L’économie montre des signes de fragilité. Le dollar s’effondre et l’or grimpe à un record. Découvrez tous les détails dans cet article.
L’économie montre des signes de fragilité. Le dollar s’effondre et l’or grimpe à un record. Découvrez tous les détails dans cet article.
La Russie, un membre influent du bloc des BRICS, vient de franchir un cap monétaire historique : en février, plus de la moitié de ses importations ont été réglées en roubles. Cette avancée stratégique, confirmée par la Banque centrale, s’intègre dans une rupture nette avec le système dominé par le dollar. Tandis que les tensions avec l’Occident s’intensifient, Moscou réoriente ses échanges vers des partenaires jugés « amicaux », ce qui redéfinit ainsi les équilibres financiers globaux et accélère sa trajectoire vers une autonomie économique renforcée.
Tandis que les États-Unis durcissent leur arsenal tarifaire, le reste du monde s’organise. Ainsi, le bloc des BRICS attire les économies en quête d’indépendance stratégique. En rupture avec l’ordre monétaire établi, cette alliance redessine les circuits d’échange et fragilise l’emprise du dollar. Une bascule silencieuse, mais structurante se joue.
Alors que le dollar vacille sous les coups de boutoir des tensions commerciales et des doutes macroéconomiques, le bitcoin se profile en alternative audacieuse. Entre espoirs de rebond et incertitudes stratégiques, la cryptomonnaie murmure une promesse : celle de réécrire les règles de la valeur refuge. Et si 2024 marquait l’avènement d’un nouveau paradigme financier ?
Le ministre italien de l’économie et des finances, Giancarlo Giorgetti, a exprimé ses inquiétudes quant à la menace posée par les stablecoins américains, soulignant qu’ils pourraient représenter un danger plus grand que les tarifs douaniers de Donald Trump. Selon lui, ces cryptos adossées au dollar risquent de perturber la stabilité financière de l’Europe.
La récente imposition de droits de douane massifs par Donald Trump, suivie d'une pause inattendue sur certains produits chinois, a plongé les marchés financiers dans la tourmente. Tandis que certains y voient une stratégie délibérée de réorganisation de l'espace économique mondial, d'autres interprètent ce revirement comme une capitulation face à la pression des marchés et à l'intransigeance chinoise.
La volatilité d’avril sur les marchés financiers américains inquiète les investisseurs mondiaux. Depuis l’annonce surprise de nouveaux tarifs douaniers par Donald Trump le 2 avril, le S&P 500 a perdu 5,4 %. Mais ce sont surtout les signaux envoyés par le marché obligataire et le dollar qui suscitent des craintes d’un mouvement plus profond : un exode des actifs hors des États-Unis.
Dans un contexte géopolitique en pleine recomposition, deux initiatives marquantes ébranlent l’hégémonie du dollar. Le Brésil et la Chine actent un virage stratégique en privilégiant leurs monnaies nationales pour les échanges bilatéraux. De leur côté, la Russie et l’Iran annoncent la mise en chantier d’une nouvelle devise commune pour contourner les sanctions occidentales. Ces mouvements distincts, mais convergents, illustrent une volonté partagée des membres influents des BRICS : bâtir un système financier moins dépendant du billet vert et affirmer une souveraineté monétaire face aux pressions extérieures.
En une seule séance, l’euro s’est envolé de 2,15 % face au dollar, et a atteint 1,109 dollar, sa plus forte hausse depuis 2015. Ce sursaut brutal dépasse la mécanique des taux de change. Il signale une perte de confiance soudaine dans la devise américaine. À travers cette bascule, les marchés semblent réévaluer le rapport de force entre grandes monnaies, dans un contexte où les signaux macroéconomiques et les choix des banques centrales redessinent les lignes de fracture monétaire.
En ce début d’année sous haute tension géoéconomique, la dédollarisation s'impose comme un signal fort d’un basculement monétaire global. Longtemps reléguée au second plan du débat économique, cette dynamique s’intensifie à mesure que la confiance dans la stabilité des États-Unis s’érode. Cette part du dollar dans les réserves mondiales décline lentement mais sûrement, une évolution scrutée par les marchés et redoutée par les stratèges. Derrière ce repli, c’est l’ordre monétaire international qui pourrait entrer dans une phase de recomposition.
Tether, cette baleine des mers numériques, s’empare de 8 888 BTC, sa quête inébranlable pour l’élévation du dollar dans un monde fluctuant où seule la stabilité du Bitcoin brille.
Et si le dollar vacillait sous le poids de ses propres contradictions ? Larry Fink, PDG de BlackRock, géant mondial de la gestion d’actifs, lance un avertissement fracassant : le bitcoin pourrait supplanter la monnaie américaine comme étalon de référence mondial. Une prophétie qui, loin d’être isolée, s’inscrit dans un contexte de défiance croissante envers le billet vert. Entre endettement explosif des États-Unis et ascension fulgurante des cryptos, le paysage financier global vit une mutation.
Sous un ciel fiscal chargé, cryptos et actions vacillent. La « Libération » selon Trump ressemble à une tempête. Le vent tourne, et les espoirs s’étiolent, un tweet après l’autre.
La domination du dollar américain sur le commerce international et les réserves mondiales n’a jamais été autant remise en question. En effet, la Deutsche Bank tire la sonnette d’alarme sur un phénomène grandissant : la dédollarisation parmi les alliés des États-Unis. Face aux tensions géopolitiques et aux sanctions financières, plusieurs nations cherchent à réduire leur dépendance au billet vert. Si cette tendance s’accélère, l’impact pourrait être considérable, ce qui bouleverserait l’équilibre monétaire mondial et redéfinirait les rapports de force au sein du système financier international.
L’or n’est plus seulement une valeur refuge. Il est devenu un instrument de puissance économique. En 2024, les BRICS ont massivement accumulé le métal précieux, en vue d’anticiper un durcissement des politiques commerciales américaines. Un pari qui s’avère payant, car les nouvelles hausses tarifaires annoncées par Donald Trump ont déclenché une flambée historique du cours de l’or. Tandis que la guerre commerciale s’intensifie, le métal jaune s’impose comme l’arme monétaire des puissances émergentes face à la domination du dollar.
Tandis que la bourse titube, l’or danse sur les cendres des promesses commerciales. Trump souffle sur les braises, la Fed retient son souffle dans ce théâtre d’incertitude dorée.
La relance par l’assouplissement monétaire et le déficit public est de très bon augure pour le bitcoin qui reste en embuscade sous les 100 000 dollars.
Lors de sa récente intervention, Subrahmanyam Jaishankar a tenu à dissiper toute ambiguïté sur la position de l’Inde face au dollar : « il n’y a aucune politique de notre part qui vise à remplacer le dollar. À la fin de la journée, le dollar en tant que monnaie de réserve est une source de stabilité économique internationale ».
Depuis plusieurs semaines, l'indice du dollar américain (DXY) chute significativement, mais contrairement aux attentes des investisseurs, le bitcoin n'affiche pas la croissance parabolique habituellement associée à ce phénomène. Cet article analyse les causes de cette anomalie et ses implications potentielles.
Depuis des décennies, le dollar américain domine le commerce international et s’impose comme une réserve mondiale incontournable. Mais ce règne absolu est désormais remis en question par le bloc des BRICS. Ainsi, les tensions géopolitiques et l’essor des cryptos poussent plusieurs pays à chercher des alternatives au billet vert. Le bitcoin et les stablecoins émergent alors comme des instruments capables de contourner la suprématie du dollar, mais paradoxalement, ils pourraient aussi renforcer son influence.
L’ordre économique mondial vacille sous l’effet des décisions protectionnistes des États-Unis. Alors que les BRICS ambitionnent de réduire leur dépendance au dollar, un bouleversement majeur pourrait se profiler. Le retour en force des tarifs douaniers américains pourrait alimenter une hausse du billet vert, ce qui menacerait de fragiliser les économies émergentes et de freiner leurs efforts de dédollarisation. Cette montée en puissance potentielle du dollar, loin d’être anodine, pourrait marquer un tournant pour l’équilibre monétaire global.
Le bitcoin, souvent perçu comme un refuge face aux défaillances des monnaies traditionnelles, vit un paradoxe saisissant. Alors que le dollar américain s’effrite à un rythme inédit depuis 12 ans, la crypto-reine trébuche. Comment expliquer ce décrochage ? Derrière cette contradiction se cachent des mécanismes financiers obscurs, des indicateurs négligés et un bras de fer silencieux avec les banques centrales. Jamie Coutts, analyste chevronné chez Real Vision, lève le voile sur ce duel à haut risque.
Scott Bessent, secrétaire au Trésor américain, a annoncé hier, lors du sommet crypto de la Maison Blanche que Washington compte utiliser les stablecoins pour consolider la position du dollar comme monnaie de réserve dominante
L’économie mondiale fonctionne selon des cycles où les monnaies fiduciaires jouent un rôle capital dans la dynamique des marchés. En effet, l'affaiblissement du dollar américain, souvent perçu comme un indicateur de réajustement macroéconomique, semble cette fois ouvrir une fenêtre d’opportunité pour les cryptos. Selon Raoul Pal, analyste et PDG de Real Vision, la chute du dollar pourrait être le catalyseur d’un second trimestre 2025 particulièrement haussier pour le bitcoin et l’ensemble du marché crypto. Cet optimisme repose sur des données historiques et des tendances macroéconomiques bien établies. Mais alors, cette situation est-elle le signal d’un rallye durable ou simplement une réaction temporaire du marché ?
Le débat sur l’avenir des monnaies fiat et la montée en puissance des cryptos ne cesse de s’intensifier. Alors que les États-Unis font face à une inflation durable et à un endettement record, certains experts remettent en cause la viabilité du système financier traditionnel. Robert Kiyosaki, entrepreneur et auteur du best-seller « Père riche père pauvre », n’a jamais caché son scepticisme vis-à-vis du dollar américain. Il a une nouvelle fois relancé le débat et qualifie la devise américaine de « scam ». De plus, il affirme que Bitcoin représente l’avenir. Ses propos, bien qu’extrêmes pour certains, résonnent chez de nombreux investisseurs préoccupés par l’instabilité monétaire et la perte de pouvoir d’achat.
Dans un contexte géopolitique déjà marqué par des tensions économiques croissantes, Donald Trump a ravivé les hostilités commerciales et s’attaque à nouveau au BRICS. Le président américain a qualifié l’alliance économique de « morte » et a menacé de frapper ses membres avec une taxe de 100 % sur leurs exportations vers les États-Unis s’ils persistaient à remettre en cause la suprématie du dollar. Cette déclaration a immédiatement provoqué une réaction diplomatique de la Chine, qui a dénoncé un protectionnisme destructeur et affirmé son engagement à renforcer la coopération entre les économies émergentes.
La domination du dollar américain sur les échanges internationaux est plus que jamais contestée. Un bloc puissant, les BRICS, cherche activement à s’en affranchir par le développement d’une monnaie alternative. Face à cette offensive, Donald Trump, fidèle à son style, ne compte pas rester spectateur. Le président américain brandit la menace de sanctions économiques massives pour décourager toute tentative de saper l’hégémonie du billet vert. Mais, cette stratégie peut-elle vraiment inverser la tendance ou risque-t-elle d’accélérer la dynamique en cours ?
L’économie mondiale vacille entre incertitudes et crises successives, et certains analystes prédisent un avenir encore plus sombre. Parmi eux, Robert Kiyosaki, entrepreneur et auteur du best-seller « Père riche, père pauvre », multiplie les mises en garde. Il affirme qu’un effondrement économique majeur se profile à l’horizon, porté par un krach immobilier, une inflation galopante et un chômage de masse. Plus qu’une simple prédiction, son message est un appel à l’action : ceux qui ne se préparent pas risquent de voir leur patrimoine s’effondrer. Mais pour Kiyosaki, il existe des solutions, et parmi elles, une seule monnaie semble réellement en mesure de résister au chaos financier : le bitcoin.
Comme un cow-boy dégainant son six-coups, Trump dégaine les tarifs réciproques, réveillant d’anciens fantômes économiques et semant la panique du Bitcoin aux places boursières.
Les rumeurs sur une monnaie commune des BRICS reviennent régulièrement, et alimentent les spéculations sur un possible contrepoids au dollar. Alors que plusieurs nations cherchent à réduire leur dépendance au billet vert, l’hypothèse d’une devise partagée déclenche l’inquiétude des États-Unis. Donald Trump a d’ailleurs menacé d’imposer des sanctions aux pays qui envisageraient une alternative. Pourtant, le Kremlin vient de désamorcer le débat : aucun projet de ce type n’est en discussion. À la place, le bloc privilégie des plateformes d’investissement conjointes, ce qui laisse planer le doute sur sa véritable stratégie monétaire.