Quand le bitcoin flanche, Saylor flambe : 397 BTC en plus, 641 205 en stock… L’homme qui confond stratégie d’entreprise et collection de pièces numériques ne compte toujours pas lever le pied.
Quand le bitcoin flanche, Saylor flambe : 397 BTC en plus, 641 205 en stock… L’homme qui confond stratégie d’entreprise et collection de pièces numériques ne compte toujours pas lever le pied.
Courte secousse, gros signal. En une semaine, les ETF au comptant adossés à l’ether ont enregistré environ 508 M$ de retraits. Dans le même temps, les ETF Bitcoin ont connu des sorties notables. Le mouvement n’est pas anecdotique. Il dit quelque chose de l’humeur du marché, de la gestion du risque… et de la façon dont l’institutionnel calibre désormais son exposition aux crypto-actifs.
L’attention croissante portée à l’audit longtemps retardé de Fort Knox a ravivé le débat entre l’or et le Bitcoin. Le fondateur de Binance, Changpeng Zhao (CZ), a une fois de plus rejoint la discussion, remettant en question la vérifiabilité de l’or tout en répondant au critique de longue date Peter Schiff. L’intérêt grandissant pour l’or tokenisé et l’incertitude persistante du marché ont donné un nouvel élan à la conversation.
Les stablecoins deviennent la cryptomonnaie préférée pour les transactions illicites, dépassant le Bitcoin et attirant une surveillance accrue des régulateurs.
Pendant que Bitcoin et Ethereum fuient les portefeuilles comme la peste, Solana séduit les gros bonnets. Et si le vrai pouvoir crypto se planquait derrière un staking bien ficelé ?
Les investisseurs sont prudents alors que les actions cryptographiques affrontent une semaine difficile, avec des grandes entreprises voyant leurs cours baisser dans un contexte de pressions économiques et de marché persistantes.
Un changement progressif vers les actifs numériques est en cours dans le secteur des fonds spéculatifs, alors qu'un nombre croissant de gestionnaires incorporent des positions en crypto. L'activité croissante du marché et des signaux plus clairs des décideurs politiques américains ont été des moteurs clés de cette tendance. En fait, des données d'enquête récentes indiquent une transition large qui tire progressivement la crypto plus loin dans la finance traditionnelle.
Le bitcoin vacille, et le marché se divise. Alors que la crypto accuse une chute de près de 15 % en quelques semaines, une fracture nette apparaît entre petits porteurs et investisseurs institutionnels. Tandis que les premiers profitent de la baisse pour renforcer leurs positions, les baleines, elles, liquident discrètement des milliers de BTC. Ce décalage stratégique, observé par la plateforme Santiment, pourrait bien marquer un tournant décisif dans l’évolution du marché.
Chez JPMorgan, le message est clair : l’appétit pour le bitcoin ne faiblit pas. Au troisième trimestre, la banque a déclaré détenir 5,284 millions d’actions de l’iShares Bitcoin Trust (IBIT) au 30 septembre, soit une hausse de 64 % par rapport au trimestre précédent. En valeur, cela représentait 343 millions de dollars à fin septembre. Le pari s’est accompagné d’une note haussière : un objectif de 170 000 $ pour le bitcoin à douze mois. Parlons chiffres, flux et sens du mouvement.
Trump croyait tenir la clé du royaume crypto… Résultat ? Un bain de sang boursier, des milliards envolés, et une vérité qui pique plus que ses tweets : la crypto ne pardonne pas.
Un cap vient d’être franchi. Les adresses accumulant du Bitcoin ont acheté 214 069 BTC sur 30 jours et portent leur stock agrégé à 387 305 BTC au 5 novembre. Cette poussée ne doit rien au hasard : elle s’appuie sur des investisseurs au profil précis et sur une mécanique de marché devenue, qu’on le veuille ou non, institutionnelle.
La Réserve fédérale américaine stimule l'économie alors même que les marchés flambent et que l'emploi reste solide. Pour Ray Dalio, cette combinaison inhabituelle ne présage rien de bon. Le légendaire investisseur y voit les symptômes d'une fin de cycle économique majeur, où l'endettement excessif force les autorités monétaires à jouer avec le feu.
Trump, sacré président du minage mental, rêve d’un empire bitcoin pendant que Pékin prépare ses jetons… Une crypto-croisade à suivre entre tweets, stablecoins et yuan numérique sous surveillance.
Le bitcoin perd-il du terrain là où il devait triompher ? Cathie Wood, PDG d’ARK Invest et figure de proue de l’investissement crypto, vient de revoir à la baisse son objectif le plus ambitieux pour le BTC. La cause est la montée en puissance des stablecoins dans les économies émergentes, où ils s’imposent comme nouvelle réserve de valeur. Un réajustement stratégique fort, qui interroge sur le rôle réel que jouera le bitcoin face à ces alternatives adossées au dollar.
Et si le rôle de réserve de valeur promis au bitcoin dans les économies émergentes était en train de lui échapper ? C’est une hypothèse que Cathie Wood, fondatrice et PDG d’ARK Invest, semble désormais prendre au sérieux. Connue pour ses convictions fortes sur le potentiel du bitcoin, l’investisseuse revoit aujourd’hui à la baisse son scénario le plus optimiste, invoquant une dynamique inattendue : l’ascension fulgurante des stablecoins comme alternative au BTC dans certaines régions du monde.
Le Bitcoin reste en dessous de 105K $ tandis qu'une forte pression vendeuse maintient le marché sous tension alors que les traders surveillent le jugement à venir sur les tarifs douaniers américains.
Les ETF d'actifs numériques américains ont subi des pressions cette semaine alors que les traders institutionnels ont adopté une position plus prudente. Les produits Bitcoin et Ether ont enregistré des sorties importantes, tandis que les fonds Solana ont continué à susciter un intérêt constant. L'activité suggérait un sentiment inégal à travers les principaux actifs crypto alors que les marchés réagissaient à la récente volatilité.
Robinhood a livré un autre trimestre solide, enregistrant des gains nets en chiffre d'affaires et en bénéfices alors que l'activité crypto a explosé. Les marchés ont légèrement reculé après les heures de négociation, mais le rallye depuis le début de l'année reste parmi les plus forts des fintech cotées en bourse et des entreprises adjacentes à la crypto.
La stratégie d'accumulation agressive de Bitcoin menée par Michael Saylor pourrait-elle survivre au prochain marché baissier ? L'analyste crypto Willy Woo apporte des réponses rassurantes, chiffres à l'appui. Mais un risque subsiste à plus long terme.
Le passage du bitcoin sous les 100 000 dollars a ravivé les tensions sur le marché, ébranlant un seuil symbolique pour les investisseurs. Derrière ce repli technique se cachent des signaux plus complexes. Alors que certains redoutent une tendance baissière durable, plusieurs voix influentes du secteur y voient une phase transitoire, porteuse d’un potentiel rebond. Entre analyse comportementale et dynamiques macroéconomiques, cette correction pourrait marquer bien plus qu’un simple ajustement passager.
Tandis que le marché crypto retient son souffle, une note de 10x Research relance le débat. Ethereum serait désormais un bon candidat au short. Selon le cabinet, parier contre l’ETH pourrait offrir une couverture efficace face à l’essor institutionnel du bitcoin. Cette lecture stratégique bouscule la hiérarchie entre les deux principaux actifs du secteur.
Sequans, l’ami du bitcoin hier encore, largue 970 jetons en douce : tactique ou panique ? Pendant ce temps, les marchés crypto font des nœuds avec leur portefeuille.
Le marché des cryptomonnaies connaît un début de trimestre mouvementé. Alors que le Bitcoin vacille sous le poids de sorties massives de capitaux, Solana surprend en attirant un afflux institutionnel sans précédent. Un contraste saisissant qui illustre un possible tournant dans l’équilibre du marché crypto
Michael Saylor poursuit son obsession pour le bitcoin. Sa société Strategy vient de déposer une demande d'introduction en bourse d'une action libellée en euros, spécialement conçue pour lever des fonds et acquérir encore plus de BTC. Cette initiative suffira-t-elle à relancer une dynamique d'achat qui montre des signes d'essoufflement ?
Le bitcoin vient de repasser sous les 100 000 dollars, ravivant les doutes sur la solidité de sa tendance haussière. Derrière ce seuil symbolique se cache un marché fragilisé, entre essoufflement de la demande et tensions macroéconomiques. Pour CryptoQuant, la menace est claire. Si ce support ne tient pas, le BTC pourrait plonger jusqu’à 72 000 dollars d’ici deux mois. Un scénario qui inquiète, alors que les signaux techniques et fondamentaux virent au rouge.
Tandis que les marchés traditionnels vacillent sous le poids des incertitudes macroéconomiques, l’écosystème crypto traverse une zone de turbulence inédite. Le bitcoin chute sous les 104 000 dollars, entraînant dans son sillage l’ensemble des autres actifs. Cependant, cette correction dépasse la simple volatilité habituelle. Le sentiment des investisseurs s’effondre, basculant de l’optimisme à une peur extrême en quelques jours. Ce retournement brutal marque une rupture de tendance majeure, qui pourrait bien redéfinir les équilibres du marché à court terme.
Les traders institutionnels viennent de franchir un cap historique : 80 % du volume de Bitget leur appartient désormais. Une révolution qui redéfinit les marchés crypto, avec des flux records et une liquidité inégalée. Pourquoi cette domination change tout pour les investisseurs ?
Le bitcoin glisse, les baleines délaissent, les petits capitulent… et si le fameux gap à 92 000 $ devenait la nouvelle station d’arrêt ? Humeur baissière garantie.
Les ETF Bitcoin américains ont subi un exode massif de capitaux la semaine dernière. Les investisseurs institutionnels ont tourné le dos après que Jerome Powell a douché les espoirs d'une baisse des taux en décembre. À contre-courant, les ETF Solana tirent leur épingle du jeu avec des entrées record.
Le marché crypto a subi un repli brutal en début de semaine. Tandis que les actions américaines restaient au vert, le bitcoin, Ethereum et le Dogecoin se sont effondrés, déclenchant plus de 1,1 milliard de dollars de liquidations en 24 heures. Une chute soudaine, sans catalyseur clair, qui expose les failles d’un écosystème encore instable et vulnérable aux mouvements de panique. Ce revers massif relance les doutes sur la solidité du marché et la résilience des investisseurs face à une volatilité toujours aussi imprévisible.