L’économie risque un séisme commercial : les droits de douane suspendus pourraient entrer en vigueur en août. Les détails ici !
L’économie risque un séisme commercial : les droits de douane suspendus pourraient entrer en vigueur en août. Les détails ici !
Sous prétexte de stablecoins à Hong Kong, Pékin lance ses pions. Crypto au menu, contrôle en dessert ? JD et Ant déroulent le tapis numérique, mais gare aux ficelles invisibles.
Rio s’apprête à accueillir un sommet des BRICS sous haute tension, marqué par deux absences historiques : Xi Jinping et Vladimir Poutine. Le président chinois se retire pour la première fois depuis 2013, tandis que son homologue russe reste au Kremlin, visé par un mandat d’arrêt de la CPI. À l’heure où le bloc veut s’affirmer face au dollar et renforcer son influence, ces désistements fragilisent l’unité du groupe et déclenchent des doutes sur sa trajectoire géopolitique.
Le dollar peut-il perdre sa suprématie mondiale ? Ce qui relevait hier de la spéculation prend aujourd’hui une tournure diplomatique concrète. À l’approche du sommet des BRICS à Rio, les grandes économies émergentes placent les transactions en monnaies locales au cœur de leur stratégie. Ce virage s’insère dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes et de revendications du Sud global pour un système financier plus équilibré. Derrière cette dynamique se dessine une redéfinition possible des règles du commerce mondial.
Le centre de gravité économique bascule vers le Sud, et Pékin comme Moscou veulent en dicter le tempo. En amont du sommet BRICS à Rio, Vladimir Poutine et Xi Jinping officialisent une initiative inédite : une plateforme d’investissement commune dédiée aux pays du Sud global. Pensée comme un levier d’influence et d’émancipation vis-à-vis des circuits dominés par l’Occident, cette annonce marque une étape clé dans la construction d’un ordre financier alternatif piloté par les puissances émergentes.
Symbole d’un bras de fer sino-américain, TikTok cristallise une nouvelle fois les tensions entre souveraineté numérique et guerre commerciale. Avec 170 millions d’utilisateurs aux États-Unis, l’application de ByteDance fait face à une troisième échéance repoussée par Donald Trump. En prolongeant le délai de cession, le président relance un dossier explosif où s’entremêlent pression géopolitique, enjeux technologiques et bataille juridique. TikTok reste au cœur d’une lutte stratégique, à la croisée des intérêts économiques et des préoccupations de sécurité nationale.
Pendant que Trump enterre le dollar numérique, Pékin installe le sien sur tous les continents. Un clic, un yuan, et la finance tremble. Les États-Unis regardent… en grinçant des dents.
Tandis que les frappes israéliennes visent les sites sensibles iraniens et que Téhéran répond par des missiles sur Tel-Aviv, l’escalade militaire redéfinit les équilibres au Moyen-Orient. Cependant, une absence stratégique intrigue : celle des BRICS. Nouvel arrivant dans le bloc, l’Iran misait sur un appui solide face à son ennemi juré. Or ni Moscou, ni Pékin, ni New Delhi ne s’engagent. Ce silence met à nu les limites d’une alliance que Téhéran voyait comme un contrepoids à l’hégémonie occidentale.
Dans le tumulte des recompositions commerciales mondiales, Pékin avance ses pions. La Chine annonce la suppression totale des droits de douane sur les exportations venues de 53 pays africains, élargissant un accès préférentiel à son marché. Derrière le geste, une offensive diplomatique ciblée alors que Washington, sous l’égide de Donald Trump, réactive les leviers protectionnistes face au continent. L’Afrique, longtemps périphérique dans les arbitrages géoéconomiques, devient l’épicentre d’un affrontement d’influences où se croisent ambitions industrielles, alliances stratégiques et récits de souveraineté.
Un basculement discret, mais massif redéfinit les équilibres monétaires mondiaux. En effet, plus de 90 pays, portés par les BRICS, abandonnent le dollar dans leurs échanges internationaux. À sa place, le yuan, le rouble ou la roupie s’imposent progressivement. Ce réalignement stratégique, loin d’un simple ajustement technique, remet en cause l’ordre financier bâti autour des États-Unis depuis l’après-guerre. Une volonté assumée de souveraineté économique et une contestation directe de l’hégémonie américaine sur les flux mondiaux sont à l’origine de ce mouvement.
Dans un contexte économique où chaque tension commerciale pèse sur les marchés mondiaux, Washington a choisi la fermeté. Ce 11 juin, Howard Lutnick, secrétaire au Commerce, a écarté toute baisse des tarifs douaniers imposés à la Chine. Une annonce sans ambiguïté, malgré un accord annoncé comme « conclu » par les deux capitales. Ce statu quo tarifaire renforce l’incertitude sur les chaînes d’approvisionnement mondiales et envoie un signal clair : l’heure n’est pas à l’apaisement, même sur fond de dialogue diplomatique.
L’économie mondiale s’apprête à connaître sa décennie la plus morose depuis les années 1960. Cette prévision pourrait bien redessiner les rapports de force économiques à l’échelle planétaire. L’alerte est donnée par la Banque mondiale, dont le dernier rapport, publié le 10 juin 2025, brosse un tableau sombre du futur proche, dans un contexte de tensions commerciales accrues et d’incertitudes politiques prolongées.
Tandis que Washington et Pékin ouvrent à nouveau un canal diplomatique à Londres, les tensions sur les terres rares et les semi-conducteurs menacent l’équilibre global. Face à la délégation chinoise, Washington affiche sa fermeté. Donald Trump, fidèle à son style, donne le ton : « la Chine n’est pas facile ». Derrière cette formule, une réalité se dessine : aucun des deux camps ne semble prêt à céder sur des enjeux aussi stratégiques qu’explosifs.
Dans un environnement marqué par l’incertitude et les tensions géopolitiques, la bourse chinoise fait preuve d’une résilience remarquable. Alors que les discussions commerciales entre les États-Unis et la Chine reprennent à Londres, les marchés boursiers de Hong Kong et de Chine continentale enregistrent un rebond significatif, porté par les secteurs technologique, pharmaceutique et des terres rares. Cette dynamique pourrait profondément influencer l’équilibre financier en Asie dans les prochains mois.
Et si l’un des plus vastes transferts de capitaux de l’histoire moderne était déjà en cours, loin des projecteurs ? Face à une montée des tensions géopolitiques et à l’essoufflement du modèle dollar-dépendant, les nations asiatiques, les BRICS en tête, amorcent un retrait d’environ 7 500 milliards de dollars d’actifs américains. Cette réorientation, fondée sur des choix stratégiques et des données concrètes, remet en cause les fondations financières occidentales et annonce une recomposition silencieuse, mais décisive de l’ordre monétaire mondial.
Pas vu Trump, mais ses émissaires pro-bitcoin ont claironné à Vegas : l’Amérique veut miner, réguler et dominer le crypto-monde, pendant que Pékin, lui, serre la vis.
IA : Nvidia sort une puce à 6 500 $ pour contourner les sanctions US et rester présent en Chine. Les détails dans cet article !
On attend toujours ces jours heureux où il pleuvrait des dollars, au point de ne plus savoir comment les dépenser. Pourtant, Wall Street et les entreprises locales semblent en difficulté. Le patron de Nvidia, Jensen Huang, lance l’alerte. Les guerres technologiques et commerciales engagées sous Trump n’ont pas fini de faire des dégâts. Alors que certains signes de paix apparaissent après des discussions à Genève, les entreprises américaines subissent encore de lourdes pertes. Nvidia est en première ligne et questionne l’avenir d’une économie tournée vers l’IA.
Le fabricant d'imprimantes chinois Procolored aurait prétendument distribué des pilotes contaminés par un malware qui vole des Bitcoins. Cette information a été rapportée cette semaine par la presse du pays asiatique et indique que 9,3 BTC ont été volés. Le fabricant a déclaré qu'il avait supprimé les pilotes infectés, mais qu'ils avaient été envoyés pour un téléchargement mondial. Ce problème aurait été découvert grâce à l'insistance d'un YouTuber.
Tandis que les grandes puissances émergentes multiplient les appels à réduire leur dépendance au dollar américain, un acteur clé vient de claquer la porte à toute velléité de rupture : l’Inde. Dans un contexte international tendu, où les sanctions occidentales poussent certains pays à explorer des alternatives au système monétaire dominé par le billet vert, New Delhi choisit de jouer la carte de la stabilité. En affirmant qu’elle n’a « absolument aucun intérêt » à s'engager dans une dynamique de dédollarisation, l’Inde envoie un signal fort à ses partenaires au sein des BRICS et du Sud global.
Pékin fait les poches de l’oncle Sam, refile ses bons du Trésor, et murmure à l’économie mondiale : « Je t’aime… moi non plus ».
Addentax vise 800 millions de dollars en crypto pour renforcer son positionnement stratégique. On vous livre les détails dans cet article !
Trump lève (un peu) le pied sur les surtaxes douanières : l’économie respire, les analystes toussent, et Pékin ricane. 90 jours de trêve, ou 90 jours avant l’orage ?
C’est un paradoxe qui ferait froncer les sourcils aux économistes les plus aguerris : alors que le dollar vacille, l’économie asiatique, elle, se redresse avec une assurance presque insolente. À l’heure où la Réserve fédérale américaine temporise sur les taux d’intérêt, et où les tensions commerciales semblent s’assoupir sans vraiment se dissiper, l’Asie profite d’un souffle inattendu. Comme quoi, même dans le brouillard monétaire mondial, certains trouvent leur cap.
Quand Pékin et Washington se serrent la pince, Wall Street bondit, l’or se dégonfle, et le bitcoin, tel un phénix numérique, flambe sous l’effet des douanes en baisse.
Économie chinoise : les prix fondent, le peuple économise, Pékin bricole, les plats changent. Le dragon tousse, mais sort encore la carte mystère pour ne pas finir rôti.
Alors que la guerre commerciale sino-américaine semblait figée dans un jeu de représailles sans fin, un geste inattendu vient raviver l’espoir : Pékin accepte des pourparlers officiels avec Washington. Une première depuis des mois. Cette rencontre, bien plus qu’un simple échange diplomatique, cristallise les tensions profondes qui secouent le commerce mondial et l’économie des deux géants.
La Chine espérait redorer son blason économique à coups de gestes d’apaisement envers les États-Unis. Las, malgré une réduction partielle des droits de douane, les perspectives ne s’éclaircissent pas. L’économie chinoise vacille, prisonnière de sa propre inertie et d’une conjoncture mondiale glaciale.
Bourse : après une perte de 2,4 %, l’or rebondit avant la réunion de la FED. Une stratégie à suivre pour les investisseurs ? Décryptage.
L’industrie chinoise montre des signes de faiblesse. Pour la première fois en plus d’un an, l’activité manufacturière du pays s’est contractée, selon les derniers chiffres du Bureau national des statistiques. En effet, la nouvelle offensive tarifaire américaine relancée par Donald Trump, avec des droits de douane allant jusqu’à 145 %, commence par produire ses effets. À Wall Street comme à Pékin, l’inquiétude grimpe. Ce bras de fer commercial entre les deux puissances réveille les craintes d’un ralentissement global aux conséquences systémiques.