Bitcoin v30 élargit OP_RETURN, déclenchant une zizanie technique : entre modernité ambitieuse et trahison des racines, le cœur du protocole chauffe plus vite qu’un nœud saturé !
Bitcoin v30 élargit OP_RETURN, déclenchant une zizanie technique : entre modernité ambitieuse et trahison des racines, le cœur du protocole chauffe plus vite qu’un nœud saturé !
BNB tutoie les sommets pendant que l’État américain cale. Record, investisseurs kazakhs et transactions low cost : Binance ne craint ni shutdown, ni spéculations. Une crypto qui ne s’endort pas !
Les stablecoins ont connu leur trimestre le plus actif jamais enregistré au T3 2025, avec des volumes de transactions atteignant des sommets historiques. Cependant, un nouveau rapport révèle qu'une grande partie de cette activité provient de bots plutôt que d'utilisateurs individuels. Parallèlement, les petits transferts de détail ont grimpé à des niveaux sans précédent, soulignant le double rôle des stablecoins comme outil de trading et option émergente pour les paiements quotidiens.
Tandis que l’Europe accélère vers les paiements numériques et prépare l’euro digital, la BCE crée la surprise. Elle recommande de garder du cash chez soi. Cette injonction révèle une réalité trop souvent évacuée des discours officiels : la fragilité des systèmes numériques face aux crises. Un tel retour assumé à l’argent liquide ne marque pas un pas en arrière, mais une anticipation lucide des risques systémiques, entre pannes, tensions géopolitiques et cyberattaques.
L'écosystème crypto vient de subir l'une des attaques les plus sophistiquées de son histoire. Un « crypto-clipper » injecté via des modules NPM compromis détourne discrètement les adresses de portefeuille lors des transactions. Comment cette brèche a-t-elle pu échapper aux radars de sécurité ?
Le mois d’août a été marqué par deux signaux opposés sur le marché des cryptos. Ethereum a franchi un sommet d’activité inédit, confirmant l’intérêt croissant des investisseurs pour son écosystème. À l’inverse, le bitcoin a subi une secousse brutale après la liquidation massive de 24 000 BTC par un seul acteur. Ce contraste ne se résume pas à une divergence technique. Il illustre une recomposition en cours, entre innovations réglementaires, repositionnement stratégique des acteurs et évolution des rapports de force entre actifs majeurs.
Derrière l’apparente stabilité du Bitcoin, un déséquilibre menace la pérennité du réseau. Depuis avril, les frais de transaction ont chuté de plus de 80 %, ébranlant le modèle de rémunération des sociétés de mining. En pleine montée en puissance des ETF et après un halving exigeant, c’est l’économie interne du bitcoin qui vacille. Moins de frais, moins d’incitations, plus de risques pour la sécurité du protocole, la crise est là, structurelle, et pose une question que l’écosystème ne peut plus ignorer.
Le Shibarium s'effondre. En dix jours, les transactions quotidiennes de la blockchain de couche 2 de Shiba Inu sont passées de 4,8 millions à moins de 10 000, soit une chute de 99,8 %. Ce n’est pas un ralentissement, mais un coup d’arrêt brutal. Lancé il y a un an comme moteur de l’écosystème SHIB, le réseau fait face à une perte de vitesse spectaculaire. Dans un marché crypto léthargique en cette fin du mois d’août, cette dégringolade interpelle sur l’adhésion réelle à ce projet pourtant très exposé médiatiquement.
Tandis que le marché oscille entre consolidation technique et retour de l'appétit institutionnel, un mouvement hors norme attire tous les regards. Un acteur détenant plus de 5 milliards de dollars en bitcoin réoriente une partie majeure de son capital vers Ethereum. L’ampleur des montants, la transparence des transactions on-chain et le timing de l’opération interpellent. Plus qu’un simple arbitrage, ce repositionnement stratégique semble redessiner les rapports de force entre les deux piliers historiques de l’univers crypto.
Le bitcoin fait le vide autour de lui : les petits s’éclipsent, les gros s’enrichissent. Pendant ce temps, le réseau tousse, les frais baissent, et les ETF fuient.
Après avoir atteint un sommet quotidien de 24,74 $ le 13 août, la hausse du prix de Chainlink (LINK) s’est essoufflée, ramenant l’actif à des niveaux légèrement inférieurs. Malgré ce ralentissement, les gros détenteurs continuent d’accumuler le token. Ces baleines considèrent généralement ce repli comme une opportunité d’« acheter la baisse » en vue d’une nouvelle jambe haussière. Alors, à quoi s’attendre pour la tendance future de LINK ?
Grayscale lorgne un ETF Cardano, les prix s'envolent, et les traders spéculent. Mais l'ADA saura-t-il se maintenir au sommet ou sera-t-il victime de son propre succès crypto ?
Les stablecoins atteignent 270 milliards de dollars : entre régulation américaine, Tron survolté et guerre des réseaux, la planète crypto collectionne ses dollars numériques comme d’autres leurs timbres rares.
Panique sur la planète crypto : baleines affolées, petits porteurs saignés. Et Binance qui ramasse les BTC comme s’il en pleuvait. Le bitcoin, lui, fait grise mine…
Bitcoin joue à cache-cache avec les 120 000 $ : Galaxy balance des tonnes, le marché s’essouffle, mais les baleines, elles, affûtent leurs harpons pour mieux revenir.
Ethereum appuie sur l’accélérateur du gas… mais qui tiendra la route ? Petit voyage entre techno ambitieuse, blockchain élitiste et promesses de scaling plus glissantes qu’un serpent sur la RAM.
Ethereum joue les sprinteurs du Web3 : zkEVM, clients secrets et preuves en 10 secondes… Pendant ce temps, les rivaux font la sieste et Vitalik ajuste son chronomètre.
Le 4 juillet 2025, un portefeuille Bitcoin resté inactif depuis 2011 a brusquement bougé 80 000 BTC, soit 8,6 milliards de dollars. L’opération, éclipsant tous les précédents records, intrigue autant qu’elle fascine. Aucun mot, aucune annonce, juste un mouvement massif capté par la blockchain. À la fois rare par son volume et exceptionnel par l'ancienneté des fonds, ce geste d’un détenteur anonyme interpelle sur les dynamiques cachées du marché et les intentions des grandes baleines.
Pendant que les vieux briscards encaissent leur pactole, le bitcoin joue les acrobates : il vacille, s'équilibre, et pourrait même bondir. Le suspense continue, chapeau bas les taupes.
Polkadot ambitionnait de devenir l’ossature du Web3. Pourtant, les derniers chiffres dressés par Messari pour le premier trimestre de cette année révèlent un net repli : activité en baisse, utilisateurs en recul, capitalisation en chute. Alors que d'autres écosystèmes consolident leur traction, le projet de Gavin Wood peine à concrétiser ses promesses. Le contraste entre l’architecture technique avancée du réseau et sa faible adoption alimente les doutes : Polkadot peut-il encore incarner l’avenir décentralisé qu’il proclamait vouloir bâtir ?
Moins de mouvements, plus de silence : Bitcoin souffle. Mais derrière les chandeliers, Trump s’énerve, Powell tremble, et le dollar fond… De quoi réveiller une crypto reine en sommeil ?
Tandis que le marché se concentre sur les courbes de prix, un indicateur clé de l’activité réelle s’est effondré. Le volume de paiements sur le XRP Ledger a chuté de près de 70 % en quelques jours. Derrière ce repli discret se dessine une remise en question plus profonde de la vitalité du réseau, de son adoption concrète et de la solidité de son modèle opérationnel.
Pendant qu’Ethereum mouline et que Bitcoin roupille, Solana trace son sillon crypto dans les bilans d’entreprises. Et si le futur de la finance décentralisée s’écrivait en lettres SOL ?
Retrait massif, combustion spontanée et rêve de milliards : Shiba Inu rejoue le grand bluff du memecoin qui voudrait bien devenir une crypto sérieuse… sans perdre son flair marketing.
L’annonce d’Uber d’accepter le bitcoin et d’autres cryptos comme moyens de paiement marque un tournant stratégique. Plus qu’un simple ajout technologique, c’est un signal fort. Le géant de la mobilité entend s’ancrer dans l’économie numérique émergente. À l’heure où les cryptos gagnent du terrain dans les usages quotidiens, Uber ne veut pas suivre la vague, mais contribuer à la façonner. Ce choix pose une question essentielle : quel rôle joueront les géants technologiques dans l’évolution des systèmes de paiement mondiaux ?
Solana, accusé de tout et son contraire, pourrait bien damer le pion à Ethereum. Scaramucci s’emballe, mais l’industrie crypto garde un œil prudent sur cette promesse éclatante.
La ruée des banques vers les stablecoins fait trembler les vieux réseaux financiers. Mais derrière cette valse crypto, un secret bien gardé menace de tout chambouler.
Tandis que les marchés financiers vacillent sous le poids des tensions monétaires et des incertitudes macroéconomiques, les ETF Bitcoin franchissent un cap historique avec 40 milliards de dollars d’entrées cumulées. Ce seuil symbolique marque bien plus qu’un simple record. Il consacre l’intégration du bitcoin dans les portefeuilles réglementés et révèle une mutation profonde de l’investissement crypto. Désormais, le bitcoin s’impose comme une composante durable de l’architecture financière institutionnelle.
Quand un géant vacille, c’est tout l’écosystème crypto qui retient son souffle. En avril 2025, CoinGecko a publié une radiographie sans filtre du marché des exchanges centralisés (CEX), ce qui révèle un basculement inédit dans les rapports de force. Si Binance reste en tête, sa domination s'effrite dans un contexte de reconfiguration accélérée des acteurs. Les mouvements spectaculaires de Gate.io et Bitget, conjugués à une contraction globale des volumes, interrogent sur l’évolution du secteur.
Le bitcoin connaît un essor spectaculaire, avec plus de 344 000 nouveaux portefeuilles créés en seulement 48 heures. Cette explosion d'adoption, alimentée par la peur de rater une occasion (FOMO), marque un retour inattendu d’un phénomène souvent perçu comme révolu. Si l’enthousiasme croissant autour du BTC démontre une confiance renouvelée, cette dynamique interpelle également sur la solidité et la pérennité de cette hausse, ainsi que sur ses répercussions possibles à long terme.