Sous prétexte de stablecoins à Hong Kong, Pékin lance ses pions. Crypto au menu, contrôle en dessert ? JD et Ant déroulent le tapis numérique, mais gare aux ficelles invisibles.
Sous prétexte de stablecoins à Hong Kong, Pékin lance ses pions. Crypto au menu, contrôle en dessert ? JD et Ant déroulent le tapis numérique, mais gare aux ficelles invisibles.
Tandis que les stablecoins gagnent en légitimité, une loi américaine ravive les fractures entre souveraineté monétaire et suprématie du dollar. Avec la GENIUS Act, adoptée par le Sénat, Washington encadre les cryptos adossées au billet vert. Toutefois en Europe, la riposte s’organise. Amundi redoute une déstabilisation mondiale. Derrière ce cadre juridique, se dessine une offensive monétaire aux effets systémiques.
Le Fonds monétaire international a rejeté la proposition du Pakistan de subventionner l'électricité pour les opérations de minage de crypto-monnaies, invoquant des préoccupations concernant les distorsions du marché et la pression sur les infrastructures énergétiques.
L'industrie crypto n'en revient pas. Grayscale vient de solliciter la SEC pour suspendre les transactions sur son ETF multi-actifs contenant Solana et XRP, quelques jours seulement après son approbation. Que cache ce revirement soudain ?
Dans un écosystème européen encore marqué par l’incertitude réglementaire, rares sont les plateformes d’échange à posséder une véritable licence d’investissement. Kraken franchit un cap stratégique : l’obtention de la licence MiFID II ouvre aux investisseurs européens un accès inédit aux produits dérivés crypto dans un cadre…
Le responsable des affaires publiques de Bitpanda alerte sur les disparités persistantes dans l’application de la réglementation MiCA à travers l’Europe. Malgré ses promesses d’harmonisation, l’Union européenne peine à instaurer un véritable marché unique des cryptos. MiCA est en marche, certes, mais chaque État membre interprète et applique la loi à sa manière.
Le géant de la notation crédit Moody's vient de franchir une étape importante dans la fusion des financements traditionnels avec la blockchain et la crypto. Il a lancé un programme pilote qui place ses scores sur la chaîne, en commençant par la blockchain Solana.
L’écosystème crypto franchit un cap symbolique avec la validation accélérée, par la SEC, de la conversion du Grayscale Digital Large Cap Fund (GDLC) en ETF. Ce feu vert ne concerne pas uniquement Grayscale. Il consacre l’entrée des altcoins dans le champ d’action des régulateurs. Dans un contexte où le climat politique s’adoucit vis-à-vis des cryptos, cette décision pourrait ouvrir la voie à une nouvelle génération d’ETF centrés sur des actifs comme le XRP, Solana ou Cardano.
Trump exulte, Warren s’insurge, Lummis crie dans le désert… Le Sénat vote, tranche, évite soigneusement la crypto, et signe une loi XXL, aussi silencieuse qu’assourdissante pour les mineurs numériques.
Le monde de la crypto se construit souvent à la lisière des institutions. Pourtant, certaines entreprises choisissent d’avancer à contre-courant en cherchant à s’y inscrire pleinement. C’est le cas de Circle, l’émetteur de l’USDC, qui ne se contente plus d’être un acteur tech. L’entreprise américaine a officiellement demandé à devenir une banque fiduciaire nationale aux États-Unis. Une démarche à la fois audacieuse et révélatrice d’une mutation plus large dans l’écosystème crypto : l'intégration au système bancaire fédéral pour mieux pérenniser la confiance.
Le 17 juin, le Sénat américain a adopté la loi GENIUS, abréviation de la loi sur l'orientation et l'établissement de l'innovation nationale pour les stablecoins américains, par un vote bipartisan de 68-30. Si elle est adoptée par la Chambre et signée par le Président, le projet de loi introduirait le premier cadre fédéral complet pour réguler les stablecoins aux États-Unis.
Un ETF Solana qui stake, des analystes qui jubilent, et la SEC qui ne dit mot… REX Shares tenterait-il de faire danser la crypto sur le parquet réglementaire ?
Le président Trump a critiqué le débanquement, faisant écho aux inquiétudes du secteur de la cryptomonnaie alors que la Maison Blanche réexamine l'action exécutive.
Kraken, souvent discret mais jamais vraiment en retrait, vient de faire un pas stratégique qui risque de rebattre les cartes du marché crypto en Europe. En décrochant sa licence réglementaire sous le régime MiCA, la plateforme entre dans la cour des grands à l’échelle continentale, juste derrière Coinbase, mais pas trop loin pour qu’on parle encore de retard. Dans un climat où la conformité devient un sésame, Kraken choisit d’embrasser la régulation plutôt que de la contourner. Et ce choix pourrait bien lui rapporter gros.
La Réserve fédérale vient de faire un grand changement qui pourrait faciliter l'ouverture de comptes bancaires pour les entreprises de crypto. Lundi, la Fed a déclaré qu'elle n'utiliserait plus le "risque réputationnel" comme partie de son processus officiel de supervision bancaire. Cette étiquette vague était souvent utilisée pour dissuader les banques de faire affaire avec des entreprises de crypto, et beaucoup dans l'industrie affirment qu'elle a conduit à des années de "dé-banking" injustifié.
Réserve crypto en Arizona : un projet de loi adopté malgré les critiques du gouverneur. Découvrez les détails dans cet article !
Le Japon sort le sabre fiscal : ETF crypto en vue, impôts allégés… et samouraïs investisseurs bientôt convertis au Bitcoin ? À Tokyo, la finance traditionnelle tremble sous son kimono.
Trump récompense les détenteurs de son memecoin autour d’un dîner privé. Réaction immédiate : Adam Schiff, sénateur démocrate, dégaine une loi pour encadrer l’usage de la crypto par les responsables politiques. Un affrontement qui mêle actifs numériques, conflits d’intérêts et calculs électoraux.
Pendant que Trump fonce tête baissée pour sauver ses stablecoins, l’Europe déroule MiCA et rafle la mise crypto. Et si, pour une fois, la bureaucratie gagnait la course ?
Le président américain Donald Trump presse le Congrès d'adopter sans délai la loi GENIUS sur les stablecoins. Une course contre la montre s'engage pour faire des États-Unis le leader mondial des actifs numériques. Mais cette précipitation cache-t-elle des intérêts personnels ?
Pendant que Trump empoche des millions en tokens maison, le Sénat bénit les stablecoins. Nouveau dollar numérique ou vieille combine électorale ? Enquête au cœur du théâtre crypto-américain.
L’Europe, jadis pionnière dans la régulation des cryptos, pourrait bientôt n’être qu’un simple couloir traversé par l’innovation sans jamais la retenir. Tandis que les États-Unis et l’Asie multiplient les avancées concrètes, le Vieux Continent s’enlise dans la prudence. Catriona Kellas, responsable juridique chez Franklin Templeton, ne mâche pas ses mots : l’UE risque d’être reléguée au rang de spectatrice, incapable de rivaliser face à la dynamique des grandes puissances concurrentes.
Les principales plateformes d’échange de cryptomonnaies Coinbase et Gemini sont proches d’obtenir des licences pour opérer légalement dans l’Union européenne (UE) en vertu du règlement sur les marchés des crypto-actifs (MiCA). Avec ces licences, elles rejoindraient d’autres bourses mondiales comme Bybit, qui a obtenu l’approbation de l’Autorité des marchés financiers…
Sept géants s’alignent pour des ETF Solana, la SEC joue la montre : suspense, frissons et staking dans les coulisses feutrées du temple réglementaire américain. À suivre...
Les préoccupations grandissent concernant la rapide délivrance de licences crypto à Malte sous MiCA, soulevant des questions sur l'application équitable à travers l'UE.
Grâce à une attitude plus favorable de la SEC, les tokens de gouvernance DeFi reprennent leur tendance haussière.
La régulation des stablecoins aux États-Unis vient de franchir un cap historique. Le Sénat américain a voté à 68 voix contre 30 pour faire avancer le projet de loi GENIUS Act, ouvrant la voie à un débat en séance plénière. Cette avancée marque-t-elle enfin la naissance d'un cadre réglementaire fédéral pour les cryptos adossées au dollar ?
Saylor l'assure : l’hiver crypto est terminé. Mais quand le bitcoin grimpe vers les sommets, qui ramasse les pelles, et surtout… qui vend les pioches ?
Dans l’arène crypto, où chaque décision stratégique redessine les équilibres de pouvoir, PayPal vient de franchir un nouveau cap. Son stablecoin maison, le PYUSD, s’apprête à se déployer sur Stellar, troisième blockchain à accueillir ce jeton après Ethereum et Solana. Une manœuvre qui pourrait sembler anodine, mais qui, en réalité, dit beaucoup sur les ambitions profondes du géant des paiements numériques.
Les États-Unis s'apprêtent à encadrer les stablecoins. Un vote clé sur le GENIUS Act pourrait transformer l'industrie crypto à jamais.