Promis pour 2026, l’euro numérique fait déjà des remous : Lagarde y voit souveraineté, Navarrete inutile gadget, et les banques craignent un bank run digital.
Promis pour 2026, l’euro numérique fait déjà des remous : Lagarde y voit souveraineté, Navarrete inutile gadget, et les banques craignent un bank run digital.
Les Républicains de la Chambre des représentants veulent frapper un grand coup : associer l’interdiction d’un dollar numérique à une loi crypto déjà soutenue par une partie des démocrates. Une stratégie risquée, qui révèle à la fois l’urgence de définir un cadre réglementaire et les fractures idéologiques du Congrès américain.
La Banque centrale européenne intensifie sa communication autour de l'euro numérique. Piero Cipollone, membre du directoire, a exposé au Parlement européen de nouveaux arguments en faveur du projet. La BCE parviendra-t-elle à rallier des utilisateurs encore majoritairement détracteurs ?
L’Union européenne envisage d’ancrer son futur euro numérique sur des blockchains publiques comme Ethereum et Solana, selon des révélations du Financial Times. Ce choix marquerait une rupture majeure avec les approches centralisées, à l’image de la Chine, et pourrait redéfinir l’équilibre de la souveraineté monétaire en Europe.
Quand Scaramucci dit 180 000, ce n’est pas son salaire, mais sa prophétie Bitcoin. Entre ETF, baleines et stablecoins, le petit monde crypto file vers des sommets… ou des pièges ?
Tandis que les cryptos redessinent l’équilibre financier mondial, l’administration Trump dévoile sa riposte stratégique. Un rapport attendu du President’s Working Group on Digital Assets pose les fondations d’un cadre pro crypto assumé : innovation encouragée, encadrement renforcé. Ce plan ambitieux vise à propulser les États-Unis en tête de la course technologique tout en affirmant leur souveraineté économique face à la montée en puissance d’acteurs rivaux.
Pendant que Trump enterre le dollar numérique, Pékin installe le sien sur tous les continents. Un clic, un yuan, et la finance tremble. Les États-Unis regardent… en grinçant des dents.
Mark Carney, une victoire politique et économique pour le Canada, mais attention ! Il prépare peut-être l'enterrement des cryptos pour accueillir en grand les CBDC. Bitcoin, prépare-toi à plier bagage.
Une vidéo virale sur TikTok affirme qu’une loi interdisant l’argent liquide aurait été adoptée en France. En quelques jours, cette séquence a ravivé les angoisses autour de la fin du cash et d’une société entièrement numérisée. Pourtant, cette affirmation est fausse, car aucun texte de loi ne confirme une telle interdiction. Derrière ce récit trompeur, un sujet bien réel mérite l’attention : le projet d’euro numérique porté par la BCE, qui vise à compléter les espèces, et non à les faire disparaître.
L’euro numérique, future monnaie digitale émise par la Banque centrale européenne, s’apprête à transformer profondément le paysage monétaire européen. Selon la BCE, cette CBDC pourrait remplacer jusqu’à 50 % des billets en circulation et impacter significativement les dépôts bancaires ! Marquant ainsi un tournant stratégique pour l’Europe face aux actifs numériques.
Les monnaies numériques des banques centrales réduiraient à néant toute vie privée, mais peu semblent s’en inquiéter. Heureusement qu'il y aura toujours le bitcoin.
La présidente de la banque centrale russe s’est ridiculisée en tentant de serrer la bride au bitcoin.
Christine Lagarde a confirmé le lancement prévu de l'euro numérique pour octobre 2025, sous réserve de l'approbation des instances européennes. Cette initiative s'inscrit dans un contexte où une récente enquête révèle pourtant un désintérêt marqué des Européens pour cette monnaie numérique de banque centrale.
Le membre du Congrès américain Tom Emmer a récemment réaffirmé son soutien aux stablecoins et son opposition farouche aux monnaies numériques de banque centrale (CBDC), qu’il considère comme une menace pour la liberté financière des citoyens. Lors d’une récente intervention ce 11 mars 2025, Emmer a présenté à nouveau son projet de loi pro-stablecoins visant à promouvoir ces actifs numériques tout en freinant le développement des CBDC aux États-Unis.
Alors que les États-Unis embrassent le bitcoin, l'Europe s'embourbe en continuant de mettre en avant la dystopique de l'euro numérique.
Le programme crypto de Donald Trump pourrait avoir des répercussions significatives sur l'accélération du développement de l'Euro numérique, d'après Piero Cipollone, membre de la Banque Centrale Européenne (BCE). Ce dernier exprime l'espoir que le Parlement et le Conseil de l'Union européenne parviennent à finaliser les discussions sur la législation encadrant l'euro numérique d'ici l'été 2025.
Le Sénat américain a validé, le 27 janvier, la nomination de Scott Bessent, un gestionnaire de fonds spéculatifs et fervent défenseur des cryptomonnaies, au poste stratégique de secrétaire au Trésor. Ce choix, soutenu par Donald Trump, marque un tournant potentiel dans la politique économique et crypto des États-Unis.
L'interdiction des monnaies numériques de banque centrale (MNBC ou CBDC) aux États-Unis par Donald Trump bouleverse la dynamique mondiale des projets de devises numériques étatiques. Cette décision historique soulève des questions sur l'avenir des CBDC, particulièrement en Europe où la BCE maintient son cap vers l'euro numérique.
Shaktikanta Das, gouverneur sortant de la Banque de réserve de l'Inde (RBI), a exprimé son optimisme quant à l'avenir des CBDC dans l'économie indienne, affirmant que la roupie numérique pourrait remplacer définitivement l'économie basée sur le papier.
Les traders de crypto en Inde évoluent dans un climat d’incertitude constant. Tantôt, le gouvernement promet une régulation ouvrant la voie à un cadre légal stable, tantôt, il fait planer la menace d’une répression sur le bitcoin et les autres crypto-actifs. Cette instabilité tient les utilisateurs crypto en haleine. Pourtant, malgré des taxes jugées décourageantes, l’Inde affiche une adoption crypto impressionnante, poussée par sa jeunesse et ses avancées technologiques.
MiCA en mode chef d’orchestre : deux stablecoins débarquent en Europe, mais les banques jouent une partition risquée.
La blockchain de paiement international mBridge chapeautée par la banque des règlements internationaux semble avoir du plomb dans l’aile. Bonne nouvelle pour le bitcoin.
L'introduction de l'euro numérique provoque une confrontation majeure entre la Banque Centrale Européenne et les États membres de l'UE. Au cœur de cette bataille : le contrôle d'un nouvel instrument monétaire qui pourrait bouleverser l'équilibre des pouvoirs financiers en Europe. Neuf pays, dont la France et l'Allemagne, s'opposent déjà ouvertement aux ambitions de Francfort.
Dans une prise de position marquante, les principaux régulateurs et institutions indiennes consultés par le gouvernement préconisent l'interdiction des cryptos privées comme Bitcoin et Ether, privilégiant la monnaie numérique de la Banque centrale (CBDC).
La BCE mord le Bitcoin : un rapport mordant, des critiques écorchées et une guerre d'intérêts bien sentie en coulisses.
Quand 134 pays jouent aux apprentis sorciers avec les CBDC, c’est 98 % de l’économie mondiale qui entre en zone de turbulences numériques.
Le déclin du cash et des DAB en France ouvre la voie aux cryptos, malgré les ambitions de la BCE avec l’euro numérique.
Le président russe s’intéresse de près à tous les systèmes de paiement alternatifs. CBDC et Bitcoin compris.
Le système monétaire international est en ébullition. Les BRICS multiplient les pistes avec plus ou moins de succès.
La Banque centrale européenne (BCE) a récemment publié un rapport crucial sur le développement de sa monnaie numérique de banque centrale (CBDC). Ce premier rapport d'étape, dévoilé le 24 juin, met un accent particulier sur la protection des données, un sujet sensible au cœur des préoccupations des consommateurs et des experts du secteur. En promettant la pseudonymisation et des audits indépendants, la BCE tente de rassurer et d'anticiper les craintes liées à la traçabilité des transactions.