Coincé sous 533 trillions de SHIB, Shiba Inu ronge son frein. Mais si bitcoin s’envole, le petit chien crypto pourrait bien mordre un grand morceau du marché !
Coincé sous 533 trillions de SHIB, Shiba Inu ronge son frein. Mais si bitcoin s’envole, le petit chien crypto pourrait bien mordre un grand morceau du marché !
Un an après son quatrième halving, Bitcoin affiche une trajectoire déconcertante. Si la crypto a bien grimpé depuis avril 2024 — frôlant les 109 000 dollars en janvier —, sa progression reste pâle comparée aux cycles précédents. Un paradoxe ? Malgré des records absolus, le taux de croissance annuel plafonne à 49 %, loin des quadruples chiffres d’autrefois. Comment expliquer ce ralentissement historique, alors que les ETF et la pénurie programmée de coins devaient propulser le marché ?
Dans un marché crypto en perpétuelle effervescence, le XRP s'est illustré par un mouvement d'ampleur rare. En l'espace de quelques heures, la cassure de la résistance à 0,57 dollar et une vague massive de liquidations ont bouleversé l'équilibre des forces. Ce double événement, combinant pression acheteuse et capitulation vendeuse, replace le XRP sous les projecteurs.
Bitcoin domine, les altcoins rament. Avec une dominance à 64%, l’altseason paraît de plus en plus hors de portée, même si quelques tokens tentent encore leur chance. La lutte est inégale.
Bitcoin enchaîne les gains, mais 87% de son offre est déjà en profit. La tentation de vendre est grande, mais la demande pourrait encore soutenir la crypto. La tension monte.
L’économie mondiale est en pleine transformation avec l’avènement de la blockchain, et l’immobilier n’échappe pas à cette révolution. Deloitte prévoit que l’immobilier tokenisé atteindra 4 000 milliards de dollars d’actifs d’ici 2035. Ce chiffre impressionnant met en lumière un changement profond dans l’investissement immobilier, qui devient plus accessible et plus liquide. La tokenisation redéfinit les règles du marché immobilier, ouvrant de nouvelles possibilités pour une économie globale plus décentralisée.
L’affaire Ekaterina Djanova ressemble à un thriller financier où crypto, crime organisé et failles judiciaires s’entremêlent. Alors que cette Française de 38 ans, surnommée ‘la banquière de l’ombre’, croupit en prison depuis deux ans, un rebondissement juridique pourrait la libérer. Derrière cette possible évasion légale se cachent des questions brûlantes : comment le système crypto facilite-t-il le blanchiment à grande échelle ? Et jusqu’où s’étend l’impunité numérique ?
Tandis que les cryptos bousculent l'ordre monétaire mondial, et poussent les États et les banques centrales à revoir leurs stratégies, la Suisse choisit la voie de la prudence. La Banque Nationale suisse (BNS), gardienne de la stabilité économique du pays, vient de rejeter fermement l’idée d’intégrer le bitcoin dans ses réserves. Ce positionnement clair intervient au moment où une initiative citoyenne tente de forcer l’adoption de la crypto au plus haut niveau institutionnel.
La géographie financière mondiale vit une mue spectaculaire. Loin des gratte-ciel aseptisés de Wall Street ou des banques centenaires suisses, une nouvelle cartographie émerge : celle des cités qui ont su épouser la révolution blockchain sans complexes. Ljubljana, capitale slovène nichée entre Alpes et Balkans, incarne cette métamorphose. Avec une audace réglementaire et une culture crypto déjà ancrée, elle surclasse désormais Hong Kong et Zurich. Comment cette ville de 300 000 habitants a-t-elle réussi à dominer le jeu ? La réponse se niche dans un mélange subtil de pragmatisme législatif, d’infrastructures agiles et d’une adoption populaire quasi organique.
Tandis que les tensions monétaires internationales s’accentuent, la Chine accélère son offensive contre la domination du dollar. Pékin officialise le lancement d'un plan stratégique pour imposer son propre système de paiement international. Cette initiative marque un tournant majeur dans la redéfinition des flux financiers mondiaux, ce qui renforce l’ambition chinoise d’un ordre économique multipolaire. En ciblant directement les réseaux traditionnels dominés par l’Occident, cette manœuvre capte désormais l’attention des marchés, des gouvernements et des grandes institutions financières.
Trump sort le grand jeu avec un dîner VIP pour sauver son memecoin, pendant que les traders crypto filent en douce avec la caisse. Ambiance feutrée, portefeuilles vidés.
Ripple, en mode « burn & mint », veut écraser Tether avec son stablecoin RLUSD. Objectif : figurer dans le top 5 des stablecoins d’ici décembre. À suivre, mais ça chauffe !
Pendant que le dollar fait des claquettes sur un fil de tweets présidentiels, l’euro, lui, trottine vers le trône monétaire, galvanisé par les bévues de son rival étoilé.
Le calme apparent du marché crypto pourrait bien voler en éclats. En jeu : plus de 8 milliards de dollars en options Bitcoin et Ethereum arrivent à échéance ce vendredi, l’un des plus gros volumes de l’année. À chaque échéance, la volatilité guette. Cependant cette fois, les écarts entre prix actuels et points de douleur pourraient provoquer des rebondissements inattendus. Dans un climat d’hésitation macroéconomique, cette expiration massive pourrait bien précipiter un nouveau mouvement de fond.
Dans un univers crypto de plus en plus compétitif, les plateformes doivent s’adapter aux attentes croissantes des investisseurs expérimentés. C’est dans ce contexte que Bitvavo, l’un des leaders européens du trading d’actifs numériques, lance Bitvavo Pro : une interface conçue spécifiquement pour les traders avancés. Plus qu’une simple évolution, il s’agit d’un changement de paradigme, destiné à offrir une alternative locale aux plateformes anglo-saxonnes, souvent jugées trop complexes, onéreuses ou éloignées des normes européennes.
La scène crypto aurait pu marquer un tournant historique. Un partenariat entre Nvidia et un réseau blockchain, une reconnaissance officielle de la crypto par un géant des puces électroniques. Pourtant, comme à l’accoutumée, l’espoir a viré au mirage. À quelques heures de l’annonce, Nvidia a retiré son soutien, laissant le projet dans le flou. Un scénario qui résume une relation tumultueuse : malgré les avancées technologiques de la blockchain, l’entreprise californienne campe sur une ligne claire. La crypto reste persona non grata dans son écosystème.
À 1,7 % le Livret A ne fait plus rêver. Le LEP sauve les meubles, pendant que les jeunes fuient vers des cieux plus verts, ou plus volatils.
Malgré un climat de marché morose, Ethereum envoie un signal fort : 449 000 ETH ont été transférés en un jour vers des adresses d’accumulation, un record absolu. Ce mouvement stratégique, observé en pleine baisse des prix, révèle une confiance tenace chez certains investisseurs de long terme. À contre-courant du sentiment ambiant, cette opération interroge sur un possible changement de cycle, alors que la volatilité reste élevée et que les incertitudes économiques continuent de peser sur l’ensemble du secteur crypto.
Quand Donald Trump défie le marché obligataire, ce n’est pas qu’un affrontement politique : c’est un choc systémique. Le président américain, animé par une vision économique interventionniste, a déclenché une vague d’instabilité en bousculant les équilibres des taux et des bons du Trésor. Face à lui, un marché implacable qui n’a pas tardé à réagir. Ce bras de fer, loin d’être anecdotique, expose les fragilités d’une économie sous tension et relance le débat sur la fiabilité des actifs traditionnels en période d’incertitude.
XRP, la crypto qui roupillait, sort de son coma numérique avec un réveil digne d’un tremblement de terre, flirte avec les sommets et pose ses valises sur le radar des traders.
Entre Washington et les BRICS, l’Inde joue un numéro d’équilibriste. Officiellement attachée au dollar, elle laisse pourtant filtrer des signaux favorables à des alternatives monétaires. Dans un contexte de recomposition géopolitique où la devise américaine cristallise les tensions, la posture ambivalente de New Delhi intrigue autant qu’elle inquiète. Entre loyauté affichée et stratégies discrètes, l’Inde s’impose comme un acteur clé dans le bras de fer monétaire mondial.
Le marché obligataire traditionnel reste complexe, opaque et réservé à une élite. Credefi bouscule ces codes en lançant les NFT Bonds, une solution innovante qui rend l’investissement dans des obligations d’entreprise accessible, transparent et rentable pour tous, grâce à la tokenisation d’actifs réels et à la puissance de la DeFi.
Quand la crypto se transforme en carton d’invitation : pour souper avec Trump, il suffit de posséder son token. Le marketing politique n’a décidément plus peur du ridicule.
Alors que le monde des cryptos tangue entre régulation et anarchie, la Russie joue une partition inédite. Loin des clichés d’un État réfractaire, Moscou orchestre une manœuvre subtile : une bourse crypto étatique, réservée à une élite financière. Un paradoxe ? Plutôt une stratégie calculée, mêlant contrôle absolu et ouverture feutrée.
L’univers crypto vient de vivre un coup de théâtre. Alors que bitcoin frôle les 94 000 $, Cardano (ADA) réalise une percée inédite : son volume d’échanges dépasse le milliard de dollars en 24 heures, propulsant son cours de 11 %. Une performance qui interroge autant qu’elle fascine. Derrière ces chiffres, se cachent des mécanismes techniques, des jeux de pouvoir entre acheteurs et vendeurs, et une alchimie propre aux marchés décentralisés. Plongée dans les entrailles d’un rebond qui pourrait redessiner l’équilibre des cryptomonnaies.
Tandis que les projets Web3 rivalisent d’annonces, Pi Network crée la surprise avec une poussée marquée de son token. En l’espace de 24 heures, son prix grimpe de 5 %, accompagné d’un volume d’échange en hausse de 66 %. Ce regain d’intérêt coïncide avec une étape attendue depuis longtemps : le lancement de la migration vers le mainnet. Pour un projet souvent jugé énigmatique, ce passage vers un environnement blockchain pleinement opérationnel redéfinit les attentes autour de sa crédibilité et de sa feuille de route.
Les marchés n'ont besoin que d’un frémissement pour s’emballer. Cette fois, c’est Donald Trump qui a ravivé la flamme, en adoucissant subitement sa ligne sur deux sujets brûlants : la Réserve fédérale et les droits de douane chinois. « Aucun plan pour remplacer Jerome Powell », a-t-il déclaré, en rupture avec ses critiques virulentes passées. Il a aussi ouvert la porte à un allègement tarifaire sur les importations chinoises. Deux gestes d’apaisement qui ont aussitôt dopé les places financières mondiales, en quête de signaux rassurants.
Le bitcoin flirte avec les sommets et fait trembler le marché. En franchissant les 94 000 dollars, la crypto a provoqué une série de liquidations à hauteur de centaines de millions de dollars, ce qui fait vaciller les positions baissières. Dans un climat chargé d’incertitudes macroéconomiques, cette poussée alimente les spéculations sur une envolée vers les 100 000 dollars. L’euphorie des investisseurs haussiers affronte la fébrilité des vendeurs à découvert, dans un marché où chaque mouvement semble dicté par la peur, la tension… et l’instinct.
En avril 2025, le Fonds monétaire international (FMI) a assombri les perspectives économiques des États-Unis avec une révision brutale : une croissance projetée à 1,8 %, contre 2,7 % initialement prévu. Ce revirement, le plus marqué depuis la crise de 2008, n’est pas un simple ajustement technique. Il reflète une conjonction de risques – guerres commerciales, inflation tenace, décrochage de la consommation – qui menace de redessiner l’équilibre économique mondial. Derrière ces chiffres, un constat implacable : les décisions politiques récentes ont précipité une onde de choc dont les répliques pourraient durer.
Avec Trump, nous assistons au passage d'une guerre commerciale à une guerre économique totale entre les Etats-Unis et la Chine.