS, signalant un changement plus large dans le secteur bancaire traditionnel.
Tether frappe fort avec 160 milliards d’USDT, mais sous le vernis stablecoin, les audits brillent par leur absence… et les sénateurs américains affûtent leurs lames législatives.
Mardi, dans une tournure aussi inattendue que symbolique, la Chambre des représentants des États-Unis a annulé les votes cruciaux sur deux projets de loi majeurs relatifs aux cryptomonnaies. Ce recul, survenu en pleine "Crypto Week", fait suite à un échec procédural qui expose les profondes divisions politiques autour de la régulation des actifs numériques. Alors que les regards étaient tournés vers l'adoption imminente des textes "Clarity" et "GENIUS", les discussions sont désormais gelées, laissant planer l’incertitude sur l’avenir du cadre crypto américain.
Alors que les États-Unis misent sur une régulation ouverte des stablecoins avec le GENIUS Act, la Chine choisit une voie plus discrète. À Shanghai, une réunion à huis clos entre régulateurs révèle une volonté d'expérimenter, sans pour autant relâcher le contrôle.
Les stablecoins sont devenus un moyen largement utilisé pour les transactions transfrontalières, en particulier pour les paiements de détail et d'autres remises à l'étranger. Malgré l'adoption croissante, certains dans les cercles bancaires ont exprimé des doutes sur ces actifs numériques indexés sur des monnaies fiduciaires. Une personnalité bancaire de premier plan a même mis en garde les plus grandes banques du monde contre l'émission de leurs propres stablecoins.
Tether décroche ses affiches de blockchains désertées pour mieux coller sur les stars crypto : pendant que certains pleurent Omni, d’autres trinquent déjà sur Ethereum et Tron.
Tandis que le dollar joue les funambules et que Trump brandit ses tarifs, Washington sort une crypto-béquille : les stablecoins, remède techno ou mirage numérique d’un empire vacillant ?
L’empire financier de Jack Ma reprend des couleurs. Ant International, la branche internationale du géant chinois Ant Group, anciennement filiale d’Alibaba, s’apprête à intégrer l’USDC de Circle dans sa blockchain. Un coup stratégique qui pourrait redistribuer les cartes dans l’écosystème mondial des paiements numériques.
Quand une ex-ministre s’attaque aux stablecoins, ce n’est pas pour leur logo. Mais peut-on encore parler de monnaie publique quand la crypto s’infiltre partout ? Suivez la piste Lagarde…
Ripple veut devenir banquier, XRP tente une remontée spectaculaire, et Wall Street applaudit. La crypto jadis rebelle s’installe dans les fauteuils feutrés des régulateurs. Jusqu’où ira-t-elle ?
Sous prétexte de stablecoins à Hong Kong, Pékin lance ses pions. Crypto au menu, contrôle en dessert ? JD et Ant déroulent le tapis numérique, mais gare aux ficelles invisibles.
Tandis que les stablecoins gagnent en légitimité, une loi américaine ravive les fractures entre souveraineté monétaire et suprématie du dollar. Avec la GENIUS Act, adoptée par le Sénat, Washington encadre les cryptos adossées au billet vert. Toutefois en Europe, la riposte s’organise. Amundi redoute une déstabilisation mondiale. Derrière ce cadre juridique, se dessine une offensive monétaire aux effets systémiques.
L’ether piétine, les ETF explosent, les gros porteurs accumulent, le retail dort. Et si la crypto d’Ethereum préparait en douce un grand chambardement ? On vous souffle les coulisses.
Le monde de la crypto se construit souvent à la lisière des institutions. Pourtant, certaines entreprises choisissent d’avancer à contre-courant en cherchant à s’y inscrire pleinement. C’est le cas de Circle, l’émetteur de l’USDC, qui ne se contente plus d’être un acteur tech. L’entreprise américaine a officiellement demandé à devenir une banque fiduciaire nationale aux États-Unis. Une démarche à la fois audacieuse et révélatrice d’une mutation plus large dans l’écosystème crypto : l'intégration au système bancaire fédéral pour mieux pérenniser la confiance.