États-Unis

L’administration Trump vient de franchir une nouvelle étape dans la régulation et l’intégration des cryptos aux États-Unis. Le président Donald Trump a signé cette nuit un décret présidentiel qui établit une Réserve Stratégique de Bitcoin et un Stock d’Actifs Numériques, une initiative qui transforme l’approche américaine vis-à-vis des cryptomonnaies.

Le 5 mars 2025, une nouvelle d’envergure secoue le monde crypto : le secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick, a laissé entendre que l’administration Trump s’apprête à dévoiler une stratégie ambitieuse concernant une réserve uniquement de bitcoin. Cette annonce, prévue pour le sommet crypto inaugural à la Maison Blanche le 7 mars, marquera certainement un tournant potentiel dans la politique économique des États-Unis et leur approche des actifs numériques.

Au cœur d’un débat aussi vif que surprenant, l’univers crypto se trouve sous les feux des projecteurs. La révolution numérique et la liberté financière se heurtent aux impératifs de sécurité nationale. Cet article explore, avec audace et clarté, les enjeux liés aux règles favorables aux cryptos et les dérives potentielles d’un État de surveillance exacerbée.

L’affrontement économique entre les États-Unis et la Chine prend une nouvelle dimension. En effet, loin de se limiter aux échanges traditionnels, cette guerre commerciale affecte désormais le marché des cryptos. Ainsi, entre l’annonce de Donald Trump en ce qui concerne la création d’une réserve stratégique nationale de cryptos et la riposte chinoise aux sanctions économiques américaines, les investisseurs assistent à des mouvements de marché d’une rare intensité. La question se pose désormais : cette instabilité est-elle passagère ou faut-il s’attendre à un impact durable ?

La Bourse américaine vient de vivre un séisme financier. En quelques heures, 3 400 milliards de dollars se sont évaporés, effaçant d’un coup les gains post-électoraux. Un scénario catastrophe qui plonge Wall Street dans une torpeur inédite. Et dans le viseur ? Donald Trump, dont les nouvelles taxes douanières ont…

Alors que l’administration Trump resserre l’étau douanier, les cryptos tremblent. Entre euphorie éphémère et réalité économique brutale, le marché dévoile sa vulnérabilité face aux chocs géopolitiques. Une chute vertigineuse qui interroge : la crypto, véritable valeur refuge ou simple miroir des turbulences mondiales ?

Bourse : rebond spectaculaire des marchés. L’Europe tire son épingle du jeu tandis que Wall Street plonge ! Les détails dans cet article.

David Sacks, récemment nommé par Donald Trump comme « tsar » des cryptomonnaies et de l’intelligence artificielle, a confirmé avoir vendu tous ses actifs en crypto avant d’entrer en fonction. Cette décision vise à éviter tout conflit d'intérêt alors qu’il s’apprête à jouer un rôle clé dans la régulation technologique américaine.

Les tensions économiques entre les États-Unis et l’Union européenne atteignent un nouveau sommet. Donald Trump, fidèle à sa politique protectionniste, vient d’annoncer une hausse spectaculaire des taxes douanières sur les exportations européennes, portant leur niveau à 25 %. Une décision brutale qui dépasse largement les 10 % évoqués lors de sa campagne et qui place l’Europe dans une situation d’urgence diplomatique et économique. Les grandes puissances du Vieux Continent doivent désormais faire face à une menace qui pourrait redessiner les équilibres commerciaux mondiaux.

Au moment où la guerre en Ukraine entre dans une nouvelle phase d’incertitude, un accord majeur entre Washington et Kiev vient redessiner les contours du soutien occidental. Volodymyr Zelensky s’apprête à se rendre aux États-Unis ce vendredi 28 février 2025 après l’adoption d’un pacte qui prévoit l’accès américain aux terres rares ukrainiennes et la mise en place d’un fonds de reconstruction pour le pays. Ce compromis, qui mêle enjeux économiques et considérations militaires, marque une étape capitale dans la relation entre les deux nations. Les discussions, menées sous tension, ont finalement abouti à une entente qui pourrait jouer un rôle décisif dans l’avenir géopolitique de la région.

L’Oklahoma, pionnier de la révolution Bitcoin, franchit une étape cruciale en validant son projet de réserve stratégique. Mais l’enthousiasme est loin d’être partagé par tous les États. Une nouvelle guerre commence.

La politique étrangère des États-Unis pourrait connaître un virage majeur. Alors que les tensions diplomatiques entre Washington et Moscou n'ont cessé de s’intensifier ces dernières années, Donald Trump semble prêt à réécrire les règles du jeu. Le président américain, favori dans la course à la Maison-Blanche, envisage un rapprochement économique avec la Russie de Vladimir Poutine, en vue de rompre ainsi avec la stratégie de sanctions imposée sous Joe Biden. S'agit-il d'une manœuvre qui vise à fragiliser l’alliance des BRICS ?

Depuis des décennies, Fort Knox incarne la puissance économique des États-Unis. Pourtant, une question insidieuse persiste : et si ces réserves légendaires n’étaient qu’un mirage ? La plateforme de paris Polymarket jette de l’huile sur le feu : un contrat spécule à 21 % sur l’absence réelle de l’or. Entre silence officiel et théories foisonnantes, le doute s’installe.  

Le Bitcoin, roi vacillant, chute sous 90 000 $, pleuré par des ETF en cavale, noyé dans un milliard liquidé, sur fond de querelles sino-américaines burlesques.

Dans une quête folle pour sauver l’économie américaine, VanEck envisage le bitcoin comme remède miracle. Une réserve stratégique de crypto-monnaie pourrait-elle vraiment annuler 21 000 milliards de dette d’ici 2049 ?

Imaginez la scène : Elon Musk, lunettes noires et casquette MAGA vissée sur la tête, brandissant une tronçonneuse rouge sous les applaudissements d’un public conservateur. Derrière lui, Javier Milei, président argentin et figure de l’ultralibéralisme, arbore un sourire triomphant. Ce jeudi 20 février 2025, au CPAC de Washington, le symbole est violent, presque punk. La tronçonneuse, offerte par Milei à Musk, incarne bien plus qu’un gadget médiatique. Elle résume une guerre déclarée contre la bureaucratie, menée par deux iconoclastes déterminés à redéfinir les règles du pouvoir.  

Warren Buffett n’est pas un homme qui parle dans le vide. Lorsqu’il s’exprime, le monde de la finance écoute. À 94 ans, l’investisseur légendaire utilise sa lettre annuelle aux actionnaires pour adresser un message sans détour à Washington : les dérives budgétaires et l’instabilité monétaire menacent l’économie américaine. Ce signal d’alarme intervient alors que Berkshire Hathaway enregistre des performances financières spectaculaires, avec un bénéfice record et une trésorerie historique de 334,2 milliards de dollars. Ainsi, dans un marché où les opportunités d’investissement se raréfient, Buffett privilégie la prudence et se prépare à passer la main à son successeur désigné, Greg Abel.

L'idée d'un impôt sur le revenu a longtemps été un pilier de la politique fiscale des États-Unis. Pourtant, Donald Trump entend remettre en cause ce modèle et propose de le remplacer intégralement par un système de taxation des importations. Une étude menée par Dancing Numbers affirme que ce projet pourrait générer d’importantes économies pour les Américains, soit 134 809 dollars par individu, et jusqu’à 325 561 dollars en supprimant d’autres prélèvements sur les revenus du travail. Mais cette proposition, si elle devait se concrétiser, ne serait pas sans conséquence, tant pour les consommateurs que pour l'économie globale. Entre promesse de pouvoir d’achat accru et risques de tensions commerciales, cette réforme fiscale fait déjà débat.

L’économie américaine fait face à une dynamique qui pourrait bouleverser les équilibres en place : la demande pour les bons du Trésor à long terme faiblit, mettant en question la solidité du dollar et alimente de nouvelles incertitudes économiques. Alors que la Réserve fédérale reste engagée dans une politique monétaire délicate et que l’inflation peine à ralentir, le bitcoin se retrouve à un carrefour stratégique. Historiquement perçu comme un actif spéculatif, il voit aujourd’hui son statut évoluer à mesure que certains États américains envisagent de l’intégrer dans leurs réserves. La question centrale est donc la suivante : le bitcoin va-t-il subir les effets de cette incertitude ou en profiter pour s’affirmer comme un refuge alternatif ?

Michael Saylor propose une vision audacieuse : les États-Unis devraient acquérir 20 % des bitcoins en circulation. Lors d’un discours au CPAC, il a affirmé qu’une telle stratégie pourrait non seulement renforcer le dollar, mais aussi permettre de rembourser la dette nationale. Derrière cette ambition financière se joue une lutte géopolitique où chaque grande puissance cherche à s’imposer dans l’économie numérique de demain.

La gestion des finances publiques est un sujet sensible, surtout lorsqu’elle est portée par une figure aussi polarisante qu’Elon Musk. Depuis sa nomination à la tête du Département de l’efficacité gouvernementale (DOGE), l’entrepreneur promet une réduction drastique des dépenses fédérales pour éviter une « faillite des États-Unis ». Ainsi, il a annoncé avoir économisé 8 milliards de dollars grâce à l’annulation d’un contrat gouvernemental. Un chiffre spectaculaire, mais rapidement contesté par plusieurs médias : le contrat en question ne valait en réalité que 8 millions de dollars.

Sous la houlette d'Anonymous, le magnat Musk est mis à nu : crypto manipulations, écarts de pouvoir et des travailleurs sacrifiés, l’empire Tesla vacille face à la colère digitale.

Fort Knox, ce sanctuaire doré où l’Amérique cache ses réserves, est soudain sous les projecteurs. Donald Trump promet d’en percer les secrets. Les marchés de prédiction s’emballent : les paris sur un audit avant mai 2025 explosent à 70 %. Entre scepticisme et fièvre spéculative, une question taraude : que cachent vraiment les murs de ce bunker légendaire ?

Tandis que la Fed hésite entre prudence et action, l’inflation galope, et la crypto vacille, prête à une semaine de montagnes russes financières.

L’équilibre géopolitique mondial est en pleine mutation. La Russie, qui fut un temps membre du G8 avant son exclusion en 2014, adopte aujourd’hui une posture radicalement différente. Face à ce qu’elle considère comme un déclin d’influence des puissances occidentales, Moscou privilégie désormais les BRICS et le G20, au détriment d’un G7 jugé obsolète. Cette reconfiguration stratégique va au-delà d’un simple ajustement diplomatique, elle illustre un basculement plus large des dynamiques de pouvoir, où les économies émergentes gagnent du terrain face aux institutions dominées par l’Occident. À travers les déclarations de son ambassadeur au Canada, la Russie confirme son désengagement définitif du G7 et trace les contours d’un nouvel ordre international.

Bitcoin ne cesse de s’imposer. Cette fois, ce sont douze États américains qui font parler d’eux, avec un investissement colossal de 330 millions de dollars dans Strategy, anciennement MicroStrategy. Ce mouvement marque un tournant majeur dans l’intégration de la crypto dans les portefeuilles institutionnels.

Les régulations autour des stablecoins ne sont plus une menace lointaine pour les émetteurs de cryptos. Elles s’imposent désormais comme une réalité incontournable. Dans ce climat incertain, Tether, le leader du secteur avec une capitalisation qui dépasse 142 milliards de dollars, a choisi de ne pas rester spectateur. Plutôt que de s’opposer frontalement aux législateurs américains, l’entreprise cherche à peser dans le processus réglementaire. Un choix stratégique qui pourrait redéfinir l’avenir des stablecoins et de l’ensemble du marché crypto aux États-Unis.

Coinbase plane sur un avenir en or numérique : 10 000 milliards de dollars sur la blockchain et Washington en fer de lance. Armstrong prophète ou charlatan ?