Wall Street tremble, BlackRock applaudit, et le dollar se digitalise sans demander l’avis du Trésor… Les stablecoins s’imposent, pendant que la crypto tisse sa toile monétaire planétaire.
Wall Street tremble, BlackRock applaudit, et le dollar se digitalise sans demander l’avis du Trésor… Les stablecoins s’imposent, pendant que la crypto tisse sa toile monétaire planétaire.
Robinhood dégaine l’artillerie lourde : actions US sur Arbitrum, ETF tokenisés… La plateforme mise tout sur la crypto, mais Bruxelles et Vilnius pourraient bien lui faire déchanter.
Bitcoin s’effondre, Trump menace, Pékin contre-attaque, et les cryptos trinquent : pendant ce temps-là, Dogecoin cherche encore une sortie de crise. Faut-il rire ou racheter ?
Matt Hougan de Bitwise souligne la rapidité et la fiabilité de Solana comme des facteurs qui pourraient en faire une blockchain de premier plan pour les efforts de stablecoins et de tokenisation de Wall Street.
Et si un banquier trop doux réveillait la bête bitcoin ? Derrière les nominations Trumpiennes, une parabole financière prête à dégoupiller… Novogratz allume la mèche, planquez les dollars !
Le bitcoin s’ennuie ferme, paraît-il. Mais quand Michael Saylor parle de « ruée numérique », on se demande : calme plat ou tempête en préparation dans l’arène crypto ?
En cette rentrée, les grandes banques revoient leur copie. Face à un net ralentissement de l’économie américaine, l’idée de deux à trois baisses de taux dès cette année s’impose peu à peu. Les investisseurs, suspendus aux moindres signaux de la Fed, voient dans ce changement de cap un tournant potentiel.
Les émetteurs d’ETF crypto n’attendent plus que la SEC sorte son tampon. Ils avancent, déposent, corrigent, peaufinent. Comme un chef d’orchestre sûr de sa partition, Grayscale continue de jouer sa propre symphonie réglementaire. Et cette fois, c’est Cardano qui monte sur scène, prêt à décrocher son ticket pour Wall Street. Le compte à rebours est lancé, les lignes bougent, et les investisseurs affûtent déjà leurs carnets d’ordres.
Un promoteur en déficit, une crypto en vedette, un bond de 60 % en Bourse… Et si LINK devenait le béton armé des trésoreries en ruine ?
Van Eck met en avant Ethereum comme un jeton de Wall Street, le positionnant au centre du marché croissant des stablecoins.
World Liberty Financial (WLFI), la coentreprise crypto cofondée par Eric Trump et Donald Trump Jr., a fait un saut majeur sous les projecteurs. Mercredi, les frères ont participé à une cérémonie de sonnerie de cloche au Nasdaq à Times Square, célébrant un accord de jetons de 1,5 milliard de dollars qui pourrait propulser leur entreprise dans les rangs supérieurs de la finance décentralisée.
Les indices américains ont poursuivi leur ascension, galvanisés par une inflation de juillet inférieure aux prévisions. Ce signal macroéconomique a propulsé les anticipations d’une baisse des taux de la Fed dès septembre, désormais quasi acquise aux yeux des investisseurs. Porté par cet élan, l’optimisme gagne aussi le marché des cryptos et les géants technologiques asiatiques, dessinant un mouvement global où macroéconomie, finance traditionnelle et DeFi avancent de concert.
Depuis des années, Ethereum est un acteur majeur dans le secteur des cryptomonnaies. Mais il a toujours eu du mal à convaincre Wall Street. Aujourd’hui, un nouveau groupe de sociétés de trésorerie pourrait avoir trouvé la solution pour rendre ETH plus attrayant aux yeux des investisseurs traditionnels.
Quand Jack Dorsey injecte du Bitcoin dans Wall Street, les indices boursiers frétillent… et les banquiers, eux, transpirent. Block, pion crypto, entre au S&P 500. Rien que ça.
Wall Street flirte avec un cypherpunk : 30 000 bitcoins, un SPAC, un héritier pressé, et un clin d’œil à Satoshi. Reste à savoir qui appuiera sur le bouton…
Pendant que Wall Street compte ses points, le bitcoin rafle la mise, ridiculise le S&P 500, et file à toute allure dans les coffres d’un BlackRock médusé. Qui l’eût cru ?
Quand les ETF s’emplissent comme des poches percées et que le bitcoin crève le plafond, les marchés traditionnels s'interrogent : les cryptos seraient-elles devenues fréquentables chez les costards-cravates ?
Ce 9 juillet 2025, Nvidia a franchi une frontière inédite : 4 000 milliards de dollars de capitalisation boursière. Un sommet historique, jamais atteint par aucune autre entreprise cotée. Ce seuil symbolique n’est pas qu’un record boursier, il consacre un basculement global : celui d’une économie numérique vers un monde structuré par l’intelligence artificielle. Alors que les marchés s’alignent sur les géants du calcul, Nvidia s’impose en moteur d’une nouvelle ère, où la puissance algorithmique redéfinit les équilibres économiques mondiaux.
L'offensive de Wall Street ne connaît plus de limites. En moins d'une année, les ETF Bitcoin spot ont raflé un quart des volumes d'échanges mondiaux de la crypto phare. Cette percée spectaculaire redistribue les cartes entre finance traditionnelle et plateformes crypto natives, révélant une mutation profonde du secteur.
Alors que la dette fédérale américaine vient de franchir le seuil vertigineux des 36 000 milliards de dollars, Larry Fink, PDG de BlackRock, avertit : sans un rebond significatif de la croissance, l’économie la plus puissante du monde risque de heurter un mur fiscal. Derrière cette alerte, se dessine une équation explosive mêlant déficits chroniques, inertie politique et dépendance accrue aux investisseurs étrangers.
Circle débarque en bourse avec fracas ! L’émetteur de l’USDC vise 7,2 milliards de dollars pour son IPO. Soutien massif de BlackRock, ambitions démesurées, modèle crypto régulé… cette entrée à Wall Street pourrait bien redéfinir les règles du jeu. Alors, révolution ou absorption ?
Quand Kraken donne des ailes à Wall Street : des actions US sur la blockchain, sans horaires ni frontières, pendant que la finance traditionnelle compte ses heures et ses intermédiaires… Suspense garanti.
Quand la Réserve fédérale choisit l’immobilisme, les marchés vacillent. En maintenant ses taux inchangés ce mercredi, la première banque centrale mondiale a respecté les attentes, sans apaiser les tensions. Ainsi, entre inflation persistante, consommation en ralentissement et incertitudes sur l’emploi, le message de la Fed reste volontairement flou. Cette stratégie de temporisation accroît la fébrilité des places financières et alimente les spéculations, notamment dans l’univers crypto, où chaque mot de Jerome Powell est scruté comme un indicateur capital.
Buffett quitte le navire en pleine tempête, laisse la barre à Abel et un pactole au passage. Et continue de prêcher la rigueur, même entouré de flammes, dettes et cryptos brûlantes.
Ripple, qui voulait croquer Circle pour 5 milliards, s’est fait claquer la porte au nez. Résultat : un duel de stablecoins où l’USDC n’entend pas se laisser voler la vedette.
Les marchés boursiers mondiaux plongent avec des pertes significatives sur Wall Street et à l’international. Cette chute, exacerbée par l’incertitude économique, la chute du pétrole et la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, soulève des questions sur les perspectives à court terme des marchés financiers.
Selon une récente analyse de Bloomberg Intelligence, plusieurs grandes entreprises américaines cotées en bourse pourraient bientôt adopter le bitcoin comme composante de leur réserve de trésorerie, face aux incertitudes économiques croissantes.
Le lundi 21 avril 2025, une divergence remarquable s'est manifestée sur les marchés financiers mondiaux. Alors que les actions américaines subissaient une chute brutale, le secteur crypto affichait une résilience impressionnante, gagnant 60 milliards de dollars de capitalisation.
Pendant que Trump joue au douanier de choc, Tesla tangue, Alphabet résiste et Wall Street prend l’eau. Les marchés, eux, comptent les baffes avant le prochain tweet présidentiel.
Le paysage financier tangue. Alors que Bitcoin, souvent critiqué pour sa volatilité légendaire, traverse une phase de relative stabilité, le S&P 500 s’emballe comme un actif spéculatif. Ironie du sort : l’indice phare de Wall Street, symbole de la finance traditionnelle, rivalise désormais avec l’imprévisibilité des memecoins. Un renversement de rôle qui interroge les certitudes et redessine les frontières entre risque et sécurité.