Nouveau projet : une banque crypto pourrait voir le jour en Russie. On vous livre tous les détails dans cet article.
Nouveau projet : une banque crypto pourrait voir le jour en Russie. On vous livre tous les détails dans cet article.
Depuis Moscou, les accusations se multiplient. Un proche conseiller de Vladimir Poutine affirme que Washington utilise les stablecoins et l’or pour alléger le poids écrasant d’une dette publique qui franchit désormais les 37 000 milliards de dollars. Une stratégie qui, si elle se confirmait, pourrait bouleverser l’équilibre de la finance mondiale.
La Russie exige des banques qu'elles surveillent les retraits aux distributeurs automatiques pour détecter les fraudes et qu'elles informent les clients, une mesure qui pourrait affecter les opérations crypto reposant sur les espèces.
Tandis que l’Occident défend la suprématie du dollar et de l’euro, Moscou et Pékin accélèrent leur divorce avec ces devises. Vladimir Poutine a confirmé que les échanges russo-chinois se font désormais presque exclusivement en rouble et en yuan. Ce basculement, soutenu par une hausse spectaculaire du commerce bilatéral et une stratégie assumée, pourrait marquer une étape décisive vers un ordre financier multipolaire.
En cherchant à isoler ses rivaux, Donald Trump pourrait bien obtenir l’effet inverse. Sous la pression de ses sanctions commerciales, les pays du bloc des BRICS, longtemps divisés, amorcent un rapprochement stratégique inédit. À mesure que les tensions montent, la Chine, l’Inde, la Russie et leurs partenaires semblent plus enclins que jamais à coopérer sur les plans économique et diplomatique.
Ambani, autrefois choyé par Trump, se retrouve grillé à l’huile russe. Quand l’économie indienne titille l’Oncle Sam, ça sent le pétrole chaud et la diplomatie à la friture.
Dans un climat mondial sous haute tension, un nom inattendu s'impose dans les paris liés au Prix Nobel de la Paix : Donald Trump. En effet, donné favori sur les plateformes Polymarket et Kalshi, le président américain devance plusieurs figures historiques. Cette percée, portée par les dynamiques géopolitiques et relayée dans les cercles crypto, déclenche autant de spéculations que d’interrogations. Simple reflet d’un engouement stratégique ou indice d’un repositionnement international ?
Tandis que la guerre commerciale s’intensifie, Pékin et Moscou affichent leur détermination. En juillet, leurs échanges ont bondi à 19,14 milliards de dollars, un record annuel qui contraste avec la morosité du premier semestre. Ce rebond intervient alors que Donald Trump menace la Chine de nouveaux droits de douane, après avoir sanctionné l’Inde pour ses achats de pétrole russe.
Alors qu’il multiplie les signaux de fermeté sur la scène internationale, Donald Trump a imposé un ultimatum de 50 jours à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine. Cette sortie musclée, très commentée dans les cercles diplomatiques et militaires, a aussi provoqué un séisme inattendu sur les marchés financiers. Le bitcoin, particulièrement réactif aux tensions géopolitiques, a entamé une chute rapide dès l’annonce, atteignant ce matin les 116 000 dollars. Le climat d’incertitude créé par cet avertissement présidentiel nourrit à la fois les spéculations politiques et les turbulences économiques.
Rio s’apprête à accueillir un sommet des BRICS sous haute tension, marqué par deux absences historiques : Xi Jinping et Vladimir Poutine. Le président chinois se retire pour la première fois depuis 2013, tandis que son homologue russe reste au Kremlin, visé par un mandat d’arrêt de la CPI. À l’heure où le bloc veut s’affirmer face au dollar et renforcer son influence, ces désistements fragilisent l’unité du groupe et déclenchent des doutes sur sa trajectoire géopolitique.
La Russie ne teste plus. Elle impose. En décrétant l’intégration obligatoire du rouble numérique dans le système bancaire et commercial national, Moscou ne laisse plus place au doute. La transition vers une monnaie contrôlée, programmable et centralisée est en marche. Fini le flou des expérimentations, place à l’architecture d’un système monétaire inédit où chaque transaction pourrait, demain, être tracée, régulée… voire bloquée. Ce choix n’est pas simplement technologique : il est politique, stratégique, presque idéologique. Car derrière l’apparente modernisation des paiements se joue une partie bien plus large.
Le dollar peut-il perdre sa suprématie mondiale ? Ce qui relevait hier de la spéculation prend aujourd’hui une tournure diplomatique concrète. À l’approche du sommet des BRICS à Rio, les grandes économies émergentes placent les transactions en monnaies locales au cœur de leur stratégie. Ce virage s’insère dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes et de revendications du Sud global pour un système financier plus équilibré. Derrière cette dynamique se dessine une redéfinition possible des règles du commerce mondial.
Le centre de gravité économique bascule vers le Sud, et Pékin comme Moscou veulent en dicter le tempo. En amont du sommet BRICS à Rio, Vladimir Poutine et Xi Jinping officialisent une initiative inédite : une plateforme d’investissement commune dédiée aux pays du Sud global. Pensée comme un levier d’influence et d’émancipation vis-à-vis des circuits dominés par l’Occident, cette annonce marque une étape clé dans la construction d’un ordre financier alternatif piloté par les puissances émergentes.
Tandis que les frappes israéliennes visent les sites sensibles iraniens et que Téhéran répond par des missiles sur Tel-Aviv, l’escalade militaire redéfinit les équilibres au Moyen-Orient. Cependant, une absence stratégique intrigue : celle des BRICS. Nouvel arrivant dans le bloc, l’Iran misait sur un appui solide face à son ennemi juré. Or ni Moscou, ni Pékin, ni New Delhi ne s’engagent. Ce silence met à nu les limites d’une alliance que Téhéran voyait comme un contrepoids à l’hégémonie occidentale.
Un basculement discret, mais massif redéfinit les équilibres monétaires mondiaux. En effet, plus de 90 pays, portés par les BRICS, abandonnent le dollar dans leurs échanges internationaux. À sa place, le yuan, le rouble ou la roupie s’imposent progressivement. Ce réalignement stratégique, loin d’un simple ajustement technique, remet en cause l’ordre financier bâti autour des États-Unis depuis l’après-guerre. Une volonté assumée de souveraineté économique et une contestation directe de l’hégémonie américaine sur les flux mondiaux sont à l’origine de ce mouvement.
Le 13 juin 2025 marque un tournant dans le conflit Iran-Israël. Les frappes israéliennes massives ont visé le cœur du dispositif militaire iranien. L'Iran a riposté le soir même avec 300 missiles balistiques, franchissant un nouveau seuil dans cette guerre au long cours.
Le 8 juin 2025, un pétrolier sous sanctions américaines et européennes a discrètement accosté au Japon, livrant du brut russe à une raffinerie locale. Ce geste, loin d’être anodin, révèle une fracture silencieuse dans le consensus occidental sur l’énergie. Alors que le G7 tente depuis deux ans d’isoler Moscou, Tokyo privilégie sa sécurité énergétique. Cet épisode, à la fois symbolique et stratégique, pourrait bien redessiner en sourdine les lignes d’un ordre énergétique mondial en recomposition.
Missiles au Moyen-Orient, marchés en déroute : pendant que l’économie s’enrhume, certains font fortune sur les barils… et d’autres préfèrent fuir en or massif. Devinez qui tire les ficelles ?
Depuis deux ans, la Russie affiche une croissance économique de plus de 4 %, un chiffre qui pourrait faire pâlir bien des économies européennes. Pourtant, derrière ces indicateurs apparemment solides, la réalité du terrain est tout autre : inflation élevée, consommation dégradée, pénuries persistantes. Le pays, largement converti en « économie de guerre », semble atteindre les limites d’un modèle fondé sur la dépense militaire et la rente énergétique.
La plus grande banque de Russie franchit un cap historique en proposant des obligations structurées adossées au bitcoin. Cette initiative de Sberbank s'inscrit dans une stratégie plus large de Moscou pour contourner les sanctions occidentales.
Tandis que les lignes du commerce mondial se déplacent sous la pression géopolitique, Moscou envisage de troquer les devises traditionnelles contre des cryptos pour ses exportations agricoles. Ce n’est pas une expérimentation marginale, mais un projet massif : le règlement de 49,5 millions de tonnes de céréales pourrait se faire en crypto. Une initiative qui, si elle se concrétise, redéfinirait les règles du commerce pour les États sous sanctions et imposer la blockchain comme alternative aux systèmes financiers dominants.
Tandis que le conflit en Ukraine s’enlise, l’Union européenne franchit un seuil stratégique. Le 20 mai, Bruxelles a adopté un 17ème train de sanctions qui vise des cibles jusqu’ici peu exposées : la flotte fantôme russe, pilier logistique du contournement pétrolier. Cette manœuvre, synchronisée avec Londres, marque un tournant dans la guerre économique menée contre Moscou. En durcissant sa ligne, l’UE entend affaiblir les circuits opaques finançant l’effort militaire russe et maintenir la pression sur ses soutiens étrangers.
Tandis que les grandes puissances émergentes multiplient les appels à réduire leur dépendance au dollar américain, un acteur clé vient de claquer la porte à toute velléité de rupture : l’Inde. Dans un contexte international tendu, où les sanctions occidentales poussent certains pays à explorer des alternatives au système monétaire dominé par le billet vert, New Delhi choisit de jouer la carte de la stabilité. En affirmant qu’elle n’a « absolument aucun intérêt » à s'engager dans une dynamique de dédollarisation, l’Inde envoie un signal fort à ses partenaires au sein des BRICS et du Sud global.
En pleine reconfiguration des équilibres économiques mondiaux, la Banque centrale de Russie crée la surprise. Dans son dernier rapport, elle classe le bitcoin en tête des actifs financiers pour 2025. Une reconnaissance inattendue de la part d’une institution jusqu’ici prudente face aux cryptos. Ce revirement souligne à la fois la performance remarquable de l’actif et son intégration croissante dans les stratégies d’investissement, même au sein d’un environnement financier aussi contrôlé que celui de la Russie.
Tandis que la guerre russo-ukrainienne s’enlise dans sa quatrième année, une possible rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine à Istanbul pourrait rebattre les cartes. Pour la première fois depuis des mois, Kiev accepte l’idée de pourparlers directs. Zelensky a annoncé ce dimanche 11 mai qu’il attendrait Poutine le jeudi 15 à Istanbul. Cependant, l’Ukraine pose une condition ferme : aucun échange ne se fera sans un cessez-le-feu total, exigé dès ce lundi. Il s’agit d’une exigence lourde de sens, dans un conflit où chaque geste diplomatique reste scruté.
Tandis que le conflit en Ukraine franchit un cap critique, Kiev et ses alliés occidentaux avancent une proposition de cessez-le-feu de 30 jours, intégral et sans conditions. Soutenue par Washington et les grandes capitales européennes, cette initiative vise à ouvrir une brèche vers des pourparlers. Cependant au-delà de l’appel à la trêve, une interrogation domine : Moscou y verra-t-elle une véritable main tendue ou une manœuvre tactique dissimulant un avantage stratégique pour l’Ukraine ? La réponse pourrait redessiner l’équilibre des forces sur le plan diplomatique.
Tandis que les cours du pétrole dégringolent et que la demande reste morose, l’OPEP+ surprend en annonçant une hausse massive de sa production dès juin. Huit membres du cartel rompent avec la prudence récente et ravivent l’incertitude sur un marché déjà sous tension. Derrière ce revirement se dessine un possible tournant géopolitique et économique, entre stratégie de reconquête et prise de risque calculée. Cette décision pourrait bien redessiner les équilibres énergétiques mondiaux.
Tandis que les sanctions économiques visaient à étouffer Moscou, la Russie enregistre une croissance de 4,1 % en 2023. Ce chiffre, confirmé par les autorités russes, bouscule les certitudes de Washington et de ses alliés. Dans un climat de guerre en Ukraine et de recomposition des alliances monétaires, le retour en force de l’économie russe révèle une stratégie de contournement efficace, portée par les BRICS. Cette donnée interroge sur l’efficacité des sanctions occidentales et rebat les cartes du jeu géoéconomique.
Alors que le monde des cryptos tangue entre régulation et anarchie, la Russie joue une partition inédite. Loin des clichés d’un État réfractaire, Moscou orchestre une manœuvre subtile : une bourse crypto étatique, réservée à une élite financière. Un paradoxe ? Plutôt une stratégie calculée, mêlant contrôle absolu et ouverture feutrée.
La Russie, un membre influent du bloc des BRICS, vient de franchir un cap monétaire historique : en février, plus de la moitié de ses importations ont été réglées en roubles. Cette avancée stratégique, confirmée par la Banque centrale, s’intègre dans une rupture nette avec le système dominé par le dollar. Tandis que les tensions avec l’Occident s’intensifient, Moscou réoriente ses échanges vers des partenaires jugés « amicaux », ce qui redéfinit ainsi les équilibres financiers globaux et accélère sa trajectoire vers une autonomie économique renforcée.