Crypto à tous les étages, rançon au rabais, et un ex-trader libéré à l’aube : la France invente le kidnapping discount. À qui le prochain portefeuille numérique ?
Crypto à tous les étages, rançon au rabais, et un ex-trader libéré à l’aube : la France invente le kidnapping discount. À qui le prochain portefeuille numérique ?
En France, la dette publique cristallise les tensions politiques, affole les marchés et fragilise la souveraineté budgétaire. Avec plus de 3 400 milliards d’euros à rembourser et des taux en forte hausse, le pays s’expose à un risque inédit. François Bayrou a même brandi la menace d’une mise sous tutelle par le FMI, tandis que les investisseurs commencent à douter.
Tandis que l’inflation ralentit à l’échelle nationale, les propriétaires fonciers n’échappent pas à la réalité des chiffres. Depuis ce 25 août, les premiers avis de taxe foncière tombent, avec une hausse nationale fixée à 1,7 %. En effet, derrière cette revalorisation mécanique, des majorations locales bien plus salées s’ajoutent discrètement. Cet alourdissement fiscal, loin d’être anodin, révèle les tensions croissantes entre collectivités sous pression budgétaire et contribuables déjà fragilisés.
Kraken déplie sa carte routière et réalise son propre tour de France. Direction les places de marché, les salles des fêtes et les médiathèques de province. L’idée est simple, presque évidente : aller là où vivent les Français, pour parler crypto sans filtre ni jargon, en face à face. Pas de keynote glacée ni de livestream impersonnel : une présence physique, des démonstrations concrètes, des questions-réponses à hauteur d’homme.
100 milliards de trou, un soupir de Bercy, et une France qui serre les fesses : le budget se redresse d’un cheveu, mais l’économie titube encore.
La bourse de Paris grimpe de 0,76 % alors que la Fed pourrait assouplir sa politique face au ralentissement économique américain.
Entre taux qui plongent, taxes qui montent et factures qui s’empilent, l’économie française s’offre une cure d’août bien salée. Dormez tranquilles, la TVA veille…
Emmanuel Macron scrute les réseaux sociaux avec une inquiétude grandissante. Les annonces budgétaires de François Bayrou attisent une colère populaire qui rappelle étrangement l'automne 2018. L'Élysée redoute un retour du mouvement des Gilets Jaunes qui avait ébranlé son premier mandat et menacé le régime.
Quand une régulation chasse un exchange, KuCoin plie bagage et laisse les Français débranchés… MiCA régule, KuCoin déguerpit : qui aura le dernier mot dans cette crypto comédie réglementaire ?
La crypto se vit souvent en ligne, mais l’adoption réelle commence au contact du terrain. C’est le pari de Kraken, qui sillonne la France avec un tour inédit : 21 étapes pour rencontrer les utilisateurs, les curieux, les créateurs, loin des grandes métropoles. Pas de discours figé ni de jargon,…
Tandis que Bayrou rame avec le budget, l’Occitanie mine des convictions : la France des terroirs flirte avec la crypto, et ça pourrait bien lui rapporter plus qu’un Livret A.
Bruxelles retient son souffle. À l’approche du 1ᵉʳ août, le différend commercial avec Washington glisse vers l’affrontement stratégique. Face à la menace d’une surtaxe de 30 % sur les importations européennes, Paris et Berlin exigent une riposte ferme. Leur objectif : pousser l’UE à activer, pour la première fois, l’instrument anti-coercition.
Dès le 1ᵉʳ août 2025, le taux du Livret A plongera à 1,7 %, pénalisant les 58 millions de Français qui y placent leur épargne. Une décision stratégique, mais impopulaire, qui ouvre à nouveau le débat sur l’accès à une épargne juste et efficace. En réponse, la Banque de France exhume une solution longtemps sous-utilisée : le Livret d’Épargne Populaire. Dans cette bataille des rendements, les lignes de fracture entre sécurité et performance se redessinent.
Quand l’Assemblée tricote du bitcoin pour recycler l’électricité de trop, les centrales sourient, les mineurs s’activent… et l’or numérique devient soudain plus français qu’une baguette sous le bras.
L’épargne préférée des Français s’apprête à subir un sérieux revers. Le taux du Livret A, détenu par plus de 55 millions de personnes, tombera à 1,7 % au 1er août 2025, contre 2,4 % aujourd’hui. Une baisse marquante, la plus forte depuis 2009, validée par la Banque de France et conforme à la formule réglementaire. Dans un climat économique encore fragile, cette décision relance le débat sur la rentabilité de l’épargne réglementée et interroge sur les choix futurs des épargnants en quête de solutions alternatives.
L’ombre d’Elon Musk plane une fois de plus sur l’Europe. Le parquet de Paris a ouvert une enquête pénale visant la plateforme X, soupçonnée de manipulation algorithmique à des fins d’ingérence étrangère. Cette affaire, à la croisée de la cybercriminalité, de la justice européenne et des tensions géopolitiques, pourrait marquer une nouvelle escalade dans la guerre commerciale entre les États-Unis et l’Union européenne.
L’économie française accuse un déficit commercial de 7,6 milliards d’euros en mai. Une dynamique inquiétante pour les investisseurs.
Depuis le début du mois de juillet, les investisseurs prêtent à l’Italie à un taux inférieur à celui exigé pour la France. En effet, la courbe s’est inversée pour la première fois depuis 2005, fragilisant la place de Paris dans la hiérarchie du risque souverain en zone euro. Et pourtant, la France conserve une meilleure notation. Ce paradoxe renvoie à une réalité perceptible : les marchés doutent. Et dans cette hésitation, les actifs alternatifs gagnent du terrain.
La baisse des taux de crédit immobilier marque une pause inattendue. Alors que le marché amorçait un redémarrage, les courbes se figent, déjouant les prévisions. Ce retournement intrigue autant les acheteurs que les investisseurs, pris entre espoirs et incertitudes. Pourquoi les taux ne reculent-ils plus, malgré un contexte monétaire plus souple ? Ce blocage interroge les dynamiques du financement en France et révèle des tensions plus profondes, au moment même où l’immobilier tente de sortir de l’atonie.
Malgré un recul des bénéfices, les entreprises du CAC 40 redoublent d’attention envers leurs actionnaires. En 2024, elles maintiennent des versements records, à rebours des signaux économiques traditionnels. Dans un environnement marqué par une croissance en berne, une inflation accrue et des marchés instables, cette stratégie interroge. Est-ce un signe de force ou un pari risqué ? Tandis que la rentabilité actionnariale reste une priorité, le décalage entre profits distribués et performances réelles déclenche des doutes sur la durabilité de ce modèle.
Le monde de la tech française franchit un nouveau cap. Sequans, spécialiste des semi-conducteurs IoT, choisit le bitcoin pour renforcer sa stratégie financière. Une décision rare, audacieuse, et pleine de signification dans le contexte économique actuel.
Un café, une place introuvable, une disparition : à Maisons-Alfort, la crypto sort du virtuel pour finir dans un sac, version grand banditisme 3.0.
Après deux années d’asphyxie, le marché immobilier français amorce un redressement mesurable. Portés par la baisse des taux et la stabilisation des prix, les premiers signaux concrets se confirment dans les chiffres de la FNAIM et les observations de terrain relayées par Laforêt. L’attentisme cède peu à peu la place à une reprise, certes encore fragile, mais tangible. Dans un environnement économique incertain, ce frémissement redonne de l’air à un secteur longtemps paralysé. Reste à savoir si cette dynamique pourra être durable.
Finance : le taux d’épargne des Français au plus haut depuis 1979. On vous livre tous les détails dans cet article !
Depuis plusieurs mois, la France s’agite sur la scène numérique. Au cœur de cette effervescence : Telegram, l’application de messagerie prisée par les dissidents numériques. Son fondateur, Pavel Durov, ne se contente plus de défendre la liberté d’expression : il accuse frontalement les autorités françaises. Dans une interview récente, il lance une alerte grave. Selon lui, la France dérive, et cette dérive pourrait précipiter un effondrement sociétal.
Le taux du Livret A recule à 2,4 % cette année, ce qui prolonge encore l’attente pour les épargnants. À ce rythme, il faudra près de 30 ans pour doubler un capital. Derrière ce chiffre en apparence technique, une réalité s’impose : la rémunération de l’épargne sécurisée s’effrite. Ce nouvel ajustement interroge la pertinence de continuer à placer ses liquidités sur un produit dont le rendement ne suit plus le rythme des projets ni celui de l’inflation réelle.
Pour la première fois, l’idée d’une mise sous tutelle de la France par le FMI franchit les portes de Bercy. Longtemps réservée aux pays en crise, cette perspective, désormais assumée au sommet de l’État, révèle l’ampleur du dérapage budgétaire. Une dette abyssale, des charges d’intérêts en forte hausse, et la pression des agences de notation forment un cocktail explosif. Le signal est clair : la souveraineté économique française vacille, et les institutions internationales scrutent désormais Paris avec la même sévérité que les économies en difficulté.
À l’heure où la défiance financière se diffuse en un clic, une vidéo TikTok postée fin mai a relancé les peurs d’un contrôle étatique renforcé. Elle affirme qu’à compter d’octobre 2025, tout virement de plus de 800 euros entre particuliers serait bloqué 24 heures pour vérification fiscale. En quelques jours, la rumeur a semé le trouble chez des milliers de Français. Que dit réellement la réglementation ? Et pourquoi cette annonce virale est-elle totalement infondée ?
Le marché du crédit immobilier, longtemps à l'arrêt, amorce une reprise nette. En deux mois, la demande de prêts a presque doublé, portée par une baisse des taux et une réouverture des vannes bancaires. Après deux années de blocage lié à la hausse brutale du coût de l’argent, le retournement était attendu. Cependant, cette embellie est-elle durable ou un simple effet de rattrapage ? Tandis qu’avril marque une inflexion, le secteur s’interroge : assiste-t-on au début d’un cycle ou à une parenthèse fragile ?
Nouvelle prise dans la crypto jungle : la police cueille un suspect de plus, pendant que le chef présumé, planqué au Maroc, attend l'extradition… L'étau se resserre.