Et si Ethereum préparait en douce un monde où les IA discutent entre elles sans nous ? Avec l’ERC‑8004, la blockchain rêve déjà d’un Web3 sans permission… ni permissionnaire.
Et si Ethereum préparait en douce un monde où les IA discutent entre elles sans nous ? Avec l’ERC‑8004, la blockchain rêve déjà d’un Web3 sans permission… ni permissionnaire.
Les marchés de prédiction dessinent un nouveau paysage pour l'intelligence artificielle. Alors que ChatGPT semblait inébranlable, les données de Kalshi révèlent un bouleversement surprenant : 57 % des parieurs misent désormais sur Gemini pour devenir le meilleur modèle d'IA textuel d'ici fin 2025.
Après le départ surprise de la patronne de X, c’est une autre figure clé des sociétés d’Elon Musk qui claque la porte. Cette fois, c’est au tour d’Igor Babuschkin, co-fondateur de xAi et pilier du projet Grok, d’annoncer sa démission.
Quand l’IA affamée d’énergie vient piquer les watts du bitcoin, ça chauffe dans les data centers ! Et les mineurs, eux, creusent… pour rester branchés.
Perplexity AI frappe fort : valorisation record de 20 milliards $ et offre choc de 34,5 milliards $ pour racheter Google Chrome. La startup veut défier Google et OpenAI dans la course aux navigateurs IA et révolutionner la recherche web mondiale.
Elon Musk relance les hostilités contre Apple, l’accusant de marginaliser Grok et X dans l’App Store au profit de ChatGPT. Derrière cette querelle apparente, c’est un bras de fer plus large qui se joue autour de l’IA, de la concurrence et du contrôle des plateformes. La frontière entre curation légitime et pratiques anticoncurrentielles est plus floue que jamais.
Rumble explore un accord de 1,17 milliard de dollars pour Northern Data afin de renforcer sa position sur le marché mondial du cloud d'intelligence artificielle.
MARA Holdings, géant américain du mining Bitcoin, envisage d’acquérir 64 % d’Exaion, filiale d’EDF spécialisée dans les centres de données et l’intelligence artificielle. Cette opération, estimée à 168 millions de dollars, traduit la volonté du groupe de diversifier ses sources de revenus tout en renforçant sa stratégie d’accumulation des BTC.
Sur l’échiquier, ce sont deux visions de l’IA qui se sont affrontées. Sam Altman, patron d’OpenAI, et Elon Musk, fondateur de xAI, ont croisé leurs modèles dans un tournoi d’échecs organisé par Google. Pendant trois jours, l’o3 d’OpenAI et Grok 4 de xAI se sont mesurés sans aucune assistance spécialisée. Bien plus qu’un simple match d’exhibition, l’événement a tourné au révélateur : derrière le score final, c’est l’écart réel entre deux intelligences artificielles, et deux stratégies, qui est apparu au grand jour.
Après une baisse vers la fin juillet, le marché crypto a connu une nouvelle injection d'optimisme au cours de la semaine passée. Les actifs d'intelligence artificielle (IA) ont également profité de cette vague de marché, beaucoup connaissant une forte poussée vers le nord, le secteur ayant dépassé les 34 milliards de dollars en valorisation.
Le lancement très attendu de ChatGPT-5 a viré au fiasco sur les réseaux sociaux. Présenté par Sam Altman comme l’IA la plus intelligente jamais créée, le nouveau modèle est accusé par une large partie des utilisateurs de dégrader l’expérience par rapport à ses prédécesseurs. Cette fronde éclate alors que des rivaux comme DeepSeek gagnent rapidement du terrain. Sam Altman a-t-il offert un rêve… pour un réveil brutal ?
La demande de puissance de calcul, d’agents autonomes et de marchés ouverts pour les modèles explose, pendant que les acteurs centralisés (Big Tech & Clouds) concentrent l’offre. Le marché crypto tente d’y répondre avec des architectures décentralisées qui rémunèrent l’apport de ressources (GPU, modèles, données, sécurité) et alignent les incitations via un token.
Trump équipe ses agents publics de ChatGPT à prix cassé. Officiellement pour l’efficacité. Officieusement pour garder la main sur l’IA... et les données ? Silence dans les rangs, l’algorithme bosse.
Tandis que l’avenir de Tesla se joue autant en bourse qu’en justice, son conseil d’administration vient d’accorder à Elon Musk 96 millions d’actions, soit 29 milliards de dollars. Ce choix spectaculaire intervient alors que l’entreprise traverse une zone de turbulences. Loin d’un simple bonus, cette décision révèle une dépendance assumée à un dirigeant autant admiré que controversé. Tesla mise sur Musk, coûte que coûte, au risque d’exacerber les tensions entre pouvoir individuel et intérêt collectif.
L'Union européenne franchit une nouvelle étape décisive dans l'encadrement de l'intelligence artificielle. Après avoir posé les bases en février, Bruxelles active aujourd'hui le deuxième volet de son AI Act, visant directement les modèles à usage général comme ChatGPT. Une offensive réglementaire qui divise les acteurs du secteur.
Confier ses doutes à une IA, ce n’est pas parler à un confident, c’est écrire dans un carnet que d’autres peuvent lire. À l’ère d’OpenAI, vos mots deviennent des données, exploitables... même devant un tribunal.
TAO, INJ et FET affolent les réseaux sociaux et captent l’attention des investisseurs crypto. Propulsés par l’essor de l’IA décentralisée, ces projets pourraient redessiner le paysage Web3. Hype passagère ou transformation durable ? Découvrez l’analyse complète des signaux clés.
À Shanghai, la Chine a dévoilé une proposition majeure : créer une organisation mondiale dédiée à la gouvernance de l’intelligence artificielle. Dans un discours aux accents géopolitiques, Pékin dénonce une régulation internationale « fragmentée » et entend se poser en alternative stratégique aux États-Unis. En misant sur l’ouverture et le dialogue avec les pays du Sud, cette initiative marque une étape dans l’ambition chinoise de façonner l’innovation technologique, mais aussi les normes qui en encadreront l’usage à l’échelle globale.
Grok, l'IA controversée d'Elon Musk, fait son entrée dans l'univers des marchés prédictifs. Cette alliance inattendue entre xAI et Kalshi, la plateforme de paris financiers valorisée à 2 milliards de dollars, pourrait-elle révolutionner le trading algorithmique ?
La crypto est instable, et les jeunes traders l'ont bien compris. Pour mieux gérer les risques, 67 % d’entre eux utilisent l'intelligence artificielle pour dompter la volatilité. C’est ce que révèle une étude récente de MEXC Research. Plutôt que de réagir dans l’urgence, la génération Z s’appuie sur des outils automatisés pour garder le contrôle
L'adoption des cryptomonnaies a connu une croissance remarquable en 2025, avec des particuliers et même de grandes institutions qui se tournent vers la possession d'actifs numériques. Fait intéressant, les données montrent que la récente vague d'adoption des cryptomonnaies est largement motivée par les paiements numériques et l'intelligence artificielle.
L'administration Trump a dévoilé son plan pour faire des États-Unis la « capitale mondiale » de l'IA. Cette stratégie supprime les contraintes environnementales et les politiques de diversité qui encadraient le secteur. Mais cette course vers la suprématie technologique ne cache-t-elle pas des enjeux géopolitiques plus profonds ?
Les tokens d’intelligence artificielle TAO, NEAR et ICP enregistrent une envolée spectaculaire, dopés par l’annonce de colossaux investissements dans l’IA et l’énergie. Google, Meta et Donald Trump donnent un nouveau souffle aux cryptos IA. Ces projets ont-ils les reins assez solides pour prolonger la tendance ?
Quand une IA imite trop bien l’humain, elle enfile les bottes de MechaHitler. Grok, nouveau clown tragique d’Elon Musk, fait plus peur qu’un bug dans le cloud.
Le géant américain Coinbase vient de nouer un partenariat avec Perplexity AI, le moteur de recherche alimenté par l'intelligence artificielle. Cette collaboration promet de transformer l'accès aux données de marché crypto en temps réel. Une avancée qui pourrait bien redéfinir les usages du trading à l’ère des robots IA.
Et si la prochaine grande bataille de l’IA se jouait non sur un modèle de langage, mais sur le navigateur que des milliards d’internautes utilisent chaque jour ? OpenAI s’apprête à lancer un navigateur web dopé à l’intelligence artificielle, conçu pour concurrencer frontalement Google Chrome. Cette initiative, encore discrète, vise à détourner les usages du moteur historique de Google, pilier de son écosystème publicitaire. En transformant la navigation en une interface conversationnelle, OpenAI pourrait bien redéfinir les règles d’un marché verrouillé depuis des années par Alphabet.
Ce 9 juillet 2025, Nvidia a franchi une frontière inédite : 4 000 milliards de dollars de capitalisation boursière. Un sommet historique, jamais atteint par aucune autre entreprise cotée. Ce seuil symbolique n’est pas qu’un record boursier, il consacre un basculement global : celui d’une économie numérique vers un monde structuré par l’intelligence artificielle. Alors que les marchés s’alignent sur les géants du calcul, Nvidia s’impose en moteur d’une nouvelle ère, où la puissance algorithmique redéfinit les équilibres économiques mondiaux.
L'intelligence artificielle (IA) s'immisce désormais dans les laboratoires et les publications scientifiques, soulevant des questions cruciales sur l'intégrité de la recherche. Une étude récente révèle que plus de 13 % des articles biomédicaux portent les traces de ChatGPT et consorts.
Tandis que la planète entière retient son souffle face à l’essor fulgurant de l’intelligence artificielle, l’Union européenne, elle, avance d’un pas décidé. Là où d’autres tergiversent, elle légifère. Face aux géants technologiques et aux gouvernements frileux, Bruxelles n’attend ni consensus mou, ni validation extérieure. Sa stratégie ? Réguler d’abord, innover ensuite. Un pari risqué, peut-être. Mais un pari assumé. Et surtout, un message clair : l’IA ne sera pas la jungle en Europe.
Musk gonfle les circuits de son AI avec 10 milliards de dollars, pendant que Trump fulmine, menace de couper les vannes… et découvre que l’IA n’aime pas les dettes publiques.