Imaginez un président, bâtisseur de gratte-ciels et de scandales, frappant monnaie au gré des lois qu’il écrit. L’USD1 n’est pas qu’un stablecoin, c’est le ticket d’entrée vers une finance sans garde-fou.
Imaginez un président, bâtisseur de gratte-ciels et de scandales, frappant monnaie au gré des lois qu’il écrit. L’USD1 n’est pas qu’un stablecoin, c’est le ticket d’entrée vers une finance sans garde-fou.
BlackRock déploie son iShares Bitcoin ETP, pari audacieux sur un marché européen frileux. Le BTC s’imposera-t-il enfin face aux actifs traditionnels ?
Imaginez un monde où l’or retrouve sa couronne, non pas sous forme de lingots planqués dans un coffre, mais via des jetons numériques scintillants. Max Keiser, éternel trublion de la finance crypto, n’y va pas par quatre chemins. Selon lui, les stablecoins adossés à l’or pourraient bien faire mordre la poussière à ceux indexés sur le dollar et provoquer la fin de l’USD. Comment ?
Les Émirats arabes unis, désormais membres des BRICS, vont investir 1 400 milliards de dollars aux États-Unis sur dix ans. Annoncée après une rencontre avec Donald Trump, cette manœuvre redessine les équilibres globaux. Entre ambition technologique, calcul diplomatique et projection d’influence, Abu Dhabi bouscule les lignes d’un monde désormais structuré par des alliances économiques à géométrie variable.
Pendant un temps, Tornado Cash était le vilain petit canard de la blockchain. Accusé d’avoir brouillé les pistes de plusieurs milliards de dollars douteux, le fameux mixeur crypto s’était retrouvé sur la liste noire du Trésor américain. Mais surprise ce 21 mars : le couperet est tombé… à l’envers. Le gouvernement des États-Unis a tout bonnement levé les sanctions contre ce protocole. Coup de théâtre ? Peut-être. Signal de changement ? Carrément.
L’alignement des planètes continue. Alors que les États-Unis veulent accumuler « autant de bitcoins que possible », la masse monétaire globale grimpe à nouveau.
Tether surpasse le Canada et devient le 7e acheteur de bons du Trésor US. Quelles sont les conséquences pour le marché crypto ?
L’argent migre, silencieux et méthodique. Wall Street, naguère indétrônable, voit son trône vaciller sous les pas précipités des investisseurs, séduits par une Europe qui brille de mille milliards.
Accrochez vos ceintures et rangez vos cold wallets : Donald Trump débarque au Digital Asset Summit ce 20 mars ! Après avoir promis de faire des États-Unis la capitale mondiale des cryptos, il s’apprête à lâcher quelques bombes (verbales, bien sûr). Réglementation, adoption, bitcoin… À quoi doit-on s’attendre ?
Powell, gardien du seuil, sculpte l’instant. Taux figés, espoirs flous. L’économie vacille, suspendue entre le feu de l’inflation et la glace du ralentissement. Les marchés frissonnent.
Les tensions entre Washington et Bruxelles prennent un tournant inquiétant. Tandis que le commerce transatlantique représente un marché colossal de 9 500 milliards de dollars, les nouvelles taxes imposées par Donald Trump risquent de bouleverser un équilibre déjà fragile. Une guerre commerciale entre les deux puissances économiques pourrait entraîner une inflation des coûts de production, une baisse drastique des échanges et une instabilité croissante pour les entreprises.
L’administration Trump semble vouloir faire du bitcoin un atout stratégique pour les États-Unis. Lors du Digital Asset Summit 2025, Bo Hines a confirmé que le gouvernement cherchera à accumuler autant de BTC que possible, sans impacter les contribuables. Une annonce qui marque un tournant dans la politique crypto américaine.
Moscou ouvre la cage dorée : des milliards d’actifs russes enfin libérés, mais sous conditions. Un coup de maître avant un appel où Trump jouera l’illusionniste géopolitique.
Tesla, jadis star des routes, roule désormais vers l’abîme : en France, patrons outrés et flottes vidées signent l’acte de décès commercial du roi Musk.
Le sommet USA-Ukraine s'est tenu récemment à Riyad et a débouché sur des propositions de trêve plus ambitieuses que prévu. « La balle est désormais dans le camp de la Russie » est devenue l'élément de langage américain sur cette question. Pendant ce temps, l'Europe semble accélérer sa reprise en main militaire dans un contexte géopolitique de plus en plus tendu.
XRP, ce frondeur insoumis, s’élève des cendres pendant qu’Ethereum titube. La crypto-sphère retient son souffle : l’ordre établi vacille, et le trône des altcoins menace de changer de maître.
L’ombre d’une tempête économique plane, teintée d’un rouge vif et d’un pragmatisme imprévisible. La « Trumpcession » – ce néologisme qui sonne comme un avertissement – résume l’inquiétude grandissante face à une guerre commerciale aux conséquences imprévues. Entre relance et restriction, la Fed et la Banque d’Angleterre restent coincées entre des taux à ajuster et une inflation menaçante. Comment éviter l’effet domino ? La réponse exige plus qu’un manuel d’économie : une audace tactique.
Elon Musk voulait conquérir les étoiles, mais son empire vacille sur Terre. Tesla chute, Trump s’en mêle, et Wall Street observe, sceptique, ce grand numéro d’équilibriste.
Dans le bras de fer commercial entre les États-Unis et l’Union européenne, un nouvel épisode vient raviver les tensions. En effet, Donald Trump, fidèle à son approche protectionniste, brandit à nouveau la menace des droits de douane massifs, cette fois sur les vins et champagnes européens. L’annonce d’une taxe à 200 % sur ces produits fait suite à la décision de Bruxelles d’augmenter les tarifs douaniers sur le whisky américain à 50 %.
Les États-Unis s’apprêtent à accumuler des millions de bitcoins. Objectif : alléger le fardeau de la dette.
La Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis pourrait bientôt abandonner son initiative visant à obliger certaines entreprises crypto à s’enregistrer en tant que plateforme d’échange. Mark Uyeda, président par intérim de la SEC, a demandé aux équipes de l’institution d’explorer les moyens de renoncer à cette modification réglementaire.
L’UE défend son économie face aux nouvelles sanctions américaines. On vous livre tous les détails dans cet article.
Le membre du Congrès américain Tom Emmer a récemment réaffirmé son soutien aux stablecoins et son opposition farouche aux monnaies numériques de banque centrale (CBDC), qu’il considère comme une menace pour la liberté financière des citoyens. Lors d’une récente intervention ce 11 mars 2025, Emmer a présenté à nouveau son projet de loi pro-stablecoins visant à promouvoir ces actifs numériques tout en freinant le développement des CBDC aux États-Unis.
À l’heure où les cryptos redessinent les frontières de la finance, les États-Unis franchissent un pas historique. Le Bitcoin Act of 2025, déposé à la Chambre des représentants, propose de constituer une réserve stratégique d’un million de BTC sur deux décennies. Une manœuvre audacieuse, mêlant innovation financière et vision géopolitique. Loin d’être une simple accumulation d’actifs numériques, ce projet incarne un réalignement stratégique face à l’or numérique. Explications.
Le bitcoin, souvent perçu comme un refuge face aux défaillances des monnaies traditionnelles, vit un paradoxe saisissant. Alors que le dollar américain s’effrite à un rythme inédit depuis 12 ans, la crypto-reine trébuche. Comment expliquer ce décrochage ? Derrière cette contradiction se cachent des mécanismes financiers obscurs, des indicateurs négligés et un bras de fer silencieux avec les banques centrales. Jamie Coutts, analyste chevronné chez Real Vision, lève le voile sur ce duel à haut risque.
Populaire en paroles, oublié en actes : le bitcoin fascine mais ne convainc pas. 4 % des terriens y croient, les autres regardent, perplexes, cet or numérique sans lingots.
L’histoire financière des États-Unis pourrait bien être à l’aube d’un tournant majeur. Alors que la dette nationale atteint des sommets et que les tensions économiques se multiplient, un acteur clé du secteur crypto, Michael Saylor, propose une stratégie audacieuse : faire du bitcoin un actif stratégique national. Lors d’un sommet organisé à la Maison-Blanche, le fondateur de Strategy a plaidé en faveur d’un investissement massif du gouvernement américain dans le bitcoin, et a suggéré que les États-Unis devraient acquérir jusqu’à 25 % de l’offre totale d’ici 2035. Cette proposition, aussi ambitieuse que controversée, s’appuie sur une vision à long terme où le bitcoin deviendrait un pilier de la prospérité économique américaine. Face à cette annonce, la Maison-Blanche a déjà amorcé un premier pas par la signature d’un décret qui établit une réserve stratégique de bitcoin.
Une bourse européenne en pleine euphorie, des investisseurs aux anges, et Wall Street qui se demande où est passée sa couronne… L’histoire boursière s’écrit-elle désormais à l’européenne ?
L’économie américaine traverse une zone de turbulences. Entre une inflation accrue et un ralentissement marqué de la croissance, un spectre longtemps oublié refait surface : la stagflation. Ce phénomène, qui combine stagnation économique et hausse des prix, rappelle les crises des années 1970. Aujourd’hui, les nouvelles politiques tarifaires de Donald Trump ravivent les craintes d’un retour à cette époque où la croissance était à l’arrêt et où le pouvoir d’achat s’érodait à grande vitesse. La décision du président américain d’imposer de lourdes taxes sur les importations chinoises, mexicaines et canadiennes déclenche de nombreuses questions sur ses effets réels sur l’économie. Alors que la Réserve fédérale est poussée dans ses retranchements, les marchés vacillent et les entreprises s’inquiètent des répercussions sur leur rentabilité.
Les décisions politiques façonnent l’avenir des cryptos, et le sommet crypto organisé par l’administration Trump à la Maison Blanche le 7 mars en est une preuve éclatante. Cet événement, qui visait à établir une nouvelle posture des États-Unis face à l’industrie blockchain, a suscité des réactions mitigées. Tandis que certains observateurs y voient une reconnaissance institutionnelle du Bitcoin et un tournant stratégique, d’autres dénoncent un simple coup politique sans mesures concrètes. Cette rencontre, qui a coïncidé avec l’annonce de la création d’une réserve stratégique de bitcoin, a eu un impact immédiat sur les marchés, ce qui entraîné une chute de 7,3 % du BTC et des sorties massives des ETF Bitcoin. Alors, avancée réelle ou effet d’annonce ?