Stripe, jadis sceptique, s’offre aujourd’hui sa blockchain maison. Officiellement pour les stablecoins, officieusement pour piquer la vedette aux cadors crypto. Les ingénieurs grincent, Collison jubile.
La difficulté de minage du Bitcoin a atteint un nouveau sommet historique alors que le marché des cryptomonnaies est devenu volatile suite aux dernières données sur l'emploi aux États-Unis. Après avoir atteint un sommet historique en août, les commentateurs du marché avaient prévu une baisse de la difficulté du minage de Bitcoin. Cependant, la difficulté de minage a progressivement augmenté au fil du mois, avec une domination des grands acteurs dans cet espace.
Le brut américain perd du terrain. Cette semaine, l’Indian Oil Corporation (IOC), premier raffineur public indien, a tourné le dos aux cargaisons venues des États-Unis pour se réorienter vers le Moyen-Orient et l’Afrique de l’Ouest. Ce rééquilibrage logistique, en apparence technique, traduit une bascule stratégique : montée des alliances énergétiques au sein des BRICS, recul du dollar dans les échanges pétroliers et affirmation d’un nouvel ordre économique.
Depuis sa création, Ethereum (ETH) n’a cessé de surprendre les marchés. Mais le dernier indicateur en date marque une étape sans précédent. Pour la première fois, le solde d’échange d’Ethereum est devenu négatif : autrement dit, davantage d’ETH quittent les plateformes de trading qu’il n’en entre. Ce phénomène rare pourrait être le carburant d’une envolée vers les 7 000 $, selon plusieurs analystes.
Les fonds négociés en bourse Ether au comptant (ETF) ont enregistré 952 millions de dollars de sorties sur cinq jours de bourse, suscitant des inquiétudes sur les marchés des actifs numériques. Les investisseurs ont réduit leur exposition aux produits Ether gérés par de grandes sociétés telles que BlackRock et Fidelity, tandis que les capitaux se sont orientés vers les ETF bitcoin. Ces retraits sont survenus dans un contexte de craintes croissantes de récession et d'anticipations accrues d'un assouplissement de la politique monétaire aux États-Unis.
Le marché haussier des cryptomonnaies touche potentiellement à sa fin après deux années de hausse spectaculaire. Les indicateurs techniques et cycliques suggèrent un sommet proche entre août et octobre 2025. Faut-il vendre ses cryptos avant qu’il ne soit trop tard ?
La disparition de quelques milliers de bitcoins d’un bilan suffit à alimenter les polémiques. Ce week-end, l’émetteur de l’USDT s’est retrouvé au centre d’un tourbillon médiatique : aurait-il secrètement vendu ses BTC ? Certains y ont vu un virage stratégique. Toutefois, derrière les chiffres en apparence inquiétants, une autre réalité se dessine, bien plus nuancée, et surtout, révélatrice des mouvements discrets d’un géant de la finance crypto.
L’accalmie aura été de courte durée. En effet, le marché des cryptos replonge dans la peur, selon le Crypto Fear & Greed Index, tombé à 44 après plusieurs semaines de stabilité. Ce signal psychologique n’est pas isolé, car il accompagne un basculement net des flux d’investissement, quittant les altcoins les plus volatils pour se recentrer sur les poids lourds du secteur, le bitcoin et Ethereum.
Depuis 2011, Satoshi Nakamoto a disparu, laissant derrière lui une énigme toujours irrésolue. Pourtant, certains estiment que la menace de l’informatique quantique pourrait forcer son retour. C’est la thèse, un peu folle mais fascinante, de Joseph Chalom, co-PDG de SharpLink Gaming
Le bitcoin, ça plume ou ça enrichit ? Pour Michael Saylor, ça gonfle le portefeuille : 7,37 milliards engrangés malgré une chute boursière. Comme quoi, la foi paie.