Les ETF crypto bloqués, Trump mis sur pause, et la SEC qui joue la montre : derrière les délais réglementaires, un drôle de ballet politique aux allures de poker réglementaire.
Les ETF crypto bloqués, Trump mis sur pause, et la SEC qui joue la montre : derrière les délais réglementaires, un drôle de ballet politique aux allures de poker réglementaire.
Le Département du Trésor américain ouvre une période de commentaires publics jusqu'au 17 octobre 2025 pour évaluer les technologies de pointe dans la lutte contre le blanchiment d'argent et l'évasion de sanctions. Cette démarche s'inscrit directement dans l'application du Genius Act, la législation historique signée par Donald Trump qui révolutionne l'encadrement des stablecoins. Mais quelles technologies scrutent réellement les autorités américaines ?
Quand l’Oncle Sam joue au vigile de la DeFi : il glisse fissa des identifiants biométriques dans les contrats crypto. La liberté en prend un coup… ou deux.
Dans un climat mondial sous haute tension, un nom inattendu s'impose dans les paris liés au Prix Nobel de la Paix : Donald Trump. En effet, donné favori sur les plateformes Polymarket et Kalshi, le président américain devance plusieurs figures historiques. Cette percée, portée par les dynamiques géopolitiques et relayée dans les cercles crypto, déclenche autant de spéculations que d’interrogations. Simple reflet d’un engouement stratégique ou indice d’un repositionnement international ?
Ce 14 août, des propos ambigus du secrétaire Scott Bessent ont déclenché un mini-krach, effaçant en quelques minutes des dizaines de milliards de dollars de capitalisation. Alors que les investisseurs redoutaient un renoncement officiel à toute acquisition de BTC, un rétropédalage publié sur la plateforme X quelques heures plus tard est venu semer encore plus de confusion sur la stratégie réelle des États-Unis.
World Liberty Financial (WLFI), la coentreprise crypto cofondée par Eric Trump et Donald Trump Jr., a fait un saut majeur sous les projecteurs. Mercredi, les frères ont participé à une cérémonie de sonnerie de cloche au Nasdaq à Times Square, célébrant un accord de jetons de 1,5 milliard de dollars qui pourrait propulser leur entreprise dans les rangs supérieurs de la finance décentralisée.
Bitcoin plonge sous les 120 000 $ suite aux déclarations de Scott Bessent. Que faut-il attendre du marché dans les prochains jours ?
Trump tire un trait sur l'achat de bitcoin par les États-Unis. Les Bitcoiners devront se contenter de saisies légales. Une décision qui fait dégringoler la crypto et laisse l'économie en suspens.
Les États-Unis prolongent de 90 jours la trêve tarifaire conclue avec la Chine. Le président américain a signé, le 11 août, un décret fixant la nouvelle échéance au 10 novembre. Les surtaxes en place sont maintenues. Cette mesure évite une hausse automatique des droits de douane et laisse un délai supplémentaire pour poursuivre les négociations.
À Washington, la politique crypto perd l’un de ses visages les plus en vue. Bo Hines, propulsé fin 2024 à la tête du Presidential Council of Advisers for Digital Assets, quitte ses fonctions après quelques mois seulement. Figure clé du dispositif voulu par l’administration Trump pour faire des États-Unis un pôle mondial de la blockchain, il part vers le secteur privé. Son départ pose une question centrale : la Maison Blanche saura-t-elle préserver l’élan imprimé à sa stratégie crypto ?
World Liberty Financial, soutenu par la famille Trump, prépare la création d’une société cotée au Nasdaq pour détenir ses jetons WLFI. Ce projet inspiré de la stratégie pionnière de MicroStrategy pourrait bien ouvrir un nouveau chapitre à la croisée de la politique, des marchés financiers et des cryptos.
Donald Trump frappe encore. Après avoir ouvert les retraites 401(k) aux actifs alternatifs comme le bitcoin, il nomme Stephen Miran, économiste pro-Bitcoin, au conseil de la Réserve fédérale. Un geste salué par le marché crypto, propulsant le BTC au-delà des 117 500 dollars.
Trump joue les Pygmalion du bitcoin en l'invitant dans les retraites US : un coup de vieux pour Wall Street, un coup de chaud pour les comptes épargne !
Trump équipe ses agents publics de ChatGPT à prix cassé. Officiellement pour l’efficacité. Officieusement pour garder la main sur l’IA... et les données ? Silence dans les rangs, l’algorithme bosse.
Donald Trump prévoit de signer un décret présidentiel pour protéger les entreprises crypto et autres entités visées par l’exclusion bancaire. Le texte ordonnera aux régulateurs d’enquêter sur les pratiques des banques et de sanctionner celles qui auraient enfreint la loi en fermant des comptes pour des raisons politiques
Alors que Donald Trump relance la guerre commerciale, la Suisse encaisse de plein fouet. Entre tensions diplomatiques et choc économique, l’équilibre européen vacille.
Trump rêve d’un eldorado crypto, la CFTC sprinte, la SEC suit… mais derrière les discours, qui encadre vraiment cette ruée numérique vers l’Ouest ? Suspense réglementaire garanti.
Les actions américaines ont subi un revers le 1er août, perdant 1,1 billion de dollars en valeur après que le président Donald Trump aurait limogé la responsable du Bureau of Labor Statistics, Erika McEntarfer. La décision est survenue quelques heures après un rapport décevant sur l'emploi en juillet.
L’équilibre déjà fragile de l’économie mondiale vient d’encaisser un nouveau coup. Le 1er août, Donald Trump a signé un décret imposant de lourds droits de douane à soixante-dix pays, avec une entrée en vigueur prévue le 7 août. Cette annonce a immédiatement ébranlé les marchés financiers, amplifiant les tensions sur fond d’instabilité globale. Derrière cette offensive commerciale se dessine une stratégie protectionniste affirmée, aux conséquences potentiellement massives pour le commerce international, les relations diplomatiques et la trajectoire économique des mois à venir.
Le Conseil de la Réserve fédérale est confronté à de nouvelles turbulences alors qu’Adriana D. Kugler démissionne en pleine période de tensions politiques. Son départ survient au moment où le président Donald Trump intensifie ses efforts pour influencer les décisions de la banque centrale.
Bitcoin a atteint un creux de trois semaines tôt vendredi alors que les investisseurs réagissaient à l'arrêté exécutif massif de Donald Trump sur les tarifs commerciaux, déclenchant une vente plus large à travers les actions et les marchés crypto.
Le bras de fer entre Donald Trump et la Réserve fédérale s’intensifie. Le président accuse l’institution de saboter la reprise économique en refusant d’abaisser les taux rapidement. À l’approche d’une réunion décisive et sur fond de tensions commerciales croissantes, la Fed est sous le feu des critiques. Dans un climat de plus en plus politisé, l’indépendance de la banque centrale est mise à l’épreuve, alors que les marchés scrutent ses moindres signaux à l’heure où la trajectoire économique des États-Unis reste incertaine.
Tandis que les cryptos redessinent l’équilibre financier mondial, l’administration Trump dévoile sa riposte stratégique. Un rapport attendu du President’s Working Group on Digital Assets pose les fondations d’un cadre pro crypto assumé : innovation encouragée, encadrement renforcé. Ce plan ambitieux vise à propulser les États-Unis en tête de la course technologique tout en affirmant leur souveraineté économique face à la montée en puissance d’acteurs rivaux.
L’Union européenne et Donald Trump viennent de conclure un accord historique, mais controversé. Objectif affiché : redéfinir les échanges transatlantiques. Mais derrière l’annonce officielle, c’est toute l’économie européenne qui tremble. Tous les détails dans les paragraphes qui suivent !
Trump veut lancer son ETF Bitcoin via Truth Social, la SEC hésite, et les démocrates hurlent : régulation ou bénédiction crypto pour un ex-président qui sait gonfler ses jetons ?
Face à la fragilisation du système monétaire mondial et à la domination contestée du dollar, les BRICS avancent discrètement, mais sûrement vers une alternative stratégique : une monnaie commune adossée à des infrastructures numériques souveraines. Portée par un bloc désormais élargi et économiquement influent, cette initiative vise à redessiner l’équilibre monétaire global. Tandis que l’instabilité des devises fiduciaires s’aggrave, l’émergence d’un tel projet interpelle marchés, institutions et observateurs : s’agit-il d’un signal fort vers un nouvel ordre économique multipolaire ?
Tandis que les lignes du commerce mondial se redessinent sous la pression géopolitique, Donald Trump abat ses cartes. Avant une rencontre en Écosse avec Ursula von der Leyen, le président américain prévient : aucun tarif douanier inférieur à 15 % ne sera accordé à l’Union européenne. Cette posture ferme, aux répercussions directes sur les flux transatlantiques, pourrait aussi impacter les filières stratégiques comme le numérique et la blockchain. Derrière cette manœuvre se profile un bras de fer économique entre deux visions opposées de la souveraineté commerciale.
Quand Trump joue au banquier central en lançant sa propre crypto, Warren sonne l’alarme : réguler, oui. Offrir un coffre-fort aux milliardaires, non. À suivre sous les dorures...
Face au relèvement des droits de douane décrété par Donald Trump, 30 % sur les importations européennes dès le 1er août, Bruxelles sort l’artillerie lourde. La Commission a validé une contre attaque tarifaire de 93 milliards d’euros, ciblant des secteurs stratégiques américains. Une escalade économique s’ouvre entre deux blocs majeurs, sur fond de tensions politiques et de fragilité des échanges mondiaux.
Bruxelles retient son souffle. À l’approche du 1ᵉʳ août, le différend commercial avec Washington glisse vers l’affrontement stratégique. Face à la menace d’une surtaxe de 30 % sur les importations européennes, Paris et Berlin exigent une riposte ferme. Leur objectif : pousser l’UE à activer, pour la première fois, l’instrument anti-coercition.