Dans le tourbillon des tensions sino-américaines, les ETF Bitcoin perdent 1,14 milliard de dollars en deux semaines, victime d’un cataclysme géopolitique, entre menaces de tarifs et l’incertitude des marchés.
Dans le tourbillon des tensions sino-américaines, les ETF Bitcoin perdent 1,14 milliard de dollars en deux semaines, victime d’un cataclysme géopolitique, entre menaces de tarifs et l’incertitude des marchés.
Dans un contexte géopolitique déjà marqué par des tensions économiques croissantes, Donald Trump a ravivé les hostilités commerciales et s’attaque à nouveau au BRICS. Le président américain a qualifié l’alliance économique de « morte » et a menacé de frapper ses membres avec une taxe de 100 % sur leurs exportations vers les États-Unis s’ils persistaient à remettre en cause la suprématie du dollar. Cette déclaration a immédiatement provoqué une réaction diplomatique de la Chine, qui a dénoncé un protectionnisme destructeur et affirmé son engagement à renforcer la coopération entre les économies émergentes.
Comme un cow-boy dégainant son six-coups, Trump dégaine les tarifs réciproques, réveillant d’anciens fantômes économiques et semant la panique du Bitcoin aux places boursières.
Les relations sino-américaines continuent de se dégrader, poussant la Chine à renforcer ses liens avec l’Union européenne. Lin Jian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a déclaré que Pékin considère l’Europe comme un « partenaire stratégique global et un pilier important et indépendant dans un monde multipolaire ».
Pendant que Google noie l’IA sous une pluie de dollars, un petit génie chinois bidouille dans son garage et fait trembler la Silicon Valley. Effet papillon ou tempête à venir ?
Dans un virage inédit pour la politique économique américaine, Donald Trump a signé un décret présidentiel qui crée un fonds souverain national, une initiative sans précédent aux États-Unis. Cet instrument financier viserait à stimuler la croissance économique, à financer des infrastructures stratégiques et potentiellement à permettre le rachat de TikTok. La plateforme, dans le viseur de Washington pour des raisons de sécurité nationale, doit impérativement se séparer de ses actionnaires chinois pour poursuivre ses activités sur le sol américain. Grâce à son inspiration des modèles de fonds souverains de la Chine, de la Norvège ou encore de Singapour, l’administration Trump espère réduire la dépendance des États-Unis aux emprunts et renforcer son influence économique mondiale. Toutefois, la mise en place d’un tel mécanisme déclenche de nombreuses interrogations : comment un pays qui accumule un déficit budgétaire massif pourrait-il financer un tel projet ? Quelles seraient les implications géopolitiques d’une intervention directe dans une entreprise technologique d’envergure mondiale ? Entre ambition économique et enjeux diplomatiques, ce fonds souverain constitue un changement majeur qui pourrait redéfinir le rôle de l’État américain sur la scène internationale.
Donald Trump dévoile sa stratégie radicale pour contrer les ambitions monétaires des BRICS. Face à leur projet de monnaie commune, il menace d'imposer des tarifs douaniers de 100% contre tout pays qui l'adopterait. Cette approche musclée masque des négociations secrètes qui pourraient redessiner l'ordre monétaire mondial.
Les États-Unis ravivent les tensions commerciales avec leurs principaux partenaires économiques. Donald Trump vient d’annoncer de nouvelles taxes massives sur les importations en provenance du Canada, du Mexique et de la Chine, et relance une politique protectionniste agressive. Présentée comme une réponse à la lutte contre le trafic de fentanyl et l’immigration illégale, cette décision s’intègre surtout dans une stratégie plus large qui vise à renégocier les accords commerciaux nord-américains et à protéger l’industrie américaine face à la concurrence chinoise. Cette escalade a immédiatement provoqué une réaction virulente des pays visés, qui préparent déjà des mesures de rétorsion, ce qui laisse présager un nouveau bras de fer économique aux conséquences encore incertaines.
L'IA chinoise DeepSeek a provoqué un séisme au sein la tech américaine. Les rapports de force géopolitiques viennent de changer.
Quand DeepSeek aspire les neurones d’OpenAI, Microsoft crie au hold-up, et la marine US barricade ses serveurs. La guerre froide numérique bat son plein.
L’univers des cryptos, connu pour son effervescence et ses avancées technologiques, se retrouve une fois de plus confronté à une vague d’escroqueries sophistiquées. Actuellement, l’ascension rapide de DeepSeek AI, une application d’intelligence artificielle chinoise devenue virale après son lancement le 20 janvier, constitue un virage. Cette popularité, qui a propulsé l’application en tête des téléchargements sur l’App Store, a également éveillé l’intérêt de fraudeurs. En l’espace de 24 heures, pas moins de 75 tokens frauduleux ont été créés, et qui exploitent la notoriété de DeepSeek pour cibler des investisseurs peu avertis. Ce phénomène illustre la rapidité avec laquelle les escrocs adaptent leurs méthodes pour tirer parti des tendances technologiques émergentes.
Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier 2025 marque une rupture historique dans la politique américaine. En moins d'une semaine, le président a signé 78 décrets touchant des domaines aussi variés que la politique intérieure ou l'aide internationale.
Le monde de l’intelligence artificielle est en pleine effervescence avec l’arrivée de DeepSeek R1, un modèle open source révolutionnaire développé en Chine. Ce projet audacieux bouscule la domination des leaders établis comme OpenAI, grâce à des performances techniques remarquables et une accessibilité inédite. En effet, contrairement aux modèles propriétaires, DeepSeek R1 mise sur l’ouverture totale de son code et réduit les coûts d’utilisation à une fraction de ceux proposés par ses concurrents. Alors que la frontière entre innovation fermée et solutions open source s’efface, cette avancée provoque de nombreuses interrogations : marque-t-elle une démocratisation durable de l’IA ou un bouleversement des équilibres économiques du secteur ?
Les décisions des gouvernements sur les cryptos ont souvent des impacts majeurs sur les marchés, mais l’ampleur de l’action récente de la Chine constitue un virage majeur. Pékin a procédé à la vente de 194 000 bitcoins, saisis en 2019 lors du démantèlement du réseau PlusToken, un des plus grands schémas de Ponzi de l’histoire des cryptos. Évaluée à près de 19,7 milliards de dollars, cette liquidation massive déclenche des interrogations sur ses implications économiques, et illustre la complexité croissante des relations entre les États et les cryptos. Alors que le bitcoin continue de s’imposer comme une réserve de valeur mondiale, ce geste de la Chine souligne le rôle stratégique que les gouvernements peuvent jouer dans l’évolution de cet écosystème en pleine mutation.
« America First » rugit Trump, martelant taxes et forages comme une rengaine. Le Green New Deal expire, l’économie tremble, l’euro s’interroge.
La danse s’arrête pour les TikTokeurs américains. Entre menaces chinoises et pirouettes politiques, TikTok fait le grand écart. Trump promet, mais ByteDance résiste. Le suspense continue.
Les semi-conducteurs sont devenus un pilier essentiel de l’économie mondiale et de la sécurité technologique. Dans ce contexte, la Chine a annoncé un investissement inédit de 37 milliards d’euros pour accélérer son autonomie technologique, jusque-là entravée par la domination de l’Europe et des États-Unis. Ce secteur stratégique, incarné par des acteurs comme ASML, leader mondial des équipements de photolithographie, se retrouve désormais au cœur d’une compétition féroce. Pékin ne cherche pas seulement à combler son retard, mais à redéfinir l’équilibre des forces en vue de viser une indépendance complète. Cette initiative pourrait redessiner les contours de l’innovation mondiale et intensifier les tensions sur un marché déjà sous haute pression.
Le projet des BRICS de créer une monnaie commune provoque un intérêt croissant parmi les économistes et analystes, tant il pourrait redéfinir les équilibres financiers mondiaux. Depuis des décennies, le dollar américain domine en tant que principale devise de réserve, ce qui assure aux États-Unis un pouvoir économique et géopolitique considérable. Lors de leur sommet en 2024 à Kazan, en Russie, les dirigeants des BRICS ont intensifié leurs discussions sur la mise en place d’une alternative baptisée « Unit », conçue pour faciliter les échanges au sein du bloc. Ce projet s’intègre dans une stratégie plus large qui vise à réduire leur dépendance au dollar, dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes et de sanctions économiques. À l’heure où de nombreux pays cherchent à diversifier leurs réserves et à contourner les contraintes imposées par le système monétaire actuel, cette initiative peut-elle véritablement ébranler la suprématie du dollar ?
Les relations économiques mondiales évoluent sous l’effet des tensions géopolitiques et des repositionnements stratégiques des grandes puissances. Dans ce contexte, la Chine et la Russie consolident leur partenariat commercial, qui atteint un record historique de 240 milliards d’euros en 2024. Cet essor illustre un rapprochement stratégique renforcé par les sanctions occidentales contre Moscou et la volonté de Pékin d’étendre son influence. Plus qu’une simple alliance économique, cette coopération envoie un signal clair aux États-Unis et à l’Union européenne, qui cherchent à limiter leur ascendant sur la scène mondiale. Ainsi, l’essor des flux commerciaux, l’usage accru du yuan dans les transactions et la restructuration des circuits financiers internationaux posent désormais la question des conséquences à long terme de cette entente sino-russe.
ByteDance contraint de vendre TikTok US ? Elon Musk se positionnerait-il pour un rachat à 50 milliards ? Décryptage.
Le paysage économique mondial, longtemps dominé par les puissances occidentales et soutenu par la prééminence du dollar, semble à l’aube d’un changement. Face à un système financier centralisé autour des États-Unis et de l’Europe, de nombreuses nations expriment une volonté croissante de se tourner vers des alternatives. Cette tendance s’accélère avec l’annonce récente : plus de vingt pays, issus de plusieurs continents, ont officiellement déposé leur candidature pour rejoindre les BRICS en 2025. Si ce projet aboutit, l’élargissement du bloc formé pourrait renforcer son poids économique, mais également redéfinir l’équilibre des pouvoirs à l’échelle mondiale.
L’économie chinoise vacille entre stagnation et déclin, ce qui révèle des failles structurelles durables. En décembre, l’indice des prix à la consommation n’a progressé que de 0,1 % sur un an, ce qui confirme une pression déflationniste qui s’intensifie malgré les tentatives répétées du gouvernement pour relancer la croissance. La chute des prix des denrées alimentaires (-0,5 %) et des biens de consommation (-0,2 %) illustre le manque de dynamisme de la demande intérieure, alors que les ménages restent prudents et que les entreprises hésitent à investir. Ainsi, la crise immobilière, couplée à l’inefficacité des précédentes mesures de relance, alimente les incertitudes. Ce ralentissement va au-delà d’une phase conjoncturelle. Il remet en question la résilience du modèle économique chinois et ses perspectives à court terme.
Malgré les restrictions réglementaires, l'Asie s'impose comme l'épicentre mondial des cryptos, captant 60% des utilisateurs à l'échelle internationale. Une étude récente de Foresight Ventures et Primitive révèle que le continent asiatique génère la plus grande part de la liquidité mondiale, avec cinq pays asiatiques figurant dans le top 10 de l'indice mondial d'adoption crypto en 2024.
Le yuan titube, l’empire du Milieu vacille. L’ombre de Trump, armée de taxes, plane et ravive les vieux démons économiques.
Quelques déclarations suffisent à faire vaciller les marchés, et Donald Trump l’a une nouvelle fois démontré. Un article du Washington Post a laissé entendre que son équipe explorait une approche plus nuancée en matière de politique tarifaire. Cette seule hypothèse a suffi à propulser les indices boursiers vers le haut, avec les investisseurs qui parient sur un assouplissement des tensions commerciales. Pourtant, l’ancien président n’a pas tardé à réagir. Dans un message publié sur les réseaux sociaux, il a fermement démenti ces informations, et dénonce une énième tentative de manipulation médiatique. Ce revirement brutal a déclenché une onde de choc sur les places financières.
Les jeunes taïwanais profitent de la vie comme si de rien n'était. Pourtant, la menace d'une invasion chinoise n'a jamais été aussi présente. Et lorsque le Parti Communiste Chinois lancera l'offensive, nous basculerons officiellement dans une 3e guerre mondiale.
Les marchés financiers sont à l’aube d’un nouveau cycle d’assouplissement monétaire, marqué par des décisions stratégiques des grandes banques centrales. Après la Réserve fédérale américaine, qui a amorcé une réduction de ses taux directeurs en septembre dernier, c’est désormais la Banque populaire de Chine (PBOC) qui s’apprête à prendre le relais. Pékin prévoit une nouvelle baisse de ses taux d’intérêt afin de stimuler l’économie et de contrer la déflation accrue du yuan, un phénomène qui inquiète les autorités chinoises et pèse sur la confiance des investisseurs. Face à cette situation, Arthur Hayes, cofondateur de BitMEX et analyste macroéconomique, anticipe une réaction en chaîne sur les marchés financiers. Il affirme que la combinaison d’une politique monétaire plus souple en Chine et d’un environnement favorable aux États-Unis renforcera l’attrait des actifs alternatifs, en particulier le bitcoin et les cryptos. Selon lui, cette injection de liquidités, associée à une réorientation des capitaux institutionnels, pourrait déclencher un rallye massif sur le marché des cryptos au cours de cette année 2025.
Le centre de gravité de l’économie mondiale bascule progressivement vers de nouvelles alliances. Face à l’essoufflement des institutions occidentales, un autre bloc consolide son influence. Depuis le 1er janvier 2025, les BRICS ont franchi une nouvelle étape à travers l’accueil de neuf États partenaires. Cette expansion, décidée lors du sommet de Kazan en octobre 2024, renforce leur poids politique et économique, et élargit leur emprise sur les marchés émergents. Désormais, l’organisation regroupe 51 % de la population mondiale et génère 40,4 % du PIB global en parité de pouvoir d’achat.
Crypto et frontières sous tension : Pékin renforce ses filets. Identités traquées, fonds interrogés, les banques deviennent gardiennes d’un jeu désormais verrouillé.
Le monde numérique est devenu le nouvel espace de confrontation entre les puissances internationales, où chaque attaque peut avoir des répercussions profondes et durables. Il y a peu, une cyberattaque majeure a frappé les systèmes du Trésor américain, ce qui révèle la vulnérabilité des infrastructures technologiques d’un État pourtant réputé pour ses capacités défensives. Cet incident s’insère dans un contexte de rivalité intense entre les États-Unis et la Chine, alors que Washington accuse des hackers présumés soutenus par Pékin d’être à l’origine de l’intrusion. De son côté, la Chine rejette fermement ces accusations, qualifie ces affirmations d’infondées et dénonce une campagne de diffamation orchestrée par les autorités américaines. Plus qu’un simple fait divers numérique, cette affaire renseigne sur les tensions géopolitiques croissantes autour de la cybersécurité et la difficulté d’identifier les responsables dans un monde toujours plus interconnecté.