Coinbase plane sur un avenir en or numérique : 10 000 milliards de dollars sur la blockchain et Washington en fer de lance. Armstrong prophète ou charlatan ?
Coinbase plane sur un avenir en or numérique : 10 000 milliards de dollars sur la blockchain et Washington en fer de lance. Armstrong prophète ou charlatan ?
Comme un cow-boy dégainant son six-coups, Trump dégaine les tarifs réciproques, réveillant d’anciens fantômes économiques et semant la panique du Bitcoin aux places boursières.
Les BRICS continuent de redéfinir le paysage géopolitique mondial. Tandis que le groupe s’élargit et cherche à renforcer son influence, ses relations avec l’Occident se crispent. Dernier épisode en date : l’Iran, nouvel adhérent au bloc, vient de rejeter catégoriquement toute négociation avec les États-Unis. « Négocier avec l'Amérique ne résout aucun de nos problèmes », a déclaré Téhéran. Il s’agit d’un refus ferme de toute ouverture diplomatique avec Washington. Ce positionnement, bien plus qu’une simple déclaration politique, illustre une fracture croissante entre les BRICS et les puissances occidentales.
La prochaine publication des données sur l’inflation aux États-Unis pourrait être un facteur clé pour le prix du bitcoin. Selon un récent rapport de 10x Research, une baisse de l’Indice des Prix à la Consommation (IPC) pourrait déclencher un nouveau rallye haussier, rapprochant ainsi le BTC de ses sommets historiques.
Tether peut-il encore dormir tranquille ? L’USDC grimpe à 56,3 milliards $, balaye ses pertes et s’invite à la table des grands. Les stablecoins réinventent le cash… et la bataille fait rage.
Les symboles monétaires ne sont pas que de simples pièces, ils incarnent des époques, des valeurs et des habitudes ancrées dans la culture d’un pays. Pourtant, aux États-Unis, l’existence du penny est à nouveau remise en question. Donald Trump, en quête de rationalisation budgétaire, souhaite supprimer cette pièce d’un centime qu’il considère comme un gaspillage de ressources. Cette décision, loin d’être anecdotique, déclenche un débat de fond entre nécessité économique et attachement au patrimoine numismatique américain. La mesure, si elle venait à être appliquée, pourrait bouleverser des habitudes commerciales et provoquer des ajustements dans le quotidien des Américains.
Trump brandit son glaive tarifaire, le Bitcoin vacille, tangue et trébuche, mais comme un boxeur sonné, il se relève, prêt pour un nouveau round.
L’or brille comme un soleil en pleine apocalypse financière, tandis que Bitcoin, cet ado rebelle du marché, cherche encore son identité. Une guerre des nerfs où l’ancien monde mène la danse.
La fusion entre technologie et pouvoir est une équation dont Elon Musk semble avoir fait son terrain de jeu. Du contrôle de Twitter (désormais X) aux initiatives spatiales avec SpaceX, le milliardaire a multiplié les incursions dans des sphères traditionnellement réservées aux États. Sa dernière initiative, s’attaquer au système de paiements du Trésor américain, ne lui aura cette fois-ci pas réussi. Ce qui devait être une opération de transparence sur la gestion des flux financiers s’est transformé en un affrontement juridique sans précédent, qui met en cause la légalité d’un tel contrôle. Face à la polémique et aux risques de divulgation d’informations sensibles, la justice a tranché et impose une interdiction immédiate à Musk et ses collaborateurs.
Les États-Unis accélèrent leurs efforts pour réguler les stablecoins adossés au dollar. Un nouveau projet de loi, porté par des législateurs républicains, vise à établir un cadre réglementaire clair. Cette initiative reflète la volonté de renforcer la domination du dollar tout en favorisant l’innovation dans le secteur crypto.
Les traders redoutent l’impact du rapport sur l’emploi US sur bitcoin. Dans cet article, on vous explique pourquoi.
Les rumeurs sur une monnaie commune des BRICS reviennent régulièrement, et alimentent les spéculations sur un possible contrepoids au dollar. Alors que plusieurs nations cherchent à réduire leur dépendance au billet vert, l’hypothèse d’une devise partagée déclenche l’inquiétude des États-Unis. Donald Trump a d’ailleurs menacé d’imposer des sanctions aux pays qui envisageraient une alternative. Pourtant, le Kremlin vient de désamorcer le débat : aucun projet de ce type n’est en discussion. À la place, le bloc privilégie des plateformes d’investissement conjointes, ce qui laisse planer le doute sur sa véritable stratégie monétaire.
Tesla, naguère roi des routes électriques, voit son empire vaciller : l’Europe détourne le regard, Musk dérape, et la concurrence appuie sur l’accélérateur. Le futur est-il sans lui ?
Les relations sino-américaines continuent de se dégrader, poussant la Chine à renforcer ses liens avec l’Union européenne. Lin Jian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a déclaré que Pékin considère l’Europe comme un « partenaire stratégique global et un pilier important et indépendant dans un monde multipolaire ».
Pendant que Google noie l’IA sous une pluie de dollars, un petit génie chinois bidouille dans son garage et fait trembler la Silicon Valley. Effet papillon ou tempête à venir ?
La création par Donald Trump d'un fonds souverain chapeauté par Howard Lutnick est de très bon augure pour la réserve de bitcoins.
Une étape clé vient d’être franchie dans la régulation du marché des cryptos aux États-Unis. Sous la direction de Mark Uyeda, président par intérim, la Securities and Exchange Commission (SEC) a annoncé la création d’une Crypto Task Force, un organe chargé d’apporter plus de clarté aux règles qui encadrent les cryptos. Pour structurer son action, la SEC a mis en ligne un site dédié, qui offre aux entreprises et investisseurs un espace pour soumettre leurs propositions et mieux comprendre les exigences réglementaires. Cette initiative intervient alors que le secteur crypto réclame des directives précises et que la SEC se heurte à la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) sur la question de la juridiction des cryptos. En plus de définir la frontière entre valeurs mobilières et actifs non régulés, cette task force pourrait façonner l’avenir des ETF crypto et influencer la surveillance des plateformes d’échange. Son impact réel dépendra toutefois de sa capacité à instaurer un dialogue constructif avec l’industrie, une approche qui fait encore défaut dans la politique actuelle de la SEC.
Le 4 février 2025, David Sacks, récemment nommé « Czar » des cryptomonnaies et de l’intelligence artificielle (IA) par l’administration Trump, a fait une annonce retentissante lors d’une conférence historique. Devant un parterre d’investisseurs, d’entrepreneurs et de régulateurs, il a déclaré la fin de la « persécution » de l’industrie crypto aux États-Unis, un tournant majeur pour le secteur.
Dans le grand théâtre du pouvoir, Trump esquisse un mouvement audacieux : un fonds souverain peut-être crypto-friendly. Entre coup de bluff et génie stratégique, le suspense reste entier.
Dans un virage inédit pour la politique économique américaine, Donald Trump a signé un décret présidentiel qui crée un fonds souverain national, une initiative sans précédent aux États-Unis. Cet instrument financier viserait à stimuler la croissance économique, à financer des infrastructures stratégiques et potentiellement à permettre le rachat de TikTok. La plateforme, dans le viseur de Washington pour des raisons de sécurité nationale, doit impérativement se séparer de ses actionnaires chinois pour poursuivre ses activités sur le sol américain. Grâce à son inspiration des modèles de fonds souverains de la Chine, de la Norvège ou encore de Singapour, l’administration Trump espère réduire la dépendance des États-Unis aux emprunts et renforcer son influence économique mondiale. Toutefois, la mise en place d’un tel mécanisme déclenche de nombreuses interrogations : comment un pays qui accumule un déficit budgétaire massif pourrait-il financer un tel projet ? Quelles seraient les implications géopolitiques d’une intervention directe dans une entreprise technologique d’envergure mondiale ? Entre ambition économique et enjeux diplomatiques, ce fonds souverain constitue un changement majeur qui pourrait redéfinir le rôle de l’État américain sur la scène internationale.
Alors que les marchés crypto suffoquent sous le choc des taxes douanières de Trump, un nouvel acteur entre en scène : David Sacks, l’homme qui murmure à l’oreille de l’IA et des actifs numériques. Le 4 février, ce stratège de l’ombre dévoilera le plan de bataille de Washington pour reprendre…
Le 3 février 2025, le bitcoin a atteint un creux local à 91 530 dollars, avant de se redresser à 95 306 dollars plus tard dans la journée. Cette baisse intervient après que la Chine, le Canada et le Mexique aient promis de sévères mesures de rétorsion suite aux tarifs douaniers imposés par l’administration Trump. Ces mesures ont ravivé les craintes d’une guerre commerciale mondiale, incitant les investisseurs à se détourner des actifs risqués, y compris les cryptomonnaies.
Les tensions commerciales entre les États-Unis et leurs principaux partenaires refont surface, et ravivent le spectre d’une nouvelle guerre économique. Washington a annoncé une hausse des droits de douane qui visent le Canada, le Mexique et la Chine, une décision qui marque le retour du protectionnisme cher à Donald Trump. Cette offensive tarifaire a aussitôt déclenché des réactions partout, notamment en Europe, où la Commission européenne surveille la situation avec attention. Si l’Union européenne n’est pas encore directement touchée, Bruxelles redoute un élargissement des mesures américaines et prévient qu’elle ne restera pas passive. La Commission a d’ores et déjà exprimé son ferme désaccord avec cette politique et se dit prête à adopter des mesures de rétorsion pour protéger les intérêts économiques du continent. Face à cette nouvelle offensive commerciale des États-Unis, le risque d’une escalade entre les deux blocs ne peut être écarté.
Les États-Unis ravivent les tensions commerciales avec leurs principaux partenaires économiques. Donald Trump vient d’annoncer de nouvelles taxes massives sur les importations en provenance du Canada, du Mexique et de la Chine, et relance une politique protectionniste agressive. Présentée comme une réponse à la lutte contre le trafic de fentanyl et l’immigration illégale, cette décision s’intègre surtout dans une stratégie plus large qui vise à renégocier les accords commerciaux nord-américains et à protéger l’industrie américaine face à la concurrence chinoise. Cette escalade a immédiatement provoqué une réaction virulente des pays visés, qui préparent déjà des mesures de rétorsion, ce qui laisse présager un nouveau bras de fer économique aux conséquences encore incertaines.
OpenAI a récemment signé un accord avec les laboratoires nationaux des États-Unis afin de mettre ses modèles d’intelligence artificielle (IA) les plus avancés au service de la recherche scientifique. Cette collaboration vise à renforcer le leadership technologique des États-Unis et à contribuer à des avancées majeures dans plusieurs disciplines scientifiques.
Chassé de la SEC, mais pas des radars, Gensler rebondit au MIT. Ironie suprême : il y enseignera ce qu’il a méthodiquement combattu. Nouvelle posture ou même imposture ?
Dans un monde en constante mutation, où chaque décision politique redessine les contours du pouvoir, un phénomène d’envergure émerge : l’ascension des BRICS. Cet acronyme, autrefois perçu comme un regroupement symbolique des grandes économies émergentes, s’affirme aujourd’hui comme une force motrice de l’équilibre géopolitique. Avec l’élargissement récent de ce bloc à de nouveaux membres influents, le paysage mondial s’enrichit de dynamiques inédites, ce qui remet en cause l’hégémonie des institutions occidentales. Tandis que Donald Trump entame un second mandat aux États-Unis, axé sur une politique protectionniste et isolationniste, la montée en puissance des BRICS représente un défi stratégique aux implications profondes.
Les tensions monétaires s’intensifient à mesure que les BRICS accélèrent leur quête d’indépendance face au dollar américain. Cette dynamique bouleverse les stratégies économiques mondiales et pousse les grandes puissances à repenser leurs réserves financières. Actuellement, l’administration Trump a annoncé la création d’un « stock stratégique de cryptos », ce qui relance un débat explosif entre les partisans du bitcoin et ceux du XRP. Certains y voient une reconnaissance officielle du rôle de ces actifs dans la politique monétaire, tandis que d’autres s’interrogent sur les cryptos qui seront réellement intégrées. Au-delà d’une rivalité technologique, cette confrontation révèle des enjeux géopolitiques majeurs : le choix des BRICS entre le bitcoin, le XRP ou une autre crypto pourrait remodeler l’équilibre des réserves mondiales et redéfinir les rapports de force entre les États.
Quand DeepSeek aspire les neurones d’OpenAI, Microsoft crie au hold-up, et la marine US barricade ses serveurs. La guerre froide numérique bat son plein.
Quand Musk invite Nakamoto à bord, les marchés frémissent. Entre humour et stratégie, le Dogecoin s’élève, gonflé par une brise de spéculation euphorique. Le mystère s’épaissit, les gains s’affichent.